Cine-droits : « Il a plu sur le grand paysage »

Au travers de la lutte des agriculteurs éleveurs de l’Est de la Belgique et de leurs témoignages poignants, ce très beau documentaire offre un poème cinématographique sur la Culture paysanne aujourd’hui menacée de disparition. Réduits au statut de métayers tant ils ont perdu la maîtrise de leur outil de production, ces agriculteurs parlent aussi de l’amour de leur métier, de leurs bêtes et de la terre…
Un film alarme, donc, qui montre l’agriculture comme métaphore de la mondialisation et qui permet au spectateur de s’interroger sur les conséquences de la stratégie néo-libérale menée par l’Europe afin d’en décoder les enjeux.

Les ligueurs vous invitent à à poursuivre la projection du film « Il a plus sur le grand paysage » avec un débat en présence de :

  • Jean-Jacques ADRIEN, réalisateur du film
  • Patrick CHAUSSEPIED, économiste et membre de la commission Europe d’ATTAC
Où ? Cinéma Majestic Bastille – 2/4 boulevard Richard Lenoir, Paris 11, Mº Bastille (lignes 1, 5, 8)
Quand ? Dimanche 15 juin à 10h30

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Les inégalités en France : Quelle réalité ?

Inégalités ! Quelle réalité recouvre ce mot ?

On pense souvent aux inégalités sociales et économiques (notamment revenu et emploi) mais il en existe d’autres. Inégalités géographiques, inégalité entre les sexes, inégalités liées au logement, à l’éducation…vouloir réduire les inégalités revient souvent à lutter contre les discriminations.

Nous avons décidé d’ouvrir ce dossier en recevant Noam LEANDRI, économiste et statisticien de formation, Président de l’observatoire des inégalités.

Où ? A la Maison des Associations du XIVème, 22 rue Deparcieux 75014 Paris, (Métro : Denfert-Rochereau – Bus : 28, 38, 58, 88)

Quand ? Mercredi 28 mai de 19h à 21h30

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Débat : la transition énergétique et ses enjeux

Les ligueurs vous invitent à une conférence-débat soutenue par Pierre Papon sur le thème : « La transition énergétique et ses enjeux »

Pierre Papon, physicien est professeur émérite à l’Ecole supérieure de physique et chimie industrielles de Paris (ESPCI). Il a été directeur général du CNRS et PDG de l’Ifremer. Il est président d’honneur de l’OST (Observatoire des Sciences et des Techniques), et préside le Conseil d’administration de la Fondation maison de sciences de l’Homme de Paris.

Derniers ouvrages publiés : – Energie : la science peut-elle changer la donne ? Le pommier (2012) (version pour enfants Plein d’énergies !) – Bref récit du futur, Albin Michel (2012).

On le sait, les contraintes pesant sur l’offre et la demande d’énergie sont fortes, mais notre avenir énergétique repose-t-il uniquement entre les mains de l’économie et de la géopolitique ? Quelles seront, à l’horizon 2050, les ruptures ouvrant la voie à de nouvelles filières énergétiques ou à de nouveaux modes de consommation de l’énergie ? En quoi notre vie sera-t-elle transformée par les découvertes à venir ?

Où ? Maison des Associations du 7e, 93 rue Saint Dominique, Paris 7 (Métro : La Tour-Maubourg – ligne 8 / Invalides – ligne 7)

Quand ? Lundi 7 avril de 19h à 21h

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Quel droit au logement pour tous ?

Un toit, c’est un droit… qui reste à conquérir !

Un habitat digne pour chacun, garanti par la solidarité du corps social, est un préalable indispensable à l’accès à une citoyenneté effective.

Qu’en est-il de la situation du logement à Paris ? Où en est l’offre de logements sociaux accessibles aux populations modestes ? La réduction du nombre de personnes sans-abri, l’éradication des habitats insalubres… ? Que faire ?

