Pourquoi adhérer à la LDH ?

Adhérer, c’est essentiel !


Adhérer à la LDH, c’est en accepter les buts et les façons d’agir.

Buts de la LDH :

défendre les principes énoncés dans les Déclarations des droits de l’Homme de 1789 et de 1793, la Déclaration universelle de 1948 et la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et ses protocoles additionnels.

faire appliquer des conventions et des pactes internationaux et régionaux en matière de droit d’asile, de droit civil, politique, économique, social et culturel.

combattre l’injustice, l’illégalité, l’arbitraire, l’intolérance, toute forme de racisme et de discrimination fondée sur le sexe, l’orientation sexuelle, les mœurs, l’état de santé ou le handicap, les opinions politiques, philosophiques et religieuses, la nationalité,

et plus généralement toute atteinte au principe fondamental d’égalité entre les êtres humains, toutes les violences et toutes les mutilations sexuelles, toutes les tortures, tous les crimes de guerre, tous les génocides, et tout crime contre l’humanité.

lutter en faveur du respect des libertés individuelles en matière de traitement des données informatisées, et contre toute atteinte à la dignité, à l’intégrité et à la liberté du genre humain pouvant notamment résulter de l’usage de techniques médicales ou biologiques.

concourir au fonctionnement de la démocratie et agir en faveur de la laïcité.

Vous êtes concernés : adhérez !

Adhérer à la LDH, c’est devenir membre d’un collectif, la section locale qui intervient à l’échelle d’une commune ou d’un regroupement de communes.

Mais la LDH est aussi une organisation nationale qui décide d’agir à l’échelon le plus pertinent pour aboutir.

Enfin, la LDH est affiliée à deux organisations internationales l’AEDH dont le champ d’action est l’Europe, et la FIDH au niveau mondial.

Votre adhésion à la LDH vous permet de :

– vous engager pour des actions locales

soutenir les actions de la LDH au niveau national

Deux principes fondamentaux : cohérence et autonomie


La LDH est une association à la fois unitaire et décentralisée :

Ses sections en sont les unités de base et les lieux privilégiés de participation des adhérents.

Elles disposent de l’autonomie d’expression et d’action, et décident de leur activité locale et de leurs prises de position, pourvu qu’elles ne contredisent pas les positions de congrès de la LDH et qu’elles n’aillent pas contre ses principes.

De même, elles gèrent elle-même les dépenses courantes et elles disposent d’un compte propre, dans la banque choisie par la Ligue et sur délégation du président national. Chacune de leur dépense engage la LDH tout entière car les sections n’ont pas de personnalité morale ni juridique autonome : elles sont délégataires de la gestion de leur budget propre.

Une organisation démocratique


La vie interne de la LDH est animée à tous les niveaux par le principe électif. Le président et le bureau de la section sont élus, chaque année, par les adhérents de la section : leur élection fait l’objet d’un débat à son assemblée générale annuelle.
Au niveau national, les prises de position de la LDH, ses interventions judiciaires et son budget sont issues de discussions et de débats d’abord au congrès, constitué des représentants des sections, qui a lieu tous les deux ans, et ensuite au Comité central élu par le congrès. Dans l’intervalle des congrès, c’est cette instance qui est son principal organe de délibération. Le Bureau national et le président sont élus chaque année par le comité central à l’occasion du congrès ou de la convention nationale entre deux congrès. Ils dirigent concrètement l’association.

Militer à la LDH


Les militant(e)s de la LDH agissent en faveur de cas individuels, mais aussi pour défendre l’accès de tous à tous les droits.

Elles et ils agissent pour que l’ensemble des droits tels qu’ils sont définis par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH) s’appliquent à tous.

Les militants de la LDH luttent pour que les droits soient effectifs. A cette fin, ils exercent une fonction importante de contrôle de l’action publique et d’impulsion de débats et de propositions au niveau national.

Indépendants des partis et des lieux de pouvoir, les militant(e)s de la LDH sont présent(e)s dans le débat public pour promouvoir les droits.