Une approche de Nonna MAYER construite à partir des résultats du sondage annuel effectué pour la Commission nationale consultative des droits de l’homme depuis 1990 qui explore toutes les formes de racisme et de xénophobie.
Elle permet d’isoler une population particulière, celle des sympathisants frontistes, ou les personnes qui citent le Front national comme le parti dont elles se sentent « le plus proche ou disons le moins éloigné ». Afficher ouvertement une proximité avec le parti frontiste engage certes moins que l’adhésion, mais plus qu’un simple vote.
Des résultats édifiants et loin de la « dédiabolisation » affichée par Marine Le Pen visant à donner du FN l’image d’un parti « comme les autres ».
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