Bienvenue sur le site de la section Paris 5ème et 13ème de la LDH

 Pour Agir avec la section LDH Paris 5/13, venez nous rencontrer

 tous les 2ème Jeudi du mois  à 19H30 :

paris.5.13@ldh-france.org

La section anime une Permanence d’accueil et d’information juridique des étrangers (Paris 13ème) 

Samedi matin (sauf août) de 10h à 12 h

  Maison de la vie associative et citoyenne du 13ème (MVAC)

11 rue de Caillaux – 75013 Paris

 Permanences juridiques :

sur RDV au 06 42 72 87 63

   Site de la section LDH Paris 5-13

   Site de la Ligue des droits de L’Homme Nationale

     Contact section :

  paris.5.13@ldh-france.org    Facebook de la section 

         Quelques thèmes d’action que nous abordons dans le 13ème :

    • défendre les droits et les droits sociaux des étrangers 
    • défendre et promouvoir le droit des femmes
    • défendre nos libertés autour de l’état d’urgence sanitaire

Dimanche 14 mai 2023 à 11 heures: Projection-débat au Cinéma l’Escurial : « Les balles du 14 juillet » 11 bld du Port Royal 75013 Paris

Les Balles du 14 Juillet 1953, LDH, Algériens, Manifestation, Etat

LES BALLES DU 14 JUILLET 1953 (inédit) avec la Ligue des Droits de l’Homme

C’est une séance exceptionnelle qui vous est proposée DIMANCHE 14 MAI, à 11h : LES BALLES DU 14 JUILLET, documentaire inédit de Daniel Kupferstein, séance animée par la Ligue des Droits de l’Homme.

Séance suivie d’un débat avec le réalisateur Daniel Kupferstein et l’historien Alain Ruscio, animé par Gilles Manceron.

LES BALLES DU 14 JUILLET.
Docu. de Daniel Kupferstein, Fr., 2014, 1h30
Le 14 juillet 1953, au moment de la dislocation d’une manifestation en l’honneur de la Révolution Française, la police parisienne charge un cortège de manifestants algériens. Sept personnes (6 algériens et un français) sont tuées et une centaine de manifestants blessés dont plus de quarante par balles. Un vrai carnage. Cette histoire est peu connue en France comme en Algérie.

Ce film, est l’histoire d’une longue enquête contre l’amnésie. Enquête au jour le jour, pour retrouver des témoins, pour faire parler les historiens, pour reprendre les informations dans les journaux de l’époque, dans les archives et autres centres de documentation afin de reconstituer au mieux le déroulement de ce drame mais aussi pour comprendre comment ce mensonge d’Etat a si bien fonctionné.

Tarif : 7.50€
Cartes d’Abonnement Dulac Cinémas, CIP, UGC Illimité et Pass Culture acceptés https://player.vimeo.com

Encore une loi asile-immigration ! Réunion publique le mercredi 22 mars 2023 à 19h30

Le 1er février 2023, le Conseil des ministres a adopté un nouveau projet de loi sur les politiques d’asile et d’immigration, alors même que les effets de la précédente loi de 2018 n’ont pas été évalués.

Les orientations de ce texte, que nous combattons, annoncent des entraves supplémentaires du droit au séjour pour les personnes étrangères.

🡺 Des modalités d’accès à l’asile encore plus restreintes

La réduction des délais d’examen des demandes d’asile se traduit par la restriction des droits des demandeurs d’asile, ainsi que par la limitation des possibilités d’examen par une formation collégiale de la CNDA. En cas de refus de la demande d’asile, en première instance (OFPRA), c’est un juge unique et non plus une formation collégiale qui examinerait leur appel.

Alors que les personnes étrangères se heurtent à de nombreux obstacles pour entrer sur le territoire, pour déposer une demande d’asile, pour obtenir un rendez-vous en Préfecture, pour être reconnus mineur.es, pourquoi ajouter encore d’autres contraintes ?