Avant la projection du film sur les sans abris parisien, Dimanche 9 février au Majestic Bastille, les ligueurs vous invitent aux tables rondes avec des responsables associatifs et les candidats aux élections municipales :

14H : Introduction par Jean Frouin, coresponsable du groupe de travail « Logement » de la LDH

14H30 : Table ronde avec : la Fondation Abbé Pierre, Solidarités nouvelles pour le logement, la Confédération nationale du logement (CNL)

16H30   Table ronde avec : Rémi Féraud, François Vauglin (PS),  Didier Le Reste (PC), Hélène Franco (PG), Daniel Belliard (EELV), Christian Saint-Etienne (UDI) …

18H        Conclusion

Entrée libre

Où ? Au point Ephémère, 200, quai de Valmy,  Paris 10ème, M° Jaurès (lignes 5, 2 et 7 bis), Louis Blanc (ligne 7)

Quand ? Dimanche 2 Février, 13h30 à 18h30

Le programme complet sur www.ldh-paris-10-11.com

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Non à la régression des droits des femmes en Espagne et ailleurs : Manifestons partout ensemble SAMEDI 1er FEVRIER

Les féministes espagnoles organisent une manifestation à Madrid le 1er février

La LDH sera présente avec banderole et drapeaux pour les soutenir à 14h00– jusqu’à l’Ambassade d’Espagne avenue Marceau

Non à la régression des droits des femmes en Espagne et ailleurs !

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20 décembre 2013, le gouvernement espagnol Rajoy veut annuler la loi autorisant l’avortement, rappelant les sombres heures du franquisme.

Il revient sur la loi obtenue en 2010 qui légalisait l’avortement jusqu’à 14 semaines d’aménorrhée (22 pour raison médicale) au mépris des recommandations des textes internationaux de l’Organisation Mondiale de la Santé et de l’Organisation des Nations Unies.
Renouant avec des pratiques qui dénient la liberté de choix aux femmes au mépris des droits humains fondamentaux, il annonce clairement son projet de société : maintenir les femmes dans un statut social étroit et de soumission…

Nous appelons à  manifester pour :

– Lutter pour une Europe où toutes les femmes pourraient disposer librement de leur corps sans contrainte étatique et religieuse, et qui intègre ces droits à la Charte européenne des droits fondamentaux ;
– Soutenir le combat des femmes espagnoles pour conserver l’acquis qu’elles ont gagné de haute lutte.

Non à l’ordre moral qui veut gérer nos vies,
Oui à nos droits, tous nos droits et à la liberté de choix d’avoir un enfant ou non

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Au Bord du Monde, Projection débat au Majestic Bastille

Projection-Débat du film « Au bord du Monde »(2013) avec Claus DREXEL, réalisateur,
et Fadela DERRAZ, Présidente de la LDH Paris 12.

Paris, la nuit. C’est ici que vivent Jeni, Wenceslas, Christine, Pascal et les autres. Sansabri, ils hantent trottoirs, ponts et couloirs du métro, au bord d’un monde où la société ne protège plus. Ils nous font face, ils nous parlent. Dans le collage qu’ose la mise en scène, entre le trivial et le sublime, entre l’indigence et la beauté séculaire, comment nous situer ? C’est la question que pose ce film.

En osant le plus beau, le plus tapageur écrin de beauté pour ces êtres abandonnés, la caméra se pose quelque part entre une quête  d’anoblissement et l’ironie dramatique la plus déplacée. Une atmosphère de fin du monde. La carte postale  est gâchée. Un film commence. Que dire à son issue pour aller au-delà de la question qu’il nous renvoie à chacun, celle du regard que nous portons sur ces femmes et ces hommes, nos semblables

Comment aborder, au regard des droits de l’Homme, ce constat d’un territoire au bord du monde qu’il semble si ‘facile’ de rejoindre en ces temps de crise. Faire société n’est-ce pas assurer à tous le minimum vital dont le logement, s’il n’est pas tout, constitue un élément essentiel ?

Quand ? Dimanche 9 février à 10h30

Où ? CINEMA MAJECTIC BASTILLE, 2/4 Boulevard Richard Lenoir 75011(M° Bastille)

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Université d’automne 2013 : Europe, quelle sortie de crise ?

