L’armée israélienne a annoncé ce mardi 13 mai avoir bombardé un hôpital de la bande de Gaza utilisé selon elle pour des « activités terroristes » par le mouvement islamiste Hamas, qui a fait état de la mort d’un journaliste accusé par le passé par Israël d’avoir participé à l’attaque du 7-Octobre.
Malnutrition, stocks épuisés… à Gaza, plus d’une personne sur cinq est menacée de famine
Le blocus israélien total depuis dix semaines a épuisé les stocks accumulés durant la trêve du début d’année, selon les données d’agences de l’ONU et d’ONG.
400 personnes se sont rassemblées ce 1er Mai à Troyes pour célébrer la Journée internationale de lutte pour les droits des travailleuses et travailleurs. Après un défilé en ville sonore mais serein, tout le monde s’est retrouvé place Jean-Jaurès où la fête a battu son plein la journée entière.
L’équipe de choc de la LDH
Le chamboule-tout du collectif Louise-Michel
Pour le plaisir des grands et des petits
La chorale Louise-Michel
Personne ne manque à l’appel
Les premiers levés
Au hasard des stands
Partager la publication "1er Mai ensoleillé et réconfortant aujourd’hui à Troyes"
Le rendez-vous est donné à 10 h, ce jeudi 1er mai, place Jean-Jaurès devant la Bourse du travail à Troyes. Le cortège traversera les grandes artères de la ville comme le boulevard Carnot, le boulevard Gambetta, la rue de la République et la rue Émile-Zola. Un service de restauration est proposé sur place.
L’après-midi jusqu’à 17 h, des concerts et de la danse animeront la place. Les stands de plusieurs associations citoyennes seront également présents comme le Cemoa (Collectif d’études du mouvement ouvrier), le Collectif Louise-Michel, la LDH (Ligue des droits de l’Homme), le MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples), Nous toutes 10 et l’OST (Organisation de Solidarité Trans).
Des panneaux consacrés aux 80 ans de la Sécurité sociale seront disposés sur la place.
NB: Le collectif Louis-Michel et la LDH sont bien 2 organisations partenaires mais distinctes, contrairement à ce que laisse supposer l’article de l’Est-Eclair.
Israël a complètement rasé Rafah, transformant un cinquième du territoire de Gaza en une zone tampon géante. Cela fait partie du plan d’Israël pour rester définitivement à Gaza et faciliter le nettoyage ethnique de sa population.
Cisjordanie au jour le jour : Les colons et les forces israéliennes assassinent ensemble
Notre point sur la situation cette semaine en Cisjordanie, où l’armée israélienne poursuit sa brutale opération « mur de fer », assassinant au moins sept Palestinien·nes dont un enfant de 12 ans.
La destruction d’engins lourds essentiels, mardi, suite à des frappes aériennes israéliennes, a paralysé les opérations de secours, rendant encore plus difficile l’accès aux quelque 11.000 corps encore emprisonnés sous les décombres.
Selon les autorités locales, ces frappes ont mis un terme à toutes les opérations d’enlèvement des déchets solides et des débris, a déclaré le porte-parole du Secrétaire général de l’ONU, Stéphane Dujarric, aux journalistes lors d’un point de presse à New York.
Jusqu’à récemment, des bulldozers et autres engins d’excavation étaient utilisés dans les efforts laborieux pour extraire les corps des décombres.
Un bulldozer conduit par Atif Nasr – qui travaillait avant la guerre à la construction et à la réparation de routes – était devenu indispensable pour extraire les restes de proches des décombres.
Khan Younès, le 17 avril 2025. Un garçon récupère de la farine après une frappe israélienne sur un abri de tentes. L’agence de défense civile de Gaza a déclaré le 17 avril que des frappes aériennes israéliennes avaient touché plusieurs campements de civils déplacés, tuant au moins 25 personnes Eyad BABA / AFP
Mardi 15 avril 2025.
Cela fait plus de 45 jours que nous sommes sous blocus total, hermétique. Rien ne passe, ni importations du secteur privé ni aide humanitaire. Le 18 mars, Benyamin Nétanyahou a violé l’accord de cessez-le-feu et repris la guerre avec des violences et des massacres jamais vus. Je voudrais vous parler de ma vie quotidienne dans cette grande cage avec la continuation de ce génocide.
Le collectif regroupe de façon transpartisane associations, collectifs, syndicats et partis. Pour montrer à l’extrême-droite locale que les Aubois n’acceptent pas qu’une élue condamnée par la justice conteste le verdict rendu à la suite d’un procès parfaitement juste et équitable, basé sur des faits avérés à la suite d’un longue enquête, ainsi que ses conséquences, bafoue la loi et remette en cause l’institution judiciaire en la menaçant aussi violemment, il était nécessaire qu’une autre voix que celle de l’extrême-droite se fasse entendre.
