Le site de la section de Laval

La Ligue des Droits de l’Homme est une association nationale.

Un groupe local est constitué à Laval. Il prend des initiatives pour promouvoir les valeurs fondamentales qui animent ses adhérents, ici localement à Laval et en Mayenne.

Expressions publiques, rencontres, ciné débats, tables rondes, interpellations des élus, partout et sur tous les sujets qui touchent aux droits humains le groupe est actif.

venez nous rejoindre !

pour adhérer : https://www.ldh-france.org/adherer/

nos contacts:

  • adresse mail :   sectionlaval   {chez}      ldh-france.org
  • téléphone  :  07 68 54 13 83
  • notre adresse 48, rue de la Chartrière à LAVAL

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la section tient une chronique sur une radio, c’est à écouter ici :

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Un document à lire et à diffuser:

la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme:

à télécharger ici : DUDH

Recensement de la population : la LDH 53 écrit aux maires

Demander de déclarer le pays de naissance de nos parents est dangereux, inutile, inacceptable.

Une question dangereuse sur laquelle nous proposons de préconiser de ne pas répondre (question facultative).

 

Parce que c’est offrir une base pour des politiques qui divisent et discriminent.

Le premier rôle du recensement est d’établir les chiffres de la population des collectivités territoriales et de compter sur tout le territoire les groupes qui sont importants pour les politiques publiques. La question sur le pays de naissance des parents fera qu’on va compter séparément, d’une part, les personnes dont les parents sont nés en France et, d’autre part, ceux dont les parents sont nés ailleurs. Cette question est un pas pour traiter différemment dans les politiques publiques ceux que certains appellent les « français de souche » et tous les autres qu’ils excluent de leur « préférence nationale », comme ceux qu’ils qualifient de « français de papier », qui « remplaceraient » les premiers. Quoi qu’on soit à présent, devrions-nous être rattachés au passé familial avec ce critère, éternellement ? Récemment une mairie d’extrême droite a demandé à l’Insee de lui fournir le nombre de personnes d’origine étrangère bénéficiant de son parc de logement (incluant donc les personnes dont les parents sont d’origine étrangère). Le recensement ne collecte pas encore l’information, mais demain, si elle existait, est-ce qu’on la lui donnerait

Pendant la campagne des dernières législatives, le président du Rassemblement national a affirmé qu’aucune personne ayant une origine immigrée ne serait maltraitée par son parti… à condition de travailler et de ne pas enfreindre la loi. Il faisait donc comprendre qu’il traiterait différemment les personnes selon l’origine des parents. Pour sa part, l’actuel ministre de l’Intérieur a fait des déclarations indiquant qu’il veut aussi aller vers des traitements différents.

L’information sur le pays de naissance des parents, collectée auprès d’une part considérable de la

population, doit être vue dans ce contexte.

Parce que c’est ouvrir la voie à l’ajout du lieu de naissance de nos parents dans les fichiers administratifs. Les catégories qu’utilise le recensement s’imposent ensuite dans tous les fichiers, tous les raisonnements.

Les informations collectées par le recensement, dont le lieu de naissance de nos parents, pourront être croisées avec de nombreux fichiers administratifs : ceux de l’Éducation nationale, de la Justice, de France-Travail, de la Sécurité sociale, etc. Les outils techniques existent pour le faire et la loi le permet pour les services statistiques des ministères. Cette information sera intégrée dans les analyses des politiques publiques de leur ministère. Nous ne voulons pas que l’origine géographique de nos parents devienne une donnée de référence pour les politiques qui nous concernent.

L’égalité des droits, ce doit être pour toutes et tous.

Parce qu’il y a un risque de non-confidentialité des questionnaires remplis sur papier.

Si beaucoup de personnes répondent directement sur l’internet, un grand nombre (notamment d’origine étrangère) continuent à répondre sur des questionnaires qui transitent par des mairies avant d’être transmis à l’Insee. Peut-on garantir de façon certaine que certains ne seront pas tentés de prendre connaissance en cours de route des informations sur nos origines ?

Une question qui n’est pas utile pour mieux combattre les discriminations !

Parce que personne, même parmi ceux qui ont demandé que cette question soit posée, n’a dit pour quelles politiques ce serait nécessaire.

Qu’est-ce que ces comptages du lieu de naissance des parents permettraient de mieux faire, qu’on ne peut pas faire avec les statistiques déjà produites ? Rien n’est dit dans les documents déposés auprès de la Commission nationale informatique et libertés (Cnil). Aucune institution ayant demandé cette évolution n’a expliqué pourquoi le recensement collectera ainsi une information permettant de mieux combattre les discriminations. Quelles politiques publiques de lutte contre les discriminations réclament la collecte de cette information auprès de toute la population, dans tous les territoires ?

