Bienvenue sur le site de la section Paris 5ème et 13ème de la LDH

 Pour Agir avec la section LDH Paris 5/13, venez nous rencontrer

 tous les 2ème Jeudi du mois  à 19H30 :

paris.5.13@ldh-france.org

La section anime une Permanence d’accueil et d’information juridique des étrangers (Paris 13ème) 

Samedi matin (sauf août) de 10h à 12 h

  Maison de la vie associative et citoyenne du 13ème (MVAC)

11 rue de Caillaux – 75013 Paris

 Permanences juridiques :

sur RDV au 06 42 72 87 63

   Site de la section LDH Paris 5-13

   Site de la Ligue des droits de L’Homme Nationale

     Contact section :

  paris.5.13@ldh-france.org    Facebook de la section 

         Quelques thèmes d’action que nous abordons dans le 13ème :

    • défendre les droits et les droits sociaux des étrangers 
    • défendre et promouvoir le droit des femmes
    • défendre nos libertés autour de l’état d’urgence sanitaire

Droits de l’Homme : quelle actualité ?

La grande réunion annuelle de la LDH Paris 5-13 aura lieu en présence de

Françoise Dumont, Présidente de la Ligue des Droits de l’Homme

pour une soirée-débat sur le thème :

« La défense des droits de l’Homme est-elle toujours d’actualité ? »

le jeudi 14 janvier 2016 à 20h00,

à la Maison des Associations du 13ème arrondissement, 11, rue Caillaux 75013 Paris

La rue Caillaux est perpendiculaire à l’avenue d’Italie, au niveau du métro Maison Blanche (ligne 7)

Le débat sera suivi d’un pot amical, occasion d’une rencontre informelle avec les membres de la section Paris 5ème/13ème de la Ligue de droits de l’Homme et du Citoyen et -pourquoi pas- celle d’une adhésion ou du renouvellement d’adhésion pour 2016.

www.facebook.com/ldhparis513

Ciné-Débat : « Fatima » 18 janvier 2016

La section Paris 5e-13e présente :

FATIMA,
de Philippe FAUCON

lundi 18 janvier 2016, à 20 h

Fatima vit seule avec ses deux filles : Souad, 15 ans, adolescente en révolte, et Nesrine, 18 ans, qui commence des études de médecine. Fatima maîtrise mal le français et le vit comme une frustration dans ses rapports avec elles. Afin de leur offrir le meilleur avenir possible, Fatima travaille comme femme de ménage. Un jour, elle chute dans un escalier… En arrêt de travail, Fatima se met à écrire en arabe ce qu’il ne lui a pas été possible de dire jusque-là en français à ses filles…

A l’issue de la projection, une rencontre-débat aura lieu avec le réalisateur Philippe FAUCON

Cinéma La Clef, 34 rue Daubenton 75005 Paris
M° Censier-Daubenton – Bus 47

tarifs : 7, 50 €, TR 6 €. CUGC Illimité et Le Pass acceptés.

Libertés et Etat d’urgence – Janvier 2016

La section organise sa réunion mensuelle autour d’une question  d’actualité : les libertés dans le cadre de l’Etat d’urgence.

Lieu : Maison des Associations du 13ème, 11 rue Caillaux, 75013 Paris ; Jeudi 10 décembre 2015, à 20 heures précises

L’actualité s’emballe dans le mauvais sens : les annonces « liberticides » se multiplient (projets de loi, révision constitutionnelle,…) ;  les discours stigmatisant se banalisent. Le risque est grand que l’on s’installe durablement dans un état d’exception. Ce sont les principes fondamentaux défendus par la LDH qui sont mis en cause, notamment l’éviction du juge comme garant des libertés individuelles.

