Selon le Haut-commissariat des Nations unies pour les droits humains, plusieurs tentatives de suicide de migrantes ont eu lieu dans le centre de détention de Sharah Zawiya, à Tripoli. Les femmes enfermées dans cette prison, décrite comme un « centre d’hébergement pour personnes vulnérables » par les autorités libyennes, y sont victimes de violences sexuelles commises par leurs gardiens.