Bienvenue sur le site de la section Paris 5ème et 13ème de la LDH

 Pour Agir avec la section LDH Paris 5/13, venez nous rencontrer

 tous les 2ème Jeudi du mois  à 19H30 :

paris.5.13@ldh-france.org

La section anime une Permanence d’accueil et d’information juridique des étrangers (Paris 13ème) 

Samedi matin (sauf août) de 10h à 12 h

  Maison de la vie associative et citoyenne du 13ème (MVAC)

11 rue de Caillaux – 75013 Paris

 Permanences juridiques :

sur RDV au 06 42 72 87 63

   Site de la section LDH Paris 5-13

   Site de la Ligue des droits de L’Homme Nationale

     Contact section :

  paris.5.13@ldh-france.org    Facebook de la section 

         Quelques thèmes d’action que nous abordons dans le 13ème :

    • défendre les droits et les droits sociaux des étrangers 
    • défendre et promouvoir le droit des femmes
    • défendre nos libertés autour de l’état d’urgence sanitaire

Ciné-débat « Profession journaliste » – 13 octobre 2013

La section Paris 5-13 présente :


« PROFESSION JOURNALISTE», un documentaire de Julien DESPRES

lundi 14 octobre 2013, à 20h, au Cinéma La Clef

Qu’est-ce qu’un journaliste aujourd’hui ? Est-il animé par le désir d’informer ou par la nécessité de gagner sa vie ? Dans le jeu trouble du commerce de l’information et de la production d’événements, la position du journaliste est ambiguë. A travers l’histoire du journalisme, et par le biais de témoignages contemporains, une réflexion sur l’état de la profession s’impose. Quels sont les liens entre journalisme, politique et finance ? Alors que les médias enracinent leurs influences idéologiques au coeur de la société, le fantasme d’une information objective et
neutre perdure.

Le débat qui suivra sera animé par le réalisateur Julien DESPRES

Cinéma La Clef – 21 rue de la Clef, PARIS 5e (M° Censier-Daubenton, bus 27, 67, 89)

Réunion « Permanence d’aide juridique » – octobre 2013

La réunion mensuelle de la Section paris 5-13 aura lieu ce jeudi 10 octobre 2013 à la Maison des associations du 13e .

A partir de 19h30, vous pourrez discuter avec les membres de l’équipe d’animation de la section : vous pourrez faire part de vos questions sur la LDH et sur la section, de vos souhaits d’actions…. N’hésitez pas à venir les rencontrer.

A partir de 20h: nous aurons une présentation de notre travail dans le cadre de la permanence d’aide et d’information juridique des étrangers

Théâtre-Débat : « Invisibles » – 25 septembre 2013

La section organise un débat à la suite de la représentation de « Invisibles», texte et mise en scène Nasser Djemaï, en sa présence et animé par Mylène Stambouli, avocate (LDH)

Mercredi 25 septembre 2013, à 20h30

Théatre 13 / Jardin : 103A, bld Auguste Blanqui,
Paris 13e (M°: Glacière) Entrée : 24€ / 16€ (habitants du 13ème)

« En quête de son père inconnu, un jeune homme découvre l’existence cachée des chibanis («cheveux blancs», en arabe), travailleurs immigrés venus d’Afrique du Nord, à jamais éloignés du pays natal.
Ce récit des temps modernes commence dans un lieu retranché, aux oubliettes de notre monde pressé : un foyer Sonacotra.
Autour d’une table en formica, cinq chibanis jouent aux dominos… pour oublier que la vraie vie leur a glissé entre les mains : travailleurs immigrés, ils ont quitté leur pays, leur famille, pour bâtir la France des Trente Glorieuses.
Devenus « inutiles », ils se voient confisquer leurs vieux jours. Retourner au pays, où les leurs ne les attendent parfois plus, c’est renoncer à leur pension.
Ni d’ici, ni plus tout à fait de là-bas.
Une colère sourde les traverse sans jamais altérer le regard sage et taquin qu’ils posent sur notre société déshumanisée.
Une quête initiatique sans concession, avec des corps, des visages, des voix que nous n’avons pas l’habitude de voir ni d’entendre »

Présentation de la pièce sur le site du Théâtre 13

Affiche d’annonce

Symboles de la LDH

A propos du bonnet phrygien de la LDH

Suite à des questions lors de la diffusion de nos tracts sur les marchés, voici un résumé de l’historique du bonnet phrygien, utilisé dans le logo de la Ligue des Droits de l’Homme : son origine, son histoire, le choix de la LDH, le pourquoi du comment …

Certains d’entre nous ont été interpellés sur l’utilisation du bonnet phrygien dans le sigle de la LDH. On nous reproche une référence à un moment sanguinaire de la révolution. Nous sommes donc allés rechercher les origines de cette coiffure.

Dans l’Antiquité, la Phrygie est un royaume situé au centre de l’Asie Mineure. Midas, l’un de ses rois, fera l’objet de légendes chez les Grecs, en raison de ses richesses et ce sont les Grecs qui donnèrent l’appellation « bonnet phrygien » nommé aussi « bonnet oriental ». Car cette coiffe est également portée par de nombreuses tribus iraniennes. Elle orne aussi invariablement la tête de Mithra, divinité des peuples indo-iraniens. A Rome, le bonnet phrygien était porté par les esclaves affranchis, d’où sa reprise par les révolutionnaires.

Les deux parties qui forment aujourd’hui le logo de la LDH ont évolué dans le temps mais l’ont toujours ancré depuis son origine dans la République de France. Le bonnet phrygien rouge et la balance de la Justice sont les deux symboles qui plantent dans le regard des gens, une image de progrès et de justice.

A suivre …

Le fameux bonnet au centre de la Déclaration des droits de l'Homme

Le fameux bonnet au centre de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen

La réforme pénale – septembre 2013

Réforme pénale, des avancées notables, mais des améliorations encore possibles

Attendue depuis un an, la réforme pénale nécessitait grandeur de vue et pédagogie. Il est regrettable que le débat estival auquel elle a donné lieu ait été marqué par l’esprit polémique et politicien. La justice méritait mieux, particulièrement après les multiples lois sécuritaires sous la période Sarkozy.

Il faut donc se féliciter que les derniers arbitrages présidentiels semblent ouvrir la voie à des avancées notables, dont la création d’une peine de probation, déconnectée de l’emprisonnement, n’est pas la moindre. En effet, si cette sanction est mise en application de manière lisible et avec les moyens nécessaires, elle est susceptible de favoriser une rupture d’avec le tout-carcéral.

Il convient de même de se féliciter de l’abrogation des peines planchers et de la révocation automatique des sursis simples, qui participent de cette même volonté.

La mise en place d’un examen automatique au deux tiers de la peine, afin de limiter les sorties sèches, constitue de même un progrès incontestable.

En attendant de prendre connaissance du futur projet de loi, il faut toutefois s’inquiéter du silence autour de grands enjeux tels que la disparition de la rétention de sûreté, ou encore de la réhabilitation du droit pénal des mineurs.

Il est tout autant regrettable que la réforme n’envisage pas de transformer certains délits en contraventions, ou de dépénaliser certains comportements qui constituent de simples manquements à la discipline sociale.

Le débat parlementaire devra nourrir ce projet afin de lui donner la force et l’ambition essentielles à sa réussite.

C’est ce à quoi la Ligue des droits de l’Homme invite les parlementaires, tout en pressant le gouvernement de ne pas attendre et d’inscrire au plus vite ce chantier à l’ordre du jour de la représentation nationale.

Tract diffusé en septembre 2013

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