En nommant Gabriel Attal à Matignon, Emmanuel Macron a choisi son « minimoi », puisé dans une génération politique sans colonne vertébrale, prête à tout pour gravir les échelles du pouvoir – y compris épouser les idées de l’extrême droite.
En nommant Gabriel Attal à Matignon, Emmanuel Macron a choisi son « minimoi », puisé dans une génération politique sans colonne vertébrale, prête à tout pour gravir les échelles du pouvoir – y compris épouser les idées de l’extrême droite.