De crise de la dette en renoncement économique, l’Europe inquiète. Les choix des politiques économiques et sociales conduites par les gouvernements européens font perdurer voir augmenter le chômage, l’exclusion sociale, les inégalités territoriales.

Entre les objectifs proclamés – protection sociale de haut niveau, universalité des droits fondamentaux – et la réalité des politiques européennes – harmonisation par le bas, barrages croissants aux migrations et insécurisation des travailleurs migrants -, l’écart s’accroît cruellement.

Quant aux institutions européennes, elles ne permettent pas aux citoyens de peser réellement sur les choix essentiels, alors que les lobbies représentant les intérêts des grandes entreprises et de la finance inspirent des politiques trop souvent incompatibles avec un développement durable et solidaire.

L’intégration européenne, dont l’image était naguère positive dans l’esprit des peuples, est ainsi devenue un repoussoir qui encourage les replis identitaires et menace à terme l’existence même de l’Union.

L’Europe, les Européens, le monde entier méritent mieux !

L’élargissement, puis la crise de la finance dérégulée, ont considérablement accru les inégalités entre Etats membres : il faut renforcer les solidarités territoriales et sociales, donc non pas contracter mais augmenter les ressources budgétaires de l’Union.

L’Europe sociale, Arlésienne des débats électoraux, devrait se traduire concrètement sur le terrain par le principe d’un salaire minimum dans chaque Etat membre, par une protection sociale de base pour tout résident de l’Union, par le développement des services sociaux d’intérêt général européen.

Les politiques inspirées par le fantasme d’une « Europe forteresse », absurdes sur un continent qui a un besoin vital d’apport migratoire à moyen terme, devraient céder la place à un accompagnement de migrations qui constituent pour l’Union un enrichissement dans tous les sens du terme.

Le « géant commercial nain politique » devrait devenir un acteur mondial à la mesure de son poids et de ses responsabilités, un « éclaireur » du développement durable et un promoteur des valeurs proclamées par l’Union : respect du droit international dans le règlement des conflits ; répression des crimes de guerre par la juridiction pénale internationale ; accès aux biens publics mondiaux pour les populations qui en sont encore privées.

L’Union devrait, enfin, donner l’exemple du respect de la démocratie et des droits fondamentaux qu’elle exige des Etats candidats à l’adhésion : la démocratisation du « gouvernement réel » de l’Union ne peut plus attendre ; l’institution d’une citoyenneté européenne de résidence, le renforcement de la garantie des droits des justiciables, de leur vie privée et de leurs données personnelles ne sont pas moins urgents.

Refondation, renouveau, démocratisation ? Au-delà des mots, deux conceptions s’affrontent : celle d’une Europe de progrès social et de paix et celle d’une Europe réduite à un marché unique régi par les règles de la concurrence. La crise atteint un stade qualitatif qui remet profondément en cause le vivre ensemble et risque de porter la fragmentation sociale à un niveau irréversible. A défaut d’une alternative démocratique, sociale et écologique, prenant les droits au sérieux, d’autres forces capteront la déception et la colère populaire pour les mettre au service de l’exclusion, de la haine et de l’injustice.

Cette Europe de justice, de paix et de fraternité, cette Europe que nous voulons et qui reste à construire, doit être l’enjeu des élections européennes décisives du printemps 2014. Débattons-en, mobilisons les citoyennes et les citoyens européens, pendant qu’il en est encore temps.

PROGRAMME

Samedi 23 novembre, matin : « Aux défis des disparités croissantes »

(1) L’Europe est-elle encore un projet pouvant rassembler les citoyennes et citoyens du continent européen ?

Dans l’espace économique et monétaire aux règles toujours plus prégnantes, les inégalités de développement entre pays posent la question de l’accès aux droits économiques et sociaux tandis que les politiques d’austérité, l’accentuation de la précarité et la défiance à l’égard du politique alimentent frustrations, désespoir, tentations nationalistes et xénophobes. Quelles politiques, quelles articulations des responsabilités entre institutions mettre en débat pour refonder une Europe démocratique, au développement solidaire ?

