Dans une directive mise à jour début octobre, le Home Office, l’équivalent du ministère de l’Intérieur, revoit sa position sur la demande d’asile des Afghans. La situation de violence dans le pays y est jugée restreinte, les ressortissants devront dès lors démontrer des « motifs spécifiques » de persécution pour demander une protection internationale. Pour les ONG et avocats spécialisés, la voie est ouverte à la reprise des retours forcés.
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Les bras m’en tombent…