Emma Reilly, une lanceuse d’alerte seule contre les Nations unies

Cette ancienne « agente des droits de l’homme » à l’ONU reproche à sa hiérarchie d’avoir cédé aux pressions de la Chine en livrant par avance les noms d’opposants appelés à s’exprimer devant les instances internationales.

Voilà deux ans qu’on ne lui confie plus aucune mission. Depuis début septembre, cette Irlandaise de 42 ans n’a plus accès à ses courriels professionnels. C’est le prix à payer pour avoir dénoncé les passe-droits que le Conseil des droits de l’homme de l’ONU (CDH) a accordés à la Chine sous la pression.

LIRE ICI