Depuis la répression sanglante sur la place Tiananmen à Pékin il y a 33 ans, la Chine s’attèle à effacer tout souvenir du drame. Hong Kong faisait exception à la règle jusqu’en 2020. Samedi 4 juin, les Hongkongais qui souhaitaient commémorer l’anniversaire de l’événement, ont dû agir subtilement. Les autorités veillent au grain et ont interdit tout rassemblement.