Tempête Ciaran : « Au moins 1500 exilés sont restés sans solutions » à Grande-Synthe et à Calais


Les préfectures du Nord et du Pas-de-Calais ont ouvert des dispositifs temporaires de mise à l’abri face au passage de la tempête Ciaran. Mais un grand nombre d’exilés ont été laissés sans solution sur les campements, faute de places et d’anticipation, selon les associations de terrain.

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À Grande-Synthe et Dunkerque, sauveteurs et associations redoutent un prochain naufrage de migrants

Au moins 250 personnes vivent dans le campement de Grande-Synthe, près de Dunkerque, en attendant de pouvoir passer au Royaume-Uni. Crédit : Mehdi Chebil pour InfoMigrants


Sur le littoral français, le naufrage du 24 novembre dernier dans la Manche et ses 27 morts, hante encore les esprits des sauveteurs en mer et des associations d’aide aux migrants. À Dunkerque, comme à Grande-Synthe, tous redoutent un nouveau naufrage meurtrier. Car malgré les températures hivernales, les tentatives de traversées ne faiblissent pas.

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À Grande-Synthe, un camp d’au moins 150 exilés « ratissé » à coups de tractopelles

Une fois les abris des exilés détruits, de grands tractopelles ramassent leurs affaires avant de les jeter, à Grande-Synthe, le 13 janvier 2021. Crédit : Capture d’écran / Human Rights Observers


Au moins 150 personnes, dont des familles avec enfants, ont été expulsées jeudi de leur lieu de vie informel situé à Grande-Synthe. D’après les associations, les autorités n’avaient ce matin-là qu’un objectif : « la destruction totale du lieu de vie », à grands renforts de bennes et de pelleteuses. Des expulsions « violentes » qui poussent les exilés à fuir par la mer, au péril de leur vie.

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« Comme d’habitude, cette opération n’a rien d’une mise à l’abri » : à Grande-Synthe, 400 personnes évacuées d’un camp de fortune


Le camp de migrants à Grande-Synthe, près du canal de Bourbourg, le jeudi 25 novembre. Crédit : Dana Alboz / InfoMigrants


Ce mardi 30 novembre, un énième camp de migrants a été évacué par les forces de l’ordre à Grande-Synthe, dans le nord de la France. Dans la ville, ces évacuations ont lieu « une fois par semaine, minimum », assurent les associations. Un « harcèlement » policier qui pousse toujours plus d’exilés à prendre la mer, au péril de leur vie.

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Harish, coincé d’une frontière de l’UE à l’autre : « Mon plan a toujours été d’aller au Royaume-Uni »


Un camp de migrants à Grande-Synthe, près de Calais. Crédit : Dana Alboz / InfoMigrants


Le jeune homme de 21 ans, originaire du Kurdistan irakien vit depuis 10 jours dans l’un des campements de Grande-Synthe, près de Calais. En quelques semaines de voyage à arpenter l’Europe, dans l’espoir de rejoindre son frère au Royaume-Uni, Harish s’est retrouvé au cœur de deux symboles de la crise migratoire. En Pologne et sur le littoral français.

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France : plus de mille migrants évacués d’un campement à Grande-Synthe


Les forces de l’ordre pendant le démantèlement d’un campement de migrants à Grande-Synthe (Nord) le 16 novembre 2021. © Louis Witter, AP


Les forces de l’ordre françaises procédaient mardi au démantèlement d’un campement d’environ un millier de migrants à Grande-Synthe, dans le nord de France, sur fond de tension entre Paris et Londres autour de la question migratoire et de contestation du traitement réservé aux exilés sur le littoral français.

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Tempête Aurore : « Beaucoup de tentes se sont envolées ou n’ont pas supporté le poids de l’eau »


Le camp de Grande-Synthe a subi de plein fouet le passage de la tempête Aurore. Crédit : Utopia 56


La tempête Aurore qui a frappé le nord de la France dans la nuit de mercredi à jeudi n’a pas épargné les camps de fortune, notamment à Grande-Synthe et Calais, où vivent presqu’un millier de migrants dans les bois. De nombreux exilés « en détresse » ont appelé toute la nuit les ONG pour obtenir de l’aide. Leurs abris ont été détruits par la force du vent et les tentes n’ont pas résisté aux fortes pluie.

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Grande-Synthe : un camp de 800 migrants évacué, les associations dénoncent une « politique de la terreur »


Une centaine de CRS était présent dans le camp jeudi 23 septembre pour son démantèlement. Crédit : Utopia 56


Jeudi matin, le campement de migrants de Grande-Synthe, appelé terrain des Jésuites, a été démantelé par les forces de l’ordre, sans réelles propositions de mise à l’abri pour ses quelque 800 habitants, déplorent les associations. Dès le soir même, un autre camp s’est reformé à quelques mètres de là.

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L’État sévèrement critiqué pour sa gestion des migrants à Calais et Grande-Synthe



Une vue d’un campement de migrants à Calais. Crédit : Mehdi Chebil

Une délégation de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) s’est rendue au mois de décembre à Calais et à Grande-Synthe. Elle y a constaté la « dégradation » des conditions de vie des migrants et a jugé la politique sécuritaire de l’État « désastreuse ».

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Grande-Synthe : Des migrants interdits d’entrer dans un supermarché par la police

Seules les personnes migrantes ont été contrôlées et empêchées d’entrer dans le supermarché assurent les associations qui dénoncent des « contrôles au faciès ». • © DR – HRO

Trois associations d’aide aux migrants assurent avoir été témoins de « discriminations au faciès », exercées par des policiers à l’encontre de personnes migrantes à Grande-Synthe. Les faits se sont déroulés devant le supermarché Auchan, le vendredi 8 janvier en fin de journée. 

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