La question reste sans réponse. Les risques sont connus, les bénéfices attendus ne le sont pas.

Parce qu’il y a des méthodes plus pertinentes et mieux adaptées pour étudier les discriminations.

Disposer de bonnes données statistiques est indispensable pour connaître la situation des personnes d’origine étrangère et son évolution dans le temps, pour mesurer, génération après génération, la persistance de discriminations liées à leur origine, à leur couleur de peau, à leur religion présumée. Les enquêtes statistiques sont le bon instrument parce qu’elles collectent beaucoup d’informations dont l’origine sociale, l’origine géographique, les études faites, les professions exercées, les lieux d’habitation…

Les enquêtes spécialisées comme l’enquête Trajectoires et Origines de l’Insee et l’Ined ont réussi à bien mesurer les inégalités liées aux discriminations liées aux migrations. Ce travail d’enquête se développe depuis une vingtaine d’années seulement et doit s’approfondir pour développer la connaissance solide déjà disponible. Fondamentalement, aujourd’hui, le principal problème n’est plus le manque de données statistiques mais la faiblesse des politiques publiques, la pauvreté de moyens consacrés pour répondre aux effets des discriminations.

Parce que les plus concernés ne sont pas associés à la discussion sur les données à collecter.

Les chiffres nationaux disent clairement l’ampleur des inégalités dues aux discriminations. Maintenant, lorsqu’on veut mettre en place des politiques concrètes de terrain, les territoires qui avancent sont d’abord ceux où les élu-e-s, les administrations, les associations et syndicats, et bien évidemment les personnes concernées, discutent ensemble de quoi faire, comment le faire, puis suivent ensemble ce qui se met en place. Parmi les choses qui sont à discuter et décider ensemble, il y a le choix des données de terrain dont on a besoin pour ces politiques de terrain. C’est sur quoi il faut dorénavant avancer.

Sans avoir eu besoin du recensement pour cela, de nombreuses enquêtes montrent l’effet des

discriminations et leur persistance d’une génération à l’autre. Les chiffres sont là pour dire

l’actualité du combat pour faire reculer les discriminations, pour mener des actions effectives.

Parce que les questions facultatives sur le pays ou le département de naissance de nos parents,

introduites cette année dans le recensement, sont dangereuses et inutiles, il ne faut pas y répondre.

né•es ici ou venu•es d’ailleurs l’égalité des droits, c’est pour toutes et tous !

Le gouvernement continue de pointer du doigt les travailleur-euses immigré-e-s les rendant responsables des maux sociaux et économiques.

Nous appelons à rejoindre la mobilisation nationale le 14 décembre pour défendre les droits et la dignité  des migrant-e-s et dire non à cette politique de division.

 

Rendez vous le samedi 14 décembre à 14H

Hôtel de ville de Laval

 

Les syndicats et associations : LDH, CGT, FSU, Solidaires, Emmaüs, MNL,l’Assemblée citoyenne du Pays de Craon, Les Trois Mondes, ATD Quart-monde,Garde anti-fasciste53, Accueil et Espoir 53, La Maison solidaire du Bourgneuf, citoyens du Monde

Avec le soutien de partis politiques :les Ecologistes EELV, PCF, LFI

 

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Extrême droite, immigration, droits fondamentaux: les assocations de la Mayenne prennent position

Pour des valeurs associatives au service de tous

Nous avons la chance dans notre pays de pouvoir compter sur une dynamique associative particulièrement forte qui nous accompagne au quotidien. Ce sont nos associations qui viennent en soutien des plus démunis, aux migrants, leur proposant un repas, un toit ou un accompagnement. Ce sont elles, toujours,qui assurent du lien social, et permettent d’animer nos bourgs et nos quartiers, proposant des activités culturelles accessibles à toutes et à tous. En innovant ainsi,elles démontrent que l’on peut trouver ensemble des solutions pour construire un quotidien plus juste, plus digne, plus fraternel.

Au delà des champs d’intervention de chaque association, ce qui nous réunit aujourd’hui c’est un socle de valeurs et de principes partagés. Ces valeurs sont la reconnaissance de la différence, le respect de l’autre, la dignité, la bienveillance, le droit à la culture.

Le vivre ensemble c’est d’abord l’accueil inconditionnel de l’autre, sans discrimination,quels que soient les difficultés, quels que soient sa religion, ses croyances et son pays, car les droits sont universels, aucune préférence nationale ne s’y appliquant.

C’est ce à quoi, chaque jour, dans notre département, des militants , des bénévoles s’emploient à faire vivre, à l’opposé de thèses xénophobes et identitaires.

Fort de notre expérience forgée sur le terrain, au quotidien :

    • parce que les associations pratiquent le dialogue et le mettent en œuvre avec succès,

    • parce que les associations prônent l’ouverture et la tolérance

    • parce que les associations sont des écoles de la démocratie

nous affirmons que les valeurs associatives sont incompatibles avec des politiques du repli sur soi.