Quelques liens autour de ce thème

Appel unitaire de la LDH et d’associations et syndicats :  « Nous ne céderons pas »

Recensement des débordements de l’état d’urgence (La Quadrature du net)

Entretien avec Henri Leclerc, Libération, « Restreindre nos libertés est une victoire pour eux »

Entretiens avec Jean-Pierre Dubois président d’honneur de la LDH:  « Nous sommes dans une logique d’impuissance guerrière » et « Modifier notre Constitution sur injonction de Daech, c’est donner aux terroristes la victoire qu’ils espèrent »

(suite…)

Nous ne céderons pas – novembre 2015

Appel unitaire, 28 novembre 2015

Ceux qui, au nom de Daech, ont fait subir à Paris et à Saint-Denis un moment d’inhumanité absolue ne nous feront pas céder. Rien ne peut justifier ces assassinats, ici ou ailleurs. Chacune des victimes vit en nous parce que nous appartenons à la même humanité. Notre solidarité à leur égard et à l’égard de leurs familles est totale. Ce crime est immense mais c’est en continuant à vivre librement et fraternellement que notre réponse sera à la hauteur.

Nous ne sommes pas naïfs : nous savons que ces actes de terrorisme appellent des réponses à la mesure du danger qu’ils représentent. Comme nous savons que le rôle des forces de l’ordre et de la justice est essentiel pour protéger nos libertés. Mais cela ne doit pas nous empêcher de réfléchir aux réponses que notre société doit apporter à ces actes et à celles déjà mises en œuvre.

C’est la démocratie qui est mise à mal quand le Parlement est appelé à délibérer d’un jour à l’autre, sous la pression de l’émotion et les assauts de démagogie de responsables politiques qui cultivent la peur.

Après la prorogation de l’état d’urgence et l’extension des pouvoirs de police, d’autres mesures sont encore annoncées par le président de la République.

Il nous paraît essentiel de rappeler que rien ne doit nous faire sortir de l’Etat de droit et nous priver de nos libertés. L’état d’urgence ne peut devenir un état permanent et les conditions de sa mise en œuvre ne sauraient entraver la démocratie sociale, l’exercice de la citoyenneté et le débat public.

Depuis 1986, les lois accordant plus de pouvoirs aux forces de l’ordre, organisant une justice d’exception et restreignant nos libertés, au prétexte de lutter contre le terrorisme, s’empilent. L’adoption d’autres dispositifs législatifs, y compris d’ordre constitutionnel, exige de poser la question de leur efficacité et de l’atteinte supplémentaire aux libertés qu’ils constituent. Avant de modifier la loi et de conférer à l’Etat des pouvoirs accrus, il faut que celui-ci s’interroge sur ce qui n’a pas permis d’éviter une telle abomination. La réponse des autorités se veut martiale, elle n’est pas une assurance de sécurité et ne garantit en rien le respect de nos libertés.

Vouloir priver de leur nationalité jusqu’aux personnes nées françaises, c’est délivrer une nouvelle fois le message d’une France divisée. Le silence du président de la République, lors de la réunion du Parlement, sur l’indispensable engagement de l’Etat en faveur de l’égalité des droits, de la justice sociale, sur le développement des services publics, contre toutes les discriminations et contre toutes les manifestations de racisme accroît dramatiquement le sentiment d’exclusion que vit toute une partie de notre peuple. Il donne ainsi un peu plus corps à la stigmatisation croissante qui s’exerce mettant en péril notre volonté de vivre ensemble.

Nous voulons que ces dramatiques événements soient, au contraire, l’occasion de construire un autre chemin que celui qui nous est proposé. Un chemin qui refuse de désigner des boucs émissaires et qui refuse que la France soit en guerre contre elle-même. Un chemin qui donne à la paix et à l’égalité des droits toute leur place et qui s’engage en faveur d’une France solidaire, ouverte à l’autre, accueillante, libre et fraternelle.

Pour nos libertés, pour une société où la fraternité a toute sa place, nous ne céderons pas à la peur dans laquelle veulent nous faire vivre ceux et celles qui font de la mort leur raison de vivre.

Nous appelons les femmes et les hommes de ce pays à rester solidaires et à lutter contre toute forme de racisme. Nous appelons aussi à la défense des libertés car nous ferons prévaloir en toutes circonstances notre liberté d’information, d’expression, de manifestation et de réunion. Nos organisations construiront, partout en France, ces lieux qui nous permettront de débattre et nous exercerons une vigilance permanente afin que nos droits et libertés soient préservés et que nul ne soit victime de discriminations.