🡺 Facilitation des expulsions

L’obsession des expulsions se traduit par la suppression de certaines protections, le retour de la double peine (c’est à dire prononcé d’une mesure d’expulsion en cas de condamnation pénale), un raccourcissement des délais de contestation devant le Tribunal. Cette orientation sécuritaire est alimentée par une communication massive qui assimile étrangers et délinquants.

Alors que la France est déjà la championne d’Europe des mesures d’éloignement contre les étrangers qu’il est matériellement impossible d’exécuter, pourquoi continuer dans cette spirale répressive ?

🡺 Un accueil toujours plus entravé

La création expérimentale d’un titre de séjour provisoire pour les métiers en tension, et pour certaines professions médicales et paramédicales, ne peut masquer la volonté de complexifier encore les conditions de délivrance et de renouvellement d’un titre de séjour.

A l’encontre de la logique répressive, que promeut le projet de loi, dans le droit fil des discours d’extrême droite, nous proposons de considérer les exilé.e.s comme des personnes qui doivent être respectées et correctement accueillies.

Venez vous informer et en discuter lors de la soirée consacrée à la présentation des trois principaux thèmes de ce projet de loi : asile, éloignement, immigration choisie.

Le Mercredi 22 mars 2023 à 19h30 Aux Amarres 24 Quai d’Austerlitz 75013 Paris (M° Quai de la Gare)

Jeudi 9 mars 2023 à 19h30 Réunion mensuelle de la LDH Paris 5/13 : Les prisonniers sont-ils encore des citoyens ?

LES PRISONNIERS SONT-ILS ENCORE DES CITOYENS ?   

Témoignages et réflexions sur la vie à la prison de la Santé Les invitées sont Sabrina DELATTRE, responsables du groupe de travail de la LDH « Prisons », et Sylvestre MEINZER, artiste et cinéaste.


    Maison de la vie associative et citoyenne du 13ème 11, rue Caillaux 75013 Paris (M° Maison Blanche)

Lundi 6 mars 2023: venez rencontrer les militants de la LDH Paris 5/13 à l’INALCO

Lundi 6 mars 2023 de 10h à 12h30 et de 14h30 à 16h30: La section LDH Paris 5/13 tient un stand dans le hall de l’INALCO  

65 Rue des Grands Moulins 75013 Paris – au 1er étage (cafétéria)

Bus 62,64 ou 27 Patay Tolbiac ou M° Bibliothèque François Mitterrand  

La section présentera aux étudiant.es les activités et les actions de la LDH

Les enjeux de la loi asile immigration 2023 : réunion publique lundi 6 mars 2023 à 18 h

Les enjeux de la loi asile et immigration 2023 :

emplois précaires et rejet des exilé-es

Lundi 6 mars 2023, 18 h – 20 h

EHESS, 54 Bd Raspail, 75006 Paris, salle 8 (AS 1)

avec

Maud Angliviel (avocate, GISTI)

Claire Rodier (juriste, GISTI, Migreurop),

Emmanuel Terray(anthropologue, EHESS, LDH)

Débat introduit et animé par Claude Calame (historien, EHESS, LDH)

Il s’agira de se demander en quoi les dispositions prévues par la future loi, en modifiant le Ceseda, correspondent à une négation des droits fondamentaux, aussi bien individuels que sociaux, des personnes concernées, qu’il s’agisse de celles qui sont installées de longue date en France et y résident régulièrement, de celles qui sont contraintes à l’exil et qui tentent de trouver un refuge dans un pays de l’UE, singulièrement en France, ou encore des personnes migrantes qui, pour différentes raisons, n’ont pas obtenu de titre de séjour. Il est évident que ces deux dernières catégories se recoupent. S’y ajoute la précarisation des personnes, hommes et femmes, qui, pour satisfaire aux besoins de main-d’œuvre dans certains secteurs dits « en tension » pourront accéder à un droit au séjour et au travail dont rien ne garantit la pérennité, cela au risque de redevenir des « sans-papiers » vivant sous la menace, renforcée par le projet de loi, d’être frappés d’OQTF.

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