LIBERTÉS / DÉMOCRATIE RACISME ET ANTISÉMITISME DISCRIMINATIONS DROITS DES FEMMES DROITS DES ÉTRANGERS ETAT D’URGENCE COVID-19 DROIT PARTOUT DANS LE MONDE DROITS ÉCONOMIQUES, SOCIAUX ET CULTURELS OBS. DE LA LIBERTÉ DE CRÉATION ENVIRONNEMENT OBS. DES LIBERTÉS ET DES PRATIQUES POLICIÈRES DÉFENDRE VOS DROITS STOP LOI SÉCURITÉ GLOBALE…
Aux États-Unis, des révélations du New York Times sur l’exploitation de jeunes enfants, principalement latino-américains, dans de grosses usines travaillant pour des marques célèbres ont fait grand bruit. Les associations de défense des droits de migrants et une partie de la classe politique dénoncent une situation inacceptable.
Des centaines de rochers ont été déposés, mercredi matin, dans le centre-ville de Calais, autour d’un point de distribution. Les exilés venaient quotidiennement à cet endroit y trouver l’eau potable acheminée par Calais Food Collective, ainsi que de la nourriture le week-end. Certains dormaient sous le pont voisin, désormais bloqué lui aussi par des rochers.
La branche européenne de l’Association internationale lesbienne, gay, bisexuelle, trans et intersexe s’inquiète de la montée de la violence, physique et psychologique, contre les personnes LGBT+ dans 54 pays d’Europe et d’Asie centrale.
L’association La Cimade a cessé toute activité au centre de rétention administrative (CRA) du Mesnil-Amelot depuis le 2 février. Elle dénonce une recrudescence de violences et de trop nombreux dysfonctionnements, dont des expulsions de demandeurs d’asile.
Un an après la promulgation de la loi relative à la protection des enfants dite “Loi Taquet”, les droits de milliers d’enfants présents sur le territoire français ne sont toujours pas pleinement respectés. Dans un rapport publié ce jour, 7 associations, soutenues par 28 organisations signataires, appellent le gouvernement à garantir un accueil et une protection adaptés à tous les enfants en danger, y compris lorsqu’ils sont étrangers.
Partager la publication "Un an après la loi Taquet, 35 organisations appellent à une meilleure protection des mineur·es isolé·es et des jeunes majeur·es"
3 015 personnes sans solution d’hébergement ont été recensées à Paris dans la nuit du 26 au 27 janvier. Une hausse par rapport à la précédente édition 2022 de la Nuit de la Solidarité.
L’Hébergement social dans l’Aube: un besoin en forte croissance
Malgré une augmentation régulière du nombre de place en Hébergement social (plus de 100 000 places en France), ce nombre se révèle toujours insuffisant pour faire face, dans l’Aube comme presque partout en France, aux besoins sans cesse croissants.
L’Hébergement social est considéré comme une solution temporaire permettant, dans l’Aube, aux personnes précarisées par des difficultés sociales ou contraintes de quitter le logement familiale (femmes victimes de violence par exemple), de trouver un lieu de vie le temps de se reconstruire
A qui s’adresser dans l’Aube pour bénéficier d’un Hébergement social
L’admission à l’aide sociale et à ce titre, à l’Hébergement social, relève du Conseil Général. Dans l’ Aube, la demande de prise en charge peut être déposée auprès du CCAS le plus proche.
On distingue, en fonction des besoins immédiats, dans l’ Aube (10), 3 grandes catégories d’Hébergement social : – Les Centres d’hébergement et de réinsertion Sociale (CHRS) – Les Centres de stabilisation (CHS) – Les Centres d’hébergement d’urgence
Les grands acteurs de l’Hébergement socialdans l’ Aube
Le nombre toujours plus important de personnes en situation de précarité a nécessité de la part de l’Etat, une mise en réseau du dispositif d’accueil. Chaque département a vu la mise en place d’un SIAO (service intégré d’accueil et d’orientation) qui assure la régulation de l’orientation et de l’accès à l’Hébergement social
Le SIAO veille dans l’Aube, à la continuité de la prise en charge et coordonne les acteurs de l’Hébergement social.
Acheminer l’aide humanitaire en Syrie après le tremblement de terre sera particulièrement compliqué. Pour les ONG, le plus difficile sera dans les territoires tenus par l’opposition à Bachar al-Assad.
Quelque 200 migrants, des adolescents albanais pour la plupart, arrivés illégalement sur le sol britannique, ont disparu ces dernières semaines à Brighton. Les associations locales dénoncent l’exploitation dont ces mineurs sont victimes.
Partager la publication "« On les pousse dans les bras des trafiquants » : des associations pointent la responsabilité des gangs albanais après la disparition de migrants mineurs en Angleterre"
Le secouriste néerlandais Pieter Wittenberg arrive au palais de justice, jugé avec 23 travailleurs humanitaires sur l’île de Lesbos, le 10 janvier 2023. MANOLIS LAGOUTARIS / AFP
La cour de Mytilène, chef-lieu de l’île grecque, a pris cette décision en raison de vices de procédure, notamment l’absence de traduction de l’acte d’accusation à destination des accusés étrangers, selon le tribunal.
Les chiffres sont alarmants. Si les jeunes enfants nés aujourd’hui ont de meilleures chances de survivre qu’en 1990, les inégalités persistent et le nombre de décès est encore beaucoup trop important si l’on considère l’état des connaissances disponibles, signale un rapport de l’ONU publié ce 10 janvier 2023.
Sarah Mardini et Seán Binder, deux bénévoles pour une ONG de sauvetage grecque sur l’île de Lesbos risquent 25 ans de prison pour avoir secouru des embarcations en détresse.
Des personnes exilées sont arrêtées par la police aux frontières, à Montgenèvre, 12 mars. (Adrien Baratay/Hans Lucas)
Les associations d’aide aux migrants fustigent le coût très élevé du déploiement massif de forces de l’ordre dans les Hautes-Alpes, dénonçant «un gaspillage» et des «entraves à la solidarité régulières».
La dématérialisation des procédures en préfecture a éloigné de nombreux étrangers des services publics. Crédit : InfoMigrants
Les préfectures du Rhône et de la Loire devront proposer une solution alternative à la dématérialisation des procédures, a ordonné le tribunal administratif de Lyon jeudi. Une victoire pour les associations requérantes, qui pointaient les difficultés pour les personnes étrangères dans l’utilisation des télé-services.
Les milliards d’euros versés en soutien aux populations sont souvent restés loin des lignes de front. Une distribution remise en question par les associations et les volontaires locaux. Pour en discuter, Nathalie Chrin, franco-ukrainienne, membre de l’association « Femmes ukrainiennes en France », François Dupaquier, président de l’OG « U-Saved » qui apporte son soutien aux volontaires ukrainiens et François Grünewald directeur de la veille et de l’anticipation du groupe URD (Urgence réhabilitation développement)
Partager la publication "Ukraine : où est passée l’aide humanitaire ?"