C’est ainsi qu’une quinzaine de membres des organisations composant le collectif ont distribué des tracts aux passants aux abords du marché central, pendant que le député RN local, sans attendre la manifestaton nationale qui se tiendra demain à Paris, tentait de rameuter ses troupes composées pour l’occasion d’une poignée d’anciens combattants arborant leurs médailles gagnées on sait comment en Algérie et de quelques jeunes égarés du mouvement politique français nationaliste et royaliste d’extrême-droite dénommé Action française.
Tractage en cours/SG
Il s’agissait pour le collectif de rappeler que:
Dans un Etat de droit
la loi s’applique pareillement
à toutes et tous
Marine Le Pen et plusieurs dirigeants du Rassemblement national (RN) ont été condamnés pour des détournements de fonds publics de plus de 4 millions d’euros. En sus d’une peine de prison de quatre ans, la peine d’inéligibilité pour Marine Le Pen est assortie de l’exécution provisoire. La candidate annoncée du RN à l’élection présidentielle de 2027 ne pourrait se présenter, sauf à ce que la décision d’appel l’infirme.
La condamnation en première instance de Marine Le Pen et de 24 cadres du RN pour détournement de fonds publics ou recel a déclenché une violente campagne contre le système judiciaire et l’Etat de droit. En mettant en cause la séparation des pouvoirs, l’extrême-droite s’en prend ouvertement à un fondement de notre République démocratique.
Ces attaques ne sont pas fondées sur l’appréciation factuelle et juridique des motifs de la décision du tribunal. Elles sont entièrement axées sur l’idée d’un « complot » qui viserait à priver le « peuple » de sa souveraineté et de l’expression de « sa » volonté. Un « gouvernement des juges » remplacerait le « gouvernement par le peuple ». Par un retournement caricatural du sens des choses, alors que le jugement est motivé en droit et au regard des éléments de preuve recueillis, au terme d’un procès équitable, il serait une violation de « l’Etat de droit », un coup porté à la démocratie !
Le Collectif aubois de lutte contre les extrêmes-droites condamne fermement ces attaques et les relais qu’elles trouvent au-delà même des rangs de l’extrême-droite. Il affirme son plein et entier soutien aux magistrat·es dans l’exercice de leurs fonctions, sur leur liberté d’organisation syndicale et sur les moyens dont la justice doit être dotée pour assumer ses missions.
Alors que les premières enquêtes d’opinion attestent du fait que la majorité de la population estime normale la décision prise par la justice, le collectif aubois de lutte contre les extrêmes-droites appelle à résister avec détermination à l’offensive idéologique en cours et à la vigilance quant aux possibles évolutions de la situation.
La confusion qui règne actuellement en France et, en l’occurrence, sur le marché de Troyes ce samedi matin, n’a pas manqué de se manifester quand les passants que nous abordions nous demandaient bien que nous puissions clairement être identifiés par des badges : »Vous êtes pour Marine le Pen ? » Question à laquelle notre réponse négative, les assurant du contraire, recevait immédiatement un soupir de soulagement et des encouragements à poursuivre notre combat tellement nécessaire. Si ces discussions très intéressantes pouvaient buter sur quelques désaccords, toutes se terminaient de la part de nos interlocuteurs par : « Qu’elle aille en prison! Elle a triché, elle a volé, elle doit payer. Elle ne peut plus prétendre diriger le pays. » Preuve s’il en en est que, si certains d’entre eux nous annoncaient avoir auparavant voté pour elle, c’était bien la dernière fois.
Une partie de l’équipe de choc/ SG
Il flottait ce matin à Troyes, dans l’air printanier, un formidable sentiment d’espoir. Nous mêmes nous sommes trouvés plutôt surpris de l’accueil chaleureux reçu de la plupart des chalands troyens. Il y a là franchement de quoi réchauffer le coeur…
En réponse aux nombreuses demandes, pour nous contacter, nous écrire sur l’adresse courriel de ce site qui transmettra:
Le député RN Jordan Guitton organise ce samedi matin à 10h sur le marché de Troyes une « opération de tractage en soutien à Marine le Pen et à la démocratie« .
Etant très attachés à la démocratie, la vraie, pas la copie innacceptable que veulent en faire les escrocs en s’en prenant à la Justice et aux magistrats, nous accompagnerons nos amis du PCF qui ont également prévu un tractage ce samedi matin sur le marché, pour rappeler que, dans un état de droit, la loi s’applique pareillement à toutes et tous.
Le collectif aubois de lutte contre les extrêmes-droites vous y attend donc dans le calme et la dignité, plus nombreux que les partisans de la haine.
Partager la publication "Troyes: le RN fait son marché"
HALTE AU GÉNOCIDE À GAZA ! HALTE À TOUTE EXTENSION DE LA GUERRE ! NON, AU PLAN TRUMP/NETANYAHOU DE DÉPORTATION DES GAZAOUIS ! RESPECT DU DROIT DES PALESTINIENS DE VIVRE SUR LEURS TERRES !