Premiers signataires :

AFD International, Agir pour le changement démocratique en Algérie (Acda), Assemblée citoyenne des originaires de Turquie (Acort), Associations démocratiques des Tunisiens en France (ADTF), Association française des juristes démocrates (AFJD), Association France Palestine solidarité (AFPS), Association Grèce France Résistance, Association interculturelle de production, de documentation et de diffusion audiovisuelles (AIDDA), Association des Marocains en France (AMF), Association pour la reconnaissance des droits et libertés aux femmes musulmanes (ARDLFM), Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF), Association des Tunisiens en France (ATF), Association des universitaires pour le respect du droit international en Palestine (Aurdip), Attac, Cadac, Cedetim, Centre islamique Philippe Grenier (CIPG), Centre de recherche et d’information pour le développement (Crid), Confédération générale du travail (CGT), Conseil national des associations familiales laïques (Cnafal), Collectif 3C, Collectif des 39, Collectif CGT Insertion – Probation (UGFF-CGT), Contre contre l’islamophobie en France (CCIF), Collectif des féministes pour l’égalité (CFPE), Collectif Memorial 98, Collectif des musulmans de France (CMF), Collectif national pour les droits des femmes (CNDF), Comité pour le développement et le patrimoine (CDP), Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT), Commission islam et laïcité, Confédération syndicale des familles (CSF), Coordination de l’action non-violente de l’ Arche (Canva), Coordination des collectifs AC !, Droits devant !, Droit au logement (Dal), Droit solidarité, Emmaüs France, Emmaüs International, Fédération internationale des Ligues des droits de l’Homme (FIDH), Fédération nationale de la Libre pensée, Fédération des Tunisiens citoyens des deux rives (FTCR), Filles et fils de la République (FFR), Fédération syndicale unitaire (FSU), Fondation Copernic, Genepi, Ipam, La Cimade, La Ligue de l’enseignement, La Quadrature du Net, Le Gisti, Le Mouvement de la paix, Les Amoureux au ban public, Les Céméa, Ligue des droits de l’Homme (LDH), Maison des potes, Mamans toutes égales (MTE), Médecins du monde, Mrap, Observatoire internation des prisons (OIP) – section française, Organisation de femmes égalité, Osez le féminisme !, Planning familial, Réseau d’alerte et d’intervention pour les droits de l’Homme (RaidH), Réseau éducation sans frontières (RESF), Réseau euromaghrébin culture et citoyenneté (REMCC), Réseau Euromed France (REF), SNPES-PJJ/FSU, Snuclias-FSU, Solidarité laïque, Syndicat des avocats de France (Saf), Syndicat français des artistes interprètes (SFA), Syndicat national des journalistes (SNJ), SNJ-CGT, Unef, Union juive française pour la paix (UJFP), Union nationale lycéenne (UNL), Union des travailleurs immigrés tunisiens (Utit), Union syndicale de la psychiatrie (USP), Union syndicale Solidaires.

Nouveaux signataires :

L’appel des appels, Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Palestine (CJACP), Collectif Justice & Libertés (Strasbourg), Collectif Maquis de Corrèze, Confédération nationale du logement (CNL), Confédération paysanne, Femmes Solidaires, Réseau Immigration Développement Démocratie (IDD), Syndicat de la Médecine Générale.

Campement Austerlitz : rassemblement – octobre 2015

L’évacuation des campements du quai d’Austerlitz a eu lieu le 17 septembre dernier, mais les engagements pris par les pouvoirs publics ne sont pas tenus (notamment – mais pas uniquement- concernant l’accès au droit des migrants pour régulariser leur situation administrative).
Il faut rester vigilant et maintenir la pression sur les pouvoirs publics..
Pour exiger que les pouvoirs publics respectent leurs engagements vis à vis des migrants, un rassemblement est prévu

JEUDI 15 OCTOBRE à partir de 17h – RASSEMBLEMENT DEVANT LA PREFECTURE DE REGION ILE DE FRANCE – 5, rue Leblanc – 75015 Paris

(Métro ligne 8, station Balard ; RER : ligne C, station Boulevard Victor ;Bus : 42, 88, 169 ou PC1, arrêts Hôpital européen Georges Pompidou, Rue Leblanc ou Leblanc-Delbarre ; Tramways : T2, arrêt Henri Farman-Porte de Seine ; T3, arrêt Pont du Garigliano)

…. SOYONS NOMBREUX….!

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