Dénoncer la corruption en Afrique est risqué : l’exil, les menaces, voire la peine de mort sont parfois au bout de leur engagement.
Pourtant, à travers tout le continent, des lanceurs et lanceuses d’alerte agissent et obtiennent des résultats.
« Quand on dénonce des faits de corruption, on est considéré comme le criminel à abattre »
Malgré les représailles, les lanceurs d’alerte sont pourtant nombreux en Afrique.
« Les gens voient les fonds publics, le futur de leurs enfants, qui leur filent sous les yeux, et veulent le dénoncer le plus vite possible. »
Aujourd’hui, ce sont les personnes qui se rendent coupables de corruption qui sont soutenues, pas les lanceurs d’alerte.