Place aux jeunes : Contrôle aux faciès et violences policières

Discussion avec Slim Ben Achour (avocat des 18 jeunes du 12e), Bernard Champagne (psychosociologue), Laurence Blisson (Syndicat de la Magistrature).

Une dégradation des relations entre les jeunes et la police a pu être constatée dans l’arrondissement. Cela se traduit entre autre par des contrôles d’identité à répétition qui révèlent des pratiques discriminatoires dénoncées par les ONG Human Rights Watch et Open Society. Le « profilage ethnique » est un problème qui dépasse, bien sûr, le cadre de notre arrondissement. Cependant, n’est-il pas temps de mettre en place des mesures qui empêchent de telles dérives ? Pourquoi ne pas faire du 12e arrondissement un terrain d’expérimentation d’un récépissé de contrôle comme cela existe dans certains pays européens ? NON à la banalisation de la surveillance policière dans nos rues !

Repas en fin de soirée

Place aux jeunes : exposition « Égalité trahie »

Témoignages accompagnés des photographies d’Ed Kashi (agence photo internationale VII )

Le rapport de l’Open Society Justice Initiative « L’Egalité Trahie : l’Impact des Contrôles au Faciès », sorti en septembre 2013, décrit un véritable problème de société qui menace la cohésion sociale, l’identité nationale et même l’efficacité de la police. Désignation de « citoyens de seconde classe », suspects de par leur simple apparence ; humiliation intime et publique ; peur de contrôles qui pourraient « mal tourner » partagée par des familles et des communautés entières ; perte de confiance envers la police… L’impact de ces contrôles reste largement sous-estimé. En se basant sur ce rapport, l’exposition « L’Égalité Trahie » cherche à prolonger cette interrogation en l’amenant sur la Place publique, des places publiques.

Place aux jeunes : Exposition « Égalité trahie »

Témoignages accompagnés des photographies d’Ed Kashi (agence photo internationale VII )

Le rapport de l’Open Society Justice Initiative « L’Egalité Trahie : l’Impact des Contrôles au Faciès », sorti en septembre 2013, décrit un véritable problème de société qui menace la cohésion sociale, l’identité nationale et même l’efficacité de la police. Désignation de « citoyens de seconde classe », suspects de par leur simple apparence ; humiliation intime et publique ; peur de contrôles qui pourraient « mal tourner » partagée par des familles et des communautés entières ; perte de confiance envers la police… L’impact de ces contrôles reste largement sous-estimé. En se basant sur ce rapport, l’exposition « L’Égalité Trahie » cherche à prolonger cette interrogation en l’amenant sur la Place publique, des places publiques.