Exigeons de l’État français, des mesures concrètes pour le cessez-le-feu PERMANENT et pour l’arrêt IMMÉDIAT des livraisons d’armes à Israël
À l’appel du Collecif aubois pour la Paix : CGT, Solidaires, FSU, MRAP, LDH, Greenpeace,
AGUI, Libre Pensée, Collectif Louise Michel, LFI, POI, PCF, Génération.s.
4000 citoyens aubois se sont déjà prononcés pour que le gouvernement français interdise la livraison d’armes à Israël et prenne toute sanction pour imposer que l’aide humanitaire parvienne aux gazaouis affamés.
Le Collectif exige :
Cessez-le-feu total et permanent !
Arrêt de la guerre contre le peuple palestinien !
Levée durable du blocus de Gaza !
Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie !
Arrêt des livraisons d’armes à Israël !
Arrêt de toute coopération militaire et sécuritaire !
Sanctions contre Israël !
Reconnaissance d’un État Palestinien !
Arrêt de l’occupation/colonisation expansives par Israël des territoires palestiniens et voisins.
Partager la publication "Manifestation du 29 mars à Troyes"
Venez découvrir le premier événement de l’Association C qu’Ailes du trauma a l’envol
Des échanges, des rencontres, des exposants et thérapeute bien être dans un cadre bienveillant et chaleureux.
Nous avons hâte de partager ce moment avec vous !
L’équipe C qu’Ailes .
De 10h à 17 h Salle Ninet à Rosières-près-Troyes
Mardi 1er avril
Climat : le franc-parler de François Gemenne
Quels sont les impacts humains du réchauffement climatique ? Le chercheur François Gemenne apportera des réponses claires lors de conférences-débats MAIF. Avec un sens de la pédagogie et un franc-parler qui raviront son auditoire.
Le service Politique de la Ville organise un petit-déjeuner solidaire ce mercredi 2 avril, de 8h00 à 10h00, à la Maison de l’Animation et de la Culture. Cet événement rencontré en lumière l’expression artistique des enfants en situation de handicap et l’importance de leur inclusion sociale, en partenariat avec l’association Vice vers’ Amour.
Un engagement artistique et inclusif
Les associations « Vice vers’ Love », « Les Arts Confondus » et « Autisme SolidaruitéEt Cetera », sous la direction de l’artiste Yves Romao, ont uni leurs compétences pour créer « La Maison Gentilléenne » dans le Val-de- Marne, un centre dédié aux enfants autistes. Ce centre combine suivi thérapeutique, activités sportives et pratiques artistiques pour favoriser leur épanouissement. Depuis juillet 2022, une antenne de ce centre a été installée à la Maison de l’Animation et de la Culture de Pont-Sainte-Marie, grâce au soutien financier de l’ANCT et de la Ville. Cette antenne propose des ateliers artistiques permettant aux enfants en situation de handicap de s’exprimer, de développer leur créativité et de s’intégrer socialement.
DES ATELIERS POUR DÉVELOPPER TALENTS ET CONFIANCE EN SOI
Chaque semaine, un petit groupe d’enfants participent à des activités variées (musique, graff, danse, magie…), encadrés par des membres des associations et des professionnels. Ces ateliers les aident à affirmer leur personnalité, renforcer leur estime de soi et découvrir de nouveaux horizons en travaillant la concentration, l’écoute et l’imagination.
UN PETIT-DÉJEUNER ANIMÉ ET SOLIDAIRE
Lors de ce petit-déjeuner, préparé par les apprentis en cuisine du CFA Alméa, plusieurs animations seront proposées : Le magicien Marco Niccolini effectuera des tours de close-up au sein du public. Une démonstration de graff sera réalisée par Rise up Paint
LA P’TITE BOÎTE BLEUE : UN GESTE SOLIDAIRE
La P’tite Boîte Bleue sera présente lors du petit-déjeuner et restera accessible tout au long du mois d’avril à la Maison de l’Animation et de la Culture, à la Mairie et chez plusieurs commerçants partenaires dans l’Aube. Les dons collectés permettront de financer des ateliers artistiques, culturels et sportifs pour les enfants en situation de handicap. Chacun peut y contribuer du 2 au 30 avril 2025 ! En 2024, l’association a organisé plus de 250 ateliers, initiations et prestations artistiques et culturelles, bénéficiant à plus de 550 personnes, incluant enfants en situation de handicap, aidants, jeunes issus de quartiers prioritaires et personnes vulnérables. Les initiatives Généros’idées et La P’tite Boîte Bleue contribuent à co-financer ces activités essentielles.