(2) Quels fondements aux ressorts de l’extrême droite ?

La radicalisation nationaliste, raciste et xénophobe se manifeste d’un bout à l’autre de l’Europe ; quels sont les liens entre ces émergences, à la fois distinctes mais convergentes en terme de rejet des valeurs humanistes et de solidarités, dont le projet européen doit être porteur ?

Samedi 23 novembre, après-midi : « Aux défis du(des) monde(s) »

(3) Quels échanges et quelles solidarités au sein de l’Europe ?

L’Europe est un espace de migration qui devrait perdurer avec les évolutions démographiques. Comment les politiques publiques assurent le respect de la dignité et des droits fondamentaux des migrants, en référence notamment à la Convention internationale sur les droits des travailleurs migrants ? Comment s’émanciper des logiques d’ « Europe forteresse » ? Quels contenus doivent être portés par les « politiques de voisinage » à l’est et au sud et par les coopérations et solidarités internationales, tant dans les pays qu’au niveau de l’Union européenne ?

(4) Quelles solidarités entre les États membres, tant en période de crise que de façon pérenne ?

La construction de l’Union européenne implique qu’elle soit un espace de cohésion et de solidarité entre États membres, appuyé sur un budget conséquent. Les traités européens successifs ont construit la notion de « cohésion économique, sociale et territoriale ». Or, sur fond de crise systémique, les négociations actuelles sur le futur budget de l’Union font pour la première fois apparaître une diminution du budget en proportion du PIB européen, traduisant l’affrontement de deux conceptions : une Europe de progrès social et de paix ; une Europe réduite à un marché unique régi par les règles de la concurrence non régulée par l’objectif d’un bien-être partagé. Comment faire avancer une Europe au développement durable et solidaire ?

Dimanche 24 novembre, matin : « Aux défis de l’égalité »

(5) Quelles propositions et mobilisations pour garantir un renouveau démocratique ?

Quels sont les principaux enjeux et leurs articulations pour un renforcement de la démocratie alors que la crise économique et sociale se traduit par des reculs : citoyenneté européenne (incluant la citoyenneté de résidence) ; équilibre « horizontal » des pouvoirs (délibérant, gouvernant, juridictionnel…) ; séparation « verticale » des pouvoirs (entre les niveaux local, régional, national et européen, voire mondial) ; modalités de responsabilité politique des gouvernants et de contrôle citoyen ?

(6) Quel avenir pour la justice et les droits en Europe ?

La question d’un espace judiciaire européen reste en suspens tandis que des champs importants, tels par exemple la protection de la vie privée et des données personnelles, nécessitent la mise en place de garanties importantes et vérifiables. Dans le même temps, la Cour européenne des droits de l’Homme est l’objet d’une tentative de remise en cause par une partie des Etats membres. Quel projet commun peut être élaboré afin de relancer l’idéal de justice en Europe ?

Dimanche 24 novembre, après-midi : « Aux défis de l’avenir »

(7) Table ronde conclusive : Quelle voie européenne dans un monde dont le « commun » se tisse d’affirmations singulières et plurielles ?

LE LOGEMENT AU CŒUR DE LA CRISE


Invitation

Le groupe de travail « Logement » de la LDH,

organise une journée de réflexion dédiée au logement

le samedi 16 novembre 2013, de 9h à 17h30

au siège de la LDH, salle Alfred Dreyfus

138, rue Marcadet – PARIS 18

(métro ligne 12 – Lamarck-Caulaincourt)

sur

LE LOGEMENT AU CŒUR DE LA CRISE

Le droit au logement, droit fondamental, reste un droit à conquérir contre la marchandisation du logement dont l’accès, difficile pour beaucoup, n’est de surcroît possible qu’à ceux qui en ont les moyens. L’Etat, garant du droit au logement,  ne remplit pas son rôle quand le mal-logement frappe plusieurs millions de citoyens.