Parce que les associations agissent pour l’accès de tous aux droits fondamentaux, les signataires appellent chacune et chacun à défendre nos valeurs républicaines lors des prochaines élections. Liberté, Égalité et Fraternité ne sont pas de vains mots : à nous de leurs donner un sens et de les faire vivre.

Les premiers signataires membres du COLLEDIS :

Emmaüs 53, ATD Quart Monde, Secours Catholique, Citoyen du monde, LDH , Saint Vincent de Paul, Ligue de l’Enseignement, AIDES, Lycéens Réfugiés 53, Hébergeurs Solidaires, La Porte Ouverte, La Maison Solidaire du Bourgneuf, Femmes Solidaires, ENOSIA, RESF.

lettre ouverte aux députés Européens : la LDH Laval Mayenne écrit à Madame Valérie Hayer

Madame Valérie Hayer

Madame l’Eurodéputée,

C’est avec gravité que nous vous écrivons à l’approche de l’examen par le Parlement européen d’une série d’amendements aux orientations sur le budget 2025 – Section III, ce mercredi 13 mars.

Deux amendements en particulier, les amendements 36 et 39 relatifs au conflit actuel au Proche Orient, ont attiré notre attention.

L’amendement 36 « demande la suspension du financement de l’UNRWA [Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient] par l’Union, compte tenu des multiples allégations d’implication de membres de son personnel dans l’attaque barbare perpétrée par le Hamas contre Israël en octobre 2023 ».

Cet amendement sera discuté quelques jours après l’annonce par l’Union européenne de la reprise du financement de cette organisation après une enquête interne. Face à la crise humanitaire frappant Gaza, l’UNRWA représente la seule source d’aide à la population, alors que plus de 80 % des Gazaouis ont été déplacés depuis le début de la guerre, et que 570.000 Palestiniens risquent la famine.

Mettre fin au soutien financier apporté par l’Union européenne à l’UNRWA contribuerait assurément à l’aggravation de la crise humanitaire à Gaza. Cela aurait également des conséquences dramatiques pour les réfugiés palestiniens dans la région. Il est en outre important de garder à l’esprit que les pays ayant décidé de mettre fin au financement de l’UNRWA, tel que le Canada ou la Suède, sont récemment revenus sur cette décision.

L’amendement 39 pour sa part « prie la Commission d’imposer à tous les bénéficiaires de fonds de l’Union dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord de signer une déclaration par laquelle ils reconnaissent le droit d’Israël d’exister et condamnent l’antisémitisme ; demande à la Commission de suspendre le versement de tous les paiements aux bénéficiaires qui
a) refusent de signer cette déclaration,
b) vont à l’encontre de l’esprit de cette déclaration bien qu’ils l’aient signée ou
c) contribuent directement ou indirectement au financement de bénéficiaires qui vont à l’encontre de l’esprit de cette déclaration
 ».

Cet amendement marque une escalade dans l’usage des accusations d’antisémitisme par le gouvernement israélien afin de limiter la critique légitime de sa politique. Il s’agit en ce sens d’une instrumentalisation de l’antisémitisme.

Cette proposition d’amendement témoigne d’une difficulté à saisir le conflit israélo-palestinien dans sa complexité. L’adoption de cet amendement constituerait en outre un dangereux précédent par rapport à la restriction de la liberté de pensée et d’expression.

En conséquence, la LDH (Ligue des droits de l’Homme) vous demande de :

  • Rejeter la proposition d’amendement 36 lors du vote du 13 mars 2024 ;

  • Rejeter la proposition d’amendement 39 lors du vote du 13 mars 2024 ;

  • Engager le Parlement européen à, contrairement à l’esprit de ces deux amendements, augmenter le soutien financier, logistique et politique à l’UNRWA ainsi qu’aux organisations de la société civile palestiniennes.

Restant à votre disposition, nous vous prions de croire, Madame l’Eurodéputée, Monsieur l’Eurodéputé, à l’assurance de notre haute considération,

un film sur la souffrance au travail

Par la fenêtre ou par la porte
Lundi 15 janvier
à 20 h 15 Cinéma l’Avant Scène (rue du Vieux St Louis , Laval)
Suivi d’un débat animé par la Ligue des Droits de l’Homme

 

Un documentaire qui pose avec force la question de la souffrance au travail et appelle à la réflexion et à l’action. Il s’agit d’agir pour les droits et la dignité. C’est pourquoi la Ligue des droits de l’Homme s’engage et vous invite à cette projection débat.

