L’ONG Anticor privée de son agrément par le tribunal administratif
Avec cette décision, l’