Les choses sont–elles en train de changer ?

Pour en débattre, comprendre les enjeux, analyser la situation, nous avons fait appel à l’expertise de quatre personnalités du monde universitaire, de la recherche, acteurs dans le champ du logement.

S’armer pour mieux lutter, un devoir pour les militants de la LDH ; Participez !

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Les ligueurs vous invitent au théâtre

Les ligueurs parisiens vous invitent au théâtre. La représentation de la pièce Invisibles se poursuivra avec un débat avec :

  • Nasser Djemaï, metteur en scène
  • Mylène Stambouli, avocate et membre du Comité Central de la Ligue des droits de l’Homme

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En quête de son père inconnu, un jeune homme, à la mort de sa mère, va découvrir l’existence cachée des chibanis (« cheveux blancs », en arabe), travailleurs immigrés venus d’Afrique du Nord, à jamais éloignés du pays natal.

Martin Lorient, 27 ans, remonte le fil de son histoire, jusqu’à un père qu’il n’a pas connu. Ce récit des temps modernes débarque notre jeune héros dans un lieu retranché, aux oubliettes de notre monde pressé : un foyer Sonacotra.

Autour d’une table en formica, cinq chibanis – cinq « cheveux blancs » – jouent aux dominos… pour oublier que la vraie vie leur a glissé entre les mains : travailleurs immigrés, ils ont quitté leur pays, leur famille, pour bâtir la France des trente glorieuses.

Devenus « inutiles », ils se voient confisquer leurs vieux jours ; retourner au pays, où les leurs ne les attendent parfois plus, c’est renoncer à leur pension.

Ni d’ici, ni plus tout à fait de là-bas.

Une colère sourde les traverse sans jamais altérer le regard sage et taquin qu’ils posent sur notre société déshumanisée. Nourri de témoignages, le souffle du récit rattrape l’Histoire, très loin du théâtre documentaire. Ce chœur d’hommes, et la présence fantomatique des femmes, font œuvre de mémoire avec un lyrisme rare et un humour insoupçonné. On en ressort éclairés et bouleversés. Une quête initiatique sans concession, avec des corps, des visages, des voix que nous n’avons pas l’habitude de voir ni d’entendre.

Où ? Théâtre 13/ Jardin, 103 A Bd Auguste Blanqui, Paris XIII (M° Glacière)

Quand ? Mercredi 25 septembre à 20h30

Tarif 24€ / 16€ (habitant du 13e)

Droit du travail. Plus de précarité ? Plus de flexibilité ? Quelle sécurité ?

Le droit du travail. Souvent évoqué, souvent qualifié de « rigide », de « frein à l’embauche ». Et pourtant, ce droit acquis de haute lutte témoigne de l’avancée de nos démocraties et de la prise en compte dans le champ politique du champs économique. Détricoter le code du travail c’est réduire le champs du politique et par là même saper les fondements de l’égalité et de la fraternité républicaine. Seuls les riches seront alors libres. Pouvons nous accepter une telle hypothèse ?

Dans le même temps, l’économie change et le droit qui l’encadre doit changer pour accompagner ces mutations … ou les contrecarrer ! Bref, nous devons en apprendre un peu plus sur ce droit qui semble terrifier le MEDEF et rassurer de moins en moins les travailleurs.

Venez en débattre avec nous et :

  • Aurianne COTHENET, juriste, membre du Réseau Strop-Précarité [site]
  • Luz MORA, syndicaliste au Ministère du Travail
  • Michel MINE, juriste du travail, membre du Comité central de la Ligue des droits de l’Homme, ancien inspecteur du travail

Nos invités nous présenteront la législation du droit du travail en évolution et l’impact sur les relations et les conditions de travail, en France mais aussi en Europe. Venez en discuter et partager votre expérience.
Quand ? Jeudi 6 juin à 20h
Où ? Centre d’animation de la Place des Fêtes, 2 rue des Lilas (Paris 19e), M° Place des fêtes (Ligne 11)