Par Lionel BRUN VALICON , GT “Environnement” de la LDH:
Se mobiliser pour la préservation des écosystèmes, une question de droits communs
Dans sa résolution « Environnement, écologie et droits », adoptée au congrès de Marseille le 6 juin dernier, la LDH a, pour la première fois, formalisé une position politique de fond sur les liens entre la défense des droits et des libertés et la préservation des écosystèmes (1).
Lionel BRUN-VALICON , secrétaire général adjoint de la LDH et responsable du groupe de travail LDH « Environnement »Droits & Libertés N° 198 u Juillet 2022
… Le droit à un environnement sain est à défendre face aux reculs de la législation en matière environnementale et aux carences des pouvoirs publics dans la protection des populations face aux risques que présentent certaines activités économiques pour la santé et l’environnement.
« Pour la LDH, l’effectivité du droit à un environnement sain doit être soutenue par le principe de non-régression, selon lequel la préservation de l’environnement ne peut faire l’objet que d’une amélioration constante. »
« Il s’agit de formaliser un réseau de solidarité et de délibération autour de “communs” qui n’ait pas une finalité d’appropriation mais plutôt de vigilance face aux usages abusifs, afin d’en éviter la confiscation, notamment par des acteurs économiques. »
il est extrait de l’excellente revue trimestrielle de la LDH “ Droits et Libertés ”
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