Alors que les partis de gauche organisent une grande marche ce mercredi 24 mai, en soutien aux maires victimes de violences, est-il question d’épiphénomènes ou d’une tendance de fond ? De Callac à Saint-Brevin, la Bretagne historique, où l’extrême droite est traditionnellement plus faible qu’au niveau national, a connu récemment des épisodes de tensions ou de violences attribuées ou revendiquées par l’ultra-droite.