De 8h à 10h à la MAC de Pont-Sainte-Marie
Jeudi 3 avril
64 ANS, C’EST TOUJOURS NON !
Notre mobilisation empêche le gouvernement et le patronat d’enterrer la question des retraites ! À peine appliquée, la réforme des retraites fait déjà des ravages : chômage des seniors en hausse, départs retardés pour les femmes, absence de prise en compte de la pénibilité… Le premier ministre a trahi ses engagements en affirmant que les « concertations » ne pourraient pas revenir sur les 64 ans ! La majorité de la population et des parlementaires exigent l’abrogation de la réforme des retraites : la démocratie doit parler ! La CGT appelle tous les salarié·es à rejoindre les fonctionnaires et les agent·es publics y compris par la grève, dans les rassemblements et les manifestations pour exiger l’abrogation de la réforme des retraites et l’augmentation des salaires. Sous prétexte d’économie de guerre, ils veulent nous faire travailler toujours plus et envisagent de nouvelles régressions dans les écoles, les hôpitaux, les universités, la culture, les collectivités locales, les tribunaux. Au contraire, défendons la paix et la coopération entre les peuples, la justice sociale et environnementale : plus que jamais ces combats sont liés ! Pour se soigner, pour répondre aux besoins en matière de transports, de logement, d’éducation et de formation, de recherche, de culture, d’information, de sport pour toutes et tous, d’environnement, et pour lutter contre l’obscurantisme, le 3 avril mobilisons-nous aussi pour renforcer et développer les services publics !
De 200 à 300 selon les décomptes (faits soit en début, soit en fin de manifestation), de citoyennes et citoyens militants de Troyes et alentours se sont rassemblés place de l’Hôtel de ville en début d’après-midi, ce samedi 22 mars à l’appel du Collectif dans le cadre de la Journée internationale contre le racisme.
Le 18 décembre 2024, lors d’un meeting pour la Journée internationale des migrants, nos organisations et collectifs ont déclaré :
« Nous ne voulons pas d’une société raciste. Ensemble, construisons la société dans laquelle nous voulons vivre, une société de tous les droits pour toutes et tous, une société de solidarité, de fraternité, de justice, et de respect des libertés ».
Cette déclaration commune est plus que jamais d’actualité face aux attaques renouvelées contre les personnes étrangères avec ou sans papiers, d’origine étrangère ou présentées comme telles.
Nous voulons, pour nous comme pour nos voisin-e-s, collègues de bureau, d’atelier, nos camarades d’amphi, pour notre médecin, notre boulangère, pour la copine ou le copain de classe de nos enfants… une réelle égalité des droits.
Nous ne concevons pas la société autrement que dans la fraternité qui est marquée sur le fronton des édifices publics, aux côtés de la liberté et de l’égalité. Nous ne concevons pas la société autrement que rassemblée par l’accès effectif à tous les droits, pour toutes et tous.
Les comportements racistes et xénophobes sont le quotidien pour tant de personnes aujourd’hui, du fait de leur origine, de leur couleur de peau, de leur religion. Les actes violents se multiplient, faisant vivre dans la peur, la souffrance, l’injustice d’un quotidien de discriminations.
Le quotidien, ce sont aussi les discours de haine désinhibés, les propos mensongers de responsables politiques et de médias contrôlés par des acteurs économiques disposant de moyens considérables, qui stigmatisent des populations et des quartiers et manipulent les chiffres.
La circulaire Retailleau s’inscrit pleinement dans cette approche, repoussant les personnes sans-papiers dans la clandestinité et la surexploitation dans l’emploi, imposant un durcissement des conditions de la régularisation de leur droit au séjour, et ouvrant des possibilités supplémentaires d’expulsions.
Le même ministre ainsi que des médias d’extrême droite s’en prennent aux associations et syndicats qui soutiennent les personnes étrangères, mettant en péril leur rôle crucial pour la démocratie, l’Etat de droit et l’inclusion sociale.
Le Premier ministre lui-même reprend les formulations stigmatisantes de l’extrême droite, faisant des personnes d’origine étrangère les boucs émissaires de tous les maux la société.
Ces discours publics, allant jusqu’à remettre en cause le droit du sol, cherchent à nous opposer les un-e-s aux autres alors que nous partageons les mêmes aspirations au bien-être, à la justice économique et sociale, et à l’égalité des droits. L’absence d’accès aux droits des uns n’a jamais donné plus de droits à d’autres !
Toutes et tous ensemble, agissons uni-e-s et rassemblons-nous, le samedi 22 mars 2025 pour la Journée internationale contre le racisme, pour un autre projet de société, humaniste, solidaire et égalitaire.