 

« Par la fenêtre ou par la porte », c’est l’affaire France Télécom-Orange, racontée pour la première fois par celles et ceux, syndicalistes, salarié·es, agents du service public, qui ont lutté sans relâche pour la dignité au travail dans cette entreprise.
Le film retrace des décennies de combat, d’abord contre une privatisation rampante, puis contre des dirigeants dont l’unique boussole était le cours de l’action, n’hésitant pas à pousser dehors en un temps record 22 000 personnes « par la fenêtre ou par la porte » selon les mots de Didier Lombard, l’ancien président. Un personnel en état de choc, de nombreux suicides, deux procès, avec à la clé des peines de prison pour les dirigeants, du jamais vu pour une entreprise du CAC 40. Et la consécration d’une nouvelle arme de droit, primordiale pour les syndicalistes : le harcèlement moral institutionnel, qui ouvre une brèche importante dans un pouvoir de direction jusqu’alors inexpugnable.
À travers de nombreux témoignages, le film retrace les difficultés du syndicalisme face à l’individualisation du travail, à la tragédie des suicides, mais aussi son inventivité pour faire de son combat une question d’intérêt général et l’ouvrir à toutes les composantes de la société.
En résonance avec le débat qui s’impose depuis la puissante mobilisation intersyndicale contre la réforme des retraites, il questionne le travail lui-même – son sens, son utilité sociale, les conditions dans lesquelles il s’exerce.
Ce film renouvelle l’image de l’univers syndical et contribuera – c’est le souhait de ses auteurs et autrices – à le rapprocher des citoyen·nes.

Les associations et organisations syndicales Mayennaise alertent

Nous, associations engagées au quotidien auprès des plus démunis, français et immigrés, nous organisations syndicales de salariés dans l’action pour le respect des droits de toutes et tous, nous tous ensemble agissant contre le racisme et toutes les discriminations, marquons d’un signal d’alerte la journée du dimanche 26 novembre.

Pour la première fois notre ville de Laval a vu défiler des groupuscules exprimant leur haine et leur rejet des étrangers en en faisant les responsables de tous les maux qui touchent notre société.

Cette manifestation était organisée conjointement par des éléments ultras, certains condamnés par la justice du fait de leurs actions violentes, et les membres des partis d’extrêmes droites qui se présentent aux élections. Le responsable départemental du RN est un des acteurs majeurs de cette manifestation.

Apparaît donc clairement la nature des partis cherchant à se rendre présentables, mais n’ayant de fait rien abandonné de leurs objectifs et idéologie : le racisme, le rejet de l’autre, l’agitation par tous moyens pour opposer les populations selon leurs origines ou leurs croyances, y compris par la violence.

Nos engagements et nos actions nous obligent à alerter les citoyens. Il convient de faire connaître la vraie nature des partis d’extrême droite et le grave danger qu’ils représentent. Ils veulent organiser la société sur le rejet, l’exclusion, attiser les haines, les violences.

Ensemble, nous marquons aujourd’hui notre détermination commune et notre coordination pour cela.

Le 28 novembre 2023

Les syndicats : CFDT, CGT, FSU, Solidaires

les associations :

Ligue des Droits de l’Homme, Femmes solidaires, Ligue de l’enseignement, Citoyens du Monde, Les Trois Mondes, la GOM53

 

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Israël – Palestine : une paix possible ou un conflit sans fin ?

 conférence débat

Le mercredi 15 novembre à 20 h

Théatre Jean Macé à Laval

Avec Vincent Rebérioux
Membre du Bureau National de la Ligue des Droits de l’Homme

75 ans d’histoire et des résolutions des Nations Unies,
La colonisation de la Cisjordanie et de Jérusalem Est,
La politique désastreuse du gouvernement Nethanyahou,
L’horreur de l’attaque terroriste du 7 et 8 octobre,
L’horreur de la guerre et de la souffrance des civils à Gaza,

Comment briser le cycle infernal de la terreur, et permettre aux peuples d’Israël et de Palestine de partager leur humanité commune en parvenant enfin à l’instauration d’une paix juste et durable ?

 

Lutte contre les idées extrème droite : oui mais comment ?

La LDH fait du combat contre idées d’extrême droite une priorité d’action. Reste à définir les modalités de ces actions pour en chercher l’efficacité et la pertinence.

Pour lutter contre les idées d’extrême droite,Il s’agit :

  • Mener un travail de fond, de clarification et une bataille d’idée qui nécessite de multiplier les initiatives en visant toujours à rassembler largement et en visant les électeurs qui se font duper par les fausses promesses de l’extrême droite, voire qui sont séduits par les discours anti immigrés.
  • Montrer aux électeurs, notamment ceux des couches populaires, séduits par les partis d’extrême droite et aux abstentionnistes réguliers que leur vote ou leur absence de vote risque d’amener au pouvoir des élus qui mettraient en œuvre un programme radicalement contraire à leurs intérêts car précisément accentuant les inégalités et amplifiant les reculs sociaux.

 

 

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