La loi, signée vendredi, fait de la chaise électrique le premier choix d’un condamné à mort à la place de l’injection létale et autorise la formation d’un peloton d’exécution, qui devient la seconde option.
La loi, signée vendredi, fait de la chaise électrique le premier choix d’un condamné à mort à la place de l’injection létale et autorise la formation d’un peloton d’exécution, qui devient la seconde option.