Les rassemblements prévus par les sections LDH partout en France:
Un appel à l’initiative de la LDH (Ligue des droits de l’Homme), Attac France, La Cimade, Confédération générale du travail (CGT), Fédération syndicale unitaire (FSU), Femmes Egalité, Groupe d’information et de soutien des immigrés (Gisti), Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap), Oxfam France, SOS Racisme, Syndicat des avocat·es de France (SAF), Union syndicale Solidaires
Autres signataires : Accueil Réfugiés Bruz, Action culture entreprise Rennes, Action non-violente COP21 (ANV-COP21), Ados sans frontière Gard, ADSF Agir pour la santé des femmes, Africoeur, Afrique Terre des hommes, Ah Bienvenue Clandestin•es !, Alertes féministes, Alternatiba, Amoureux au ban public de Lyon, Assemblée citoyenne des originaires de Turquie (Acort), Association Alice Guy production, Association C KOI CA, Association Droits & Habitats, Association France Palestine solidarité 46, Association Grandissons, Association nationale des villes et territoires accueillants (ANVITA), Association Olympe de Gouges Toulouse, Association Périphérie-la Pépinière, Bagagérue une consigne pour sans abris, CentraleSupélec au féminin, Centre de recherche et d’information pour le développement (CRID), Centre social espace Boris Vian à Saint-Etienne, Cévennes terre d’accueil, Charente Palestine Solidarité, Collectif Accueil migrant·es du Narbonnais, Collectif antifasciste du Bassin minier 62, Collectif asile et immigration, Collectif aubois de lutte contre les extrêmes droites, Collectif Chabatz d’entrar Limoges, Collectif du Bocal, Collectif fraternité Colmar, Collectif national pour le droit des femmes (CNDF), Collectif Pour que personne ne dorme à la rue, Collectif pour le respect des droits des étrangers (CRDE Solidarité Migrants) Pau-Béarn, Collectif pour une autre politique migratoire (Strasbourg), Collectif saint-lois d’aide aux migrants (CSLAM), Collectif 50 pour les droits des étrangers, Collectif 50/50, Comede, Comité citoyen pour l’accueil des réfugiés en Uzège, Confédération paysanne Aveyron, Confédération paysanne des Landes, D’Antilles et D’Ailleurs, Dom’Asile, Emmaüs France, Epicerie solidaire des 4 ponts, Equipop, Faire et agir, Fédération des associations générales étudiantes (Fage), Fédération des mutuelles de France, Fédération nationale Solidarité Femmes (FNSF), Fédération régionale des centres d’information sur les droits des femmes et des familles d’Ile de France, Filactions, Force féministe (57), France Amérique latine, Fondation Copernic, Identité plurielle, Kolone, Le Cercle Olympe de Gouges, Les Amis du Monde diplomatique de Toulouse, Les Gratuits Gironde solidarité, Les midis du mie, Ligue de l’enseignement, Ligue des droits de l’enfant (Belgique), LIMBO, Maison de l’Europe des Landes WIPSEE, Maison du peuple en colère, Maison internationale de Rennes, Marche mondiale des femmes France, Médecins du monde (MdM), Migrants Bretagne romantique-québriac migrants solidarité (MBR-QMS), Monde Solidaire La Flèche, Mouvement du Nid-France, Mouvement pour une alternative non-violente (MAN), Nos couleurs, Centre LGBTI+ des Landes, #Nous toutes, Observatoire des VSS dans l’Enseignement Supérieur, Paris d’Exil, Pépite Sexiste, Réseau d’actions contre l’antisémitisme et tous les racismes (RAAR), Réseau éducation sans frontières (RESF), Réseau féministe « Ruptures », Réseau hospitalité, Rosmerta, Réseau université sans frontières 13 (RUSF13), Saint-Michel en commun, SNPESPJJ FSU Section 37/41, Solidaires en Beaujolais-Villefranche sur Saône, Solidarité accueil exilé·e·s, Solidarité Jean Merlin (Paris 18), Solidarité migrants Graulhet, Solidarité migrants La Rochelle, Solmire Landes (Solidarité migrants réfugiés), Sortir du nucléaire Sarthe,Soutien migrants Redon, Syndicat de la médecine générale (SMG), Team Sama, Terre d’errance, Terre de Milpa, Tous migrants, Un toit c’est tout, Une école un toit des papiers Pays dacquois, Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (UJRE), Union étudiante, Union nationale des étudiants de France (Unef), Utopia 56, 4acg (Anciens appelés en Algérie et leurs ami.e.s contre la guerre).
Paris, le 20 février 2025
Partager la publication "Troyes: contre le racisme et les extrêmes-droites"
La section LDH de l’Aube, par la voix de son secrétaire, a déclaré:
1975-2025 : une avancée majeure pour les droits des femmes qui ne cesse d’être remise en cause.
