Rassemblement samedi 13 janvier à 14h au Castillet à Perpignan contre la guerre de Netanyahou pour la paix entre Palestiniens et Israéliens –

Non aux massacre du peuple palestinien – Cessez-le-feu – Stop à la guerre !

La barbarie semble l’emporter en Palestine meurtrie : elle est l’oeuvre d’un gouvernement extrémiste de droite en Israël dont l’armée exécute ses ordres : il s’agit de chasser les Palestiniens de la bande de Gaza et de les pousser à s’exiler… afin de pouvoir coloniser ce territoire. Nous manifesterons jusqu’au bout pour exiger un cessez le feu immédiat – Stop la guerre, stop les massacres – stop la barbarie…

Rassemblement samedi 13 janvier à 14h au Castillet à Perpignan contre la guerre de Netanyahou pour la paix entre Palestiniens et Israéliens – Non aux massacre du peuple palestinien – Cessez-le-feu – Stop à la guerre !

La LDH sera présente à l’appel du Collectif national pour une paix juste et durable entre palestiniens et Israéliens

 Immense manifestation pour la paix samedi 6 janvier à Tel-Aviv et contre la colonisation juive dans les territoires palestiniens (L’Humanité du 7 janvier)

PLUSIEURS dizaines de milliers d’Israéliens, en majorité des jeunes, ont manifesté samedi soir à Tel-Aviv «pour sauver la paix». Les manifestants répondaient à l’appel du mouvement Génération paix, créé par Yuval Rabin, fils de l’ancien premier ministre assassiné en novembre 1995. Ils se sont regroupés sur l’ancienne place des Rois-d’Israël, rebaptisée place Yitzhak-Rabin, où s’était déroulé le meurtre.

A la veille du départ pour Washington de Benyamin Netanyahu, les manifestants ont appelé le premier ministre à geler la colonisation juive dans les territoires palestiniens et à relancer les négociations avec l’Autorité palestinienne de Yasser Arafat afin de «sauver la paix».

 A Gaza, un demi-million de Palestiniens ne savent pas où rentrer après la guerre, selon l’ONU

https://news.un.org/fr/story/2024/01/1142212

Alors que l’armée israélienne a poursuivi ses bombardements contre le Hamas dans la bande de Gaza, un demi-million de Gazaouis ne savent pas où rentrer à la fin du conflit en raison des destructions, a indiqué mercredi le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA).

Grande manifestation au Michigan (USA) pour la Paix en solidarité avec le peuple palestinien (Vidéo)

Guerre Israël-Hamas : à Gaza, « il y a une hécatombe de la population civile », alerte Elias Sanbar, ancien diplomate palestinien

Invité sur France Inter vendredi 15 décembre 2012, Elias Sanbar dénonce « une entreprise de disparition » des Palestiniens.

Elias Sambar est un ami de la LDH 66 avec les conseils duquel nous avons travaillé dans le cadre d’une exposition sur les camps de réfugiés palestiniens. Il vit a Céret dans les po.

Publié sur francetvinfo le 15/12/2023

À Gaza, « il y a une hécatombe, il n’y a pas d’autres termes, de la population civile palestinienne », alerte Elias Sanbar, ancien ambassadeur de la Palestine auprès de l’UNESCO, vendredi 15 décembre, sur France Inter. « Les gens discutent de savoir si les chiffres sont crédibles. Je pense qu’ils ne sont pas crédibles parce qu’ils sont encore plus inquiétants », affirme celui qui a été l’un des architectes des accords de paix d’Oslo.

Sur la foi d’images satellite à haute résolution, l’Organisation des nations unies (ONU) indique que 18% de toutes les structures de la bande de Gaza ont été endommagées depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas. « Nous n’avons pas d’outils, de machines pour déblayer, Dieu sait ce que nous allons trouver sous les décombres », redoute Elias Sanbar. S’il n’emploie pas le mot « génocide », il « pense qu’il y a une entreprise de disparition » des Palestiniens.

Aujourd’hui commissaire de l’exposition « Ce que la Palestine apporte au monde », à l’Institut du monde arabe, à Paris, il décrit le « sentiment » qu’éprouvent, selon lui, les Palestiniens, à savoir qu’ils sont « un peuple de trop ». Le sentiment « que nous n’avons pas de place, qu’il faut qu’on sorte de scène ». « Toute notre histoire depuis 1948 [et la création de l’État d’Israël] est celle-là : sortez de scène, disparaissez, perdez votre nom, intégrez-vous là où vous voulez mais partez », ajoute-t-il.

« La fin du système du droit international »

L’ancien diplomate constate par ailleurs que « nous sommes en train de vivre, et pas simplement au niveau de la Palestine, la fin du système du droit international né après la Seconde Guerre mondiale ». « Nous sommes en train de vivre la fin de l’efficacité de l’ONU », un « organe qui est détesté par les trois plus grandes puissances de la planète pour des raisons diamétralement opposées« , renchérit-il.

Ainsi, « les Chinois n’aiment pas l’ONU, les Russes n’aiment pas l’ONU » et « les Américains n’ont pas arrêté de nous dire, j’en témoigne, ‘nous n’aimons pas le droit international' ». Pour lui, « il y a une mise à mort du droit international qui est en cours. À quoi va ressembler cette jungle que sera la planète ? », s’inquiète-t-il.

Invité à réagir à la mort de l’otage franco-israélien Elya Toledano, dont la dépouille a été récupérée dans la bande de Gaza par l’armée israélienne, Elias Sanbar rappelle qu’il est « absolument opposé à toute mort de cibles civiles ». Toutefois, « il faut que nos amis israéliens ou partisans d’Israël comprennent qu’on ne peut pas être réduit, à chaque questions-réponses, à faire un acte qui prouve notre innocence, notre manque de complicité avec des assassins ». Pour lui, « ça n’est plus possible, c’est injuste ».