A l’instar de nombreuses organisations politiques, syndicales ou religieuses, nous comptons apporter également notre eau au moulin des électeurs qui ne souhaiteraient pas suivre les injonctions des médias et réseaux sociaux dont certains aimeraient « faire les élections ». C’est pourquoi nous nous permettrons de leur apporter quelques pistes de réflexions qui ne manqueraient pas sans cela de leur échapper dans la jungle des publications actuelles.
L’avenir des droits de l’enfant se décide à l’Assemblée nationale
« L’espoir du monde repose sur les générations à venir ». Ce sont les mots qui ont annoncé la création de l’UNICEF, l’agence des Nations unies pour les droits de l’enfant en 1946.
Dès sa création au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’UNICEF s’est consacré à assurer la protection et la survie des millions d’enfants victimes de la guerre.
Plus de 75 ans après, notre mandat demeure inchangé : défendre les droits de chaque enfant. Partout. Tout le temps.
Présent dans plus de 190 pays et territoires, l’UNICEF est aujourd’hui la première organisation en matière de défense des droits de l’enfant.
À quelques jours des élections législatives anticipées du 30 juin et 7 juillet 2024, l’UNICEF France appelle les candidats à s’engager pour faire de ces droits une réalité sur l’ensemble du territoire.
L’usage du mot « immigrationniste », une forme de complotisme
LES MOTS DEMONS. Le président a utilisé ce mot emprunté au vocabulaire de l’extrême droite pour qualifier le programme de la gauche. Il y a peu, c’est contre lui que le RN en faisait usage.
La digue qui protégeait la droite républicaine de l’extrême droite Lepéniste a commencé à se fissurer par la sémantique. On a ainsi vu surgir dans le vocabulaire de politiciens respectés des expressions comme « grand remplacement » « ensauvagement » ou « français de souche ». La macronie n’est pas à l’abri de cette dérive. Le président de la République, mardi 18 juin, a ainsi qualifié le programme du Nouveau Front populaire de « totalement immigrationniste », soulevant un tollé.
Faire front populaire, avec le mouvement social
Plus de 150 syndicalistes, militant·es des mouvements sociaux, de la gauche alternative, répondent présent·es à l’appel d’un Nouveau Front Populaire et appellent à s’y engager à la base pour faire reculer l’extrême droite et aller plus loin dans la rupture et l’alternative.
Le vrai visage du RN
Dans le grand théâtre de la politique, le RN joue la pièce en deux actes : xénophobie et coup de hache dans les protections sociales. Derrière les promesses fumeuses se cache une volonté acharnée de réduire les financements publics et d’exclure les étrangers des droits sociaux.
De quoi le Rassemblement National est-il le nom ?
Alors quoi, le RN serait désormais devenu un parti respectable et républicain ? Au point que désormais certains intellectuels de gauche et de la droite dite républicaine se disent prêts à voter pour l’extrême droite face au Nouveau Front Populaire (NFP) en cas de duel au 2e tour des élections législatives le 7 juillet prochain ?
Le Nouveau Front populaire au défi du vote d’extrême-droite
Pour renforcer leur bloc électoral et battre le Rassemblement national, les gauches veulent croire que leur programme social pourrait inciter de nombreux électeurs à voter pour elles.Mais elles manquent de temps pour mener une bataille culturelle profonde.
Les réunions électorales publiques dans l’Aube
Ce calendrier est encore incomplet et sera mis à jour au fil de l’organisation des événements.
1ère circonscription:
A venir
2ème circonscription:
Ce soir à la mairie d’Aix-en-Othe (salle des mariages) | 18 h 30 |
Mardi 25 juin à Saint-André-les-Vergers | 18 h |
Mercredi 26 juin à Bouilly | 18 h |
Jeudi 27 juin à La Chapelle Saint-Luc (espace culturel) | Horaire à confirmer |
Vendredi 28 juin Bar-sur-Seine | 18 h 30 |
3ème circonscription
Et aussi
Jeudi 20 juin
Les syndicats appellent à la grève et à un rassemblement à 10h30 devant la Maison des Syndicats et de la Vie citoyenne, 2A, boulevard du 1er RAM à TROYES.
Samedi 22 juin
La riposte féministe bouillonne face à l’extrême droite
Comme les partis politiques, les associations féministes font front commun contre le Rassemblement national, mettant de côté leurs divergences pour lutter contre des menaces très concrètes pour les droits des femmes.