Près d’un an après une difficile grève de la faim, c’est la consternation pour les 442 grévistes sans-papiers de l’Église du Béguinage et de l’université de Bruxelles. Seules 12% des demandes de régularisation déposées à la fin du mouvement ont reçu l’aval des autorités. Une issue consternante, symptôme d’une politique d’immigration belge de plus en plus restrictive.