La tempête Aurore qui a frappé le nord de la France dans la nuit de mercredi à jeudi n’a pas épargné les camps de fortune, notamment à Grande-Synthe et Calais, où vivent presqu’un millier de migrants dans les bois. De nombreux exilés « en détresse » ont appelé toute la nuit les ONG pour obtenir de l’aide. Leurs abris ont été détruits par la force du vent et les tentes n’ont pas résisté aux fortes pluie.