La promulgation, le 17 janvier 1975, de la loi sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG) a constitué une conquête historique pour les droits des femmes. Pour de nombreuses femmes, cette date a marqué la fin d’un cauchemar qui se manifestait par des grossesses non désirées ou par la nécessité d’avoir recours à des avortements clandestins qui mettaient leur vie même en danger. Cette avancée est indissociable du nom de Simone Veil. Celle-ci fit à cette occasion preuve d’un grand courage, mais c’est d’abord la mobilisation intense de militantes féministes, de la jeunesse et d’une partie de la société française qui a permis cette victoire.
En cinquante ans, les conditions d’applications de la loi Veil se sont assouplies mais, en France comme à l’étranger, le combat reste à mener pour enregistrer de nouveaux progrès ou pour éviter des retours en arrière que certaines forces réactionnaires veulent voir aboutir. En France, l’inscription dans la Constitution française de « la liberté d’avorter » et non pas du « droit d’avorter » montre combien ce sujet reste sensible. Par ailleurs, l’insuffisance des structures médicales garantissant l’accès à l’IVG dans le délai légal, les difficultés rencontrées par le Planning familial, le déficit d’information des jeunes filles et des jeunes garçons en matière de sexualité, la mauvaise utilisation de la clause de conscience, continuent d’être autant de facteurs qui font obstacle à une pleine reconnaissance de ce droit fondamental.
A l’étranger, nombreux sont les pays où les femmes sont encore confrontées à des restrictions ou même à des interdictions qui leur rendent l’accès à l’IVG impossible. Dans le monde, près de 50 000 femmes meurent chaque année faute d’avoir accès à l’interruption volontaire de grossesse (IVG), tandis que des milliers d’autres connaissent de graves problèmes de santé du fait de la législation en vigueur dans leur pays. En Amérique du Sud, par exemple, 97% des femmes vivent dans un pays où les lois restreignent les possibilités de recours à l’IVG. L’Europe n’échappe pas à ce triste constat. Si vingt-cinq pays sur vingt-sept autorisent l’avortement, il reste interdit à Malte (sauf si la vie de la mère est en danger et si le fœtus n’est pas viable). En Pologne, l’accès à l’IVG a même été restreint en 2021 : elle n’est plus autorisée qu’en cas de danger pour la mère, de viol ou d’inceste. En réalité, la montée de gouvernements réactionnaires dans de nombreux pays européens s’accompagne partout d’une forte présence de mouvements « pro-vie » ou anti-IVG. N’oublions pas les femmes aux Etats-Unis, confrontées à un recul patent de ce droit. En 2022, la Cour suprême des Etats-Unis a annulé un arrêt fédéral qui garantissait depuis 1973 le droit d’avorter sur tout le territoire, laissant ainsi à chaque Etat la liberté de déterminer sa propre politique sur l’accès à l’IVG. Depuis son retour au pouvoir, Donald Trump poursuit sa politique de remise en cause de l’IVG et vient ainsi d’en restreindre l’accès à l’information.
Alors que le droit à l’IVG continue d’être mis à mal, la LDH réaffirme sa volonté de se tenir aux côtés de toutes celles et de tous ceux qui agissent et qui œuvrent pour que les femmes, toutes les femmes, puissent disposer librement de leur corps partout dans le monde.
Le droit à l’avortement, c’est-à-dire le droit des femmes à disposer de leur corps, est et doit rester partout en France et dans le monde un droit fondamental à défendre.
On a pu entendre dans toute la France une immense clameur.
Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté samedi à Paris et ailleurs en France pour la Journée internationale pour les droits des femmes. Le collectif Grève féministe, qui organisait les manifestations, a revendiqué 120 000 participants à Paris et au total 250 000 en France.
La préfecture de police a annoncé 47.000 manifestants à Paris, soit près du double de l’an dernier. 9 300 personnes ont été recensées à Lyon, 7 500 à Toulouse, 6 000 à Lyon, 5 000 à Rennes, selon les préfectures. Au total, une cinquantaine d’associations, organisations et syndicats avaient appelé à l’organisation de 150 rassemblements dans toute la France.
En faisant le tour des plus de 150 manifestations en France, nous avons pu constater une fois ecore que les femmes ont autant d’humour qu’elles « en ont sous la godasse » (inventaire non exhaustif).
Partager la publication "8 mars: 200 personnes ont manifesté samedi à Troyes pour la défense des droits des femmes."
De nombreuses enquêtes statistiques et données juridiques attestent que, trente ans après la Déclaration de Beijing et le Programme d’action, adoptés en 1995 à l’unanimité par 189 pays, certaines inégalités entre les sexes et entre les femmes elles-mêmes se sont atténuées. Les transformations de la situation des femmes dans différents domaines traduisent des formes d’émancipation dont il faut se réjouir et qui doivent beaucoup et surtout aux luttes féministes. Partout dans le monde, des femmes se battent quotidiennement, jusqu’au prix même de leur vie, pour que leurs droits soient reconnus, et notamment celui à disposer de leur corps, le droit à l’instruction, à l’emploi, à des salaires dignes, à la représentation politique, à la transmission du patrimoine, et contre les féminicides… En ce jour, comment ne pas citer parmi tous les combats celui des femmes afghanes, de plus en plus invisibilisées et sommées de disparaître de l’espace public, ou celui des femmes iraniennes, puisque le nombre de condamnations à mort de femmes a été particulièrement important en 2024 ?
