Charte contre les violences gynécologiques : les femmes encore sommées d’être leurs propres gardes du corps


Dans le cabinet d’un gynécologue-obstétricien, le 3 juin à Lyon. (Bruno Amsellem/Libération)


Trois semaines après la mise en cause d’un gynécologue parisien de renom, le Collège national des gynécologues et obstétriciens français a publié jeudi une charte de bonnes pratiques. Encore une fois, l’accent est mis sur la nécessité des femmes de se porter garante du respect de leur intégrité corporelle au lieu de sensibiliser les praticiens.

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