Sous l’impulsion du mouvement #MeToo, la chape de plomb qui pesait sur les violences sexuelles et sexistes semble peu à peu s’estomper mais beaucoup reste à faire, le mouvement lui-même subit de nombreuses attaques et n’est pas à l’abri d’un « backlash » visant à le décrédibiliser.
En cette journée du 8 mars 2025, la LDH (Ligue des droits de l’Homme) tient à rappeler avec force qu’en ce qui concerne les droits des femmes les avancées sont très largement inabouties et toujours fragiles. Nombreux sont les pays où ces avancées se heurtent à des résistances, voire à de véritables retours en arrière comme aux Etats-Unis avec la mise en question récente du droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Comme doit nous inquiéter la montée en puissance de discours masculinistes et virilistes qui, dans de multiples pays, montrent que les tenants d’une société patriarcale n’entendent pas renoncer à leurs privilèges ancestraux. La France elle-même est confrontée à des mouvements d’extrême droite qui instrumentalisent les droits des femmes, en ayant même parfois recours à la violence comme en témoignent des interventions du groupuscule Némésis, pour en réalité défendre des positions réactionnaires.
Depuis sa création, la LDH défend une société dans laquelle les femmes et les hommes sont libres et égaux. Cette année encore, la LDH, avec toutes ses adhérentes et tous ses adhérents, appelle à participer aux initiatives qui visent à conquérir pour toutes les femmes une égalité pleine et effective.
Séverine GIROUX, de Solidarité Femmes, Pascal LANDREAT, maire de PONT-STE-MARIE, Véronique HEUILLARD, maire-adjointe chargée des affaires sociales et de la petite enfance, Maryvonne BLUM, présidente de la section LDH de l’Aube.
Ce mercredi 5 mars, de 08h00 à 10h00, le service Politique de la Ville tenait à la Maison de l’Animation Culturelle, en partenariat avec la LDH de l’Aube et Solidarité Femmes, son petit-déjeuner mensuel autour de la thématique des droits des femmes. Cet événement était enrichi par la présence de stands de sensibilisation tenus par les deux associations.
Les premières prémices de la Journée internationale des droits des femmes remontent à 1910. Clara Zetkin, une militante socialiste et féministe allemande, est la première à avancer l’idée d’une journée consacrée aux droits des femmes lors d’une réunion de l’Internationale Socialiste des Femmes à Copenhague. L’obtention du droit de vote est l’une des premières revendications qui motive la naissance de cette journée. Elle s’exprima alors en ces mots : « Les femmes socialistes de tous les pays doivent organiser tous les ans une journée des femmes qui servira en premier lieu la lutte pour le droit de vote des femmes » . Cette réunion marque la décision de célébrer la Journée des droits des femmes sur le principe, mais la date du 8 mars n’est pas encore d’actualité.
C’est quelques années plus tard, en Russie, que s’imposera cette date qui coïncide avec le début de la révolution russe en 1917. Épuisées par la Première Guerre mondiale, de nombreuses femmes russes manifestent, dès 1913, à Petrograd pour la Journée internationale des ouvrières, elles y réclament « du pain et la paix ».
Ce 8 mars va prendre de l’ampleur et devenir le symbole du combat pour la libération des femmes.
En 1977, l’ONU officialise la date et appelle tous les États membres à instaurer, le 8 mars, la « Journée internationale des femmes » . En France, c’est François Mitterrand qui proclamera, en 1982, la journée des femmes suite aux revendications du mouvement de libération des femmes (MLF).
Depuis, chaque année, le 8 mars restera toujours d’actualité tant que l’égalité entre les femmes et les hommes ne sera pas atteinte.Source
La LDH dénonce la persistance des violences, des inégalités et des discriminations qui touchent les femmes dans tous les domaines. Elle milite pour que la législation française, largement égalitaire, soit effectivement appliquée : remboursement complet de la contraception, développement des services hospitaliers pratiquant l’IVG, orientation des filles dans toutes les filières, formations pour l’accès à tous les métiers et niveaux de responsabilité, égalité des salaires, mixité réelle des candidatures aux élections.
*
Pont-Sainte-Marie
En partenariat avec la section LDH de l’Aube, la Maison de l’Animation et de la culture de Pont-Ste-Marie organise 2 évènements:
Le mercredi 5 mars de 8h à 10h un petit-déjeuner mensuel de la MAC sur le thème des droits des femmes.
Le jeudi 6 mars de 19h à 21h: témoignages de deux réfugiés sur les droits des femmes :
Simine FATHI, artiste iranienne
Abdoul HAMID, cinéaste afghan
10, avenue Michel-Berger à PONT-SAINTE-MARIE
*
Sainte-Savine
Nous avons le plaisir de vous annoncer le lancement des Coins Causette, un espace d’échanges, de débats et de rencontres culturelles qui se veut à la fois informel et enrichissant. Les Coins Causette sont conçus pour offrir un cadre convivial et participatif où le public peut interagir, partager des idées, poser des questions et approfondir sa réflexion sur des thématiques variées, allant de la société à l’actualité en passant par la culture. Ces rendez-vous seront ponctués de rencontres littéraires, où auteurs, artistes et experts viendront échanger avec le public autour de leurs œuvres et de leur vision du monde. Chaque édition est pensée comme une véritable plateforme de dialogue, où les participants peuvent non seulement découvrir de nouveaux horizons mais aussi nourrir leur curiosité grâce aux échanges avec des personnalités de divers domaines.
Conférence inversée sur le féminisme, en partenariat avec le CIDFF le 06 mars à 19h à l’Art Déco. Ce premier rendez-vous abordera le thème du féminisme sous forme de conférence inversée. Loin des discours académiques traditionnels, ce format innovant invite les participants à poser leurs questions et à échanger librement avec des experts et des intervenants, dans un cadre dynamique et participatif
Journée internationale des Droits des femmes au Rucher Créatif !
Rejoignez-nous au Rucher Créatif pour une journée de réflexion, de créativité et de partage, dans un esprit de solidarité et d’engagement pour les Droits des Femmes.
Programme :
09h30 à 11h30 : Atelier créatif « Sublimer les femmes du monde »
Un moment pour célébrer la force et la beauté des femmes à travers un atelier artistique.
En art, les femmes ont toujours eu leur rôle à jouer, muses ou modèles, protectrices et mécènes, commanditaires et collectionneuses ou amatrices éclairées. En revanche, jusqu’aux années 1960, il leur a été difficile de revendiquer avec force une place légitime en tant qu’artistes, au même titre que les hommes.
Tarif unique
4.00 € – 4.00 €
– 4 € / adulte en sus du billet d’entrée
Réservation conseillée : 03 25 76 26 81
Samedi 8 mars à 15h00
Musée d’Art moderne – collections nationales Pierre et Denise Lévy 10000 Troyes
*
La Chapelle Saint-Luc
Quelle est la modernité de la vie et de l’œuvre Simone de Beauvoir ? Pourquoi reste-t-elle une référence pour la majorité des féministes du monde entier ? Pourquoi Le Deuxième sexe est-il toujours un livre incontournable ? Ce film retrace la trajectoire, les lignes de force d’un des esprits les plus libres du XXIe siècle. L’ambition de ce documentaire est de rendre vivante, contemporaine l’auteure des Mémoires d’une jeune fille rangée. Pour cela des archives exceptionnelles et les témoignages de femmes puissantes venues d’horizon divers : Leïla Slimani, Elisabeth Badinter, Titiou Lecoq.
Un documentaire de Fabrice Gardel et Mathieu Weschler
A l’occasion de la journée internationale du droit des femmes, découvrez ou redécouvrez la vie de Simone de Beauvoir.
Entrée libre sur réservation
Projection proposée par les étudiantes du cursus patrimoines et musées de l’URCA
Forum tout public pour le mieux-être, la santé et la prévention des femmes et l’accès à leurs droits
Au programme de ce 2è forum organisé par la Maison des solidarités d’Aix-en-Othe (service du Département de l’Aube), en partenariat avec la Maison de santé :
stands insertion professionnelle, accès aux droits, prévention santé…
conférence sur la ménopause par le Dr Ferrari et Mathilde Mance sage-femme,
projection-débat sur l’évolution des droits des femmes par le CIDFF,
démonstration de self-défense et sport au féminin,
La LDH de l’ Aube s’agace que la « fédération » Reconquête !, forte de ses quelques milliers d’adhérents et de ses 0,7% de voix aux élections législatives de juillet 2024, s’insurge dans la presse locale des manifestations du Collectif aubois pour la Paix et continue de distiller sa haine, sa xénophobie et son obscurantisme violent. Ces manifestants s’insurgent tout autant que Reconquête ! de la mort des enfants de la famille Bibas et de leur maman. Elle demande au préfet et au maire de veiller à ce que la vérité ne soit pas déformée par de telles accusations et de continuer d’autoriser les citoyens à manifester pour des causes justes telles que la Paix. Reconquête ! n’a rien à faire dans un pays démocratique.
RD
Israël entrave la libération de prisonniers palestiniens malgré la remise de six otages
Un groupe de 620 prisonniers palestiniens devait être libéré samedi, ce qui aurait constitué la plus importante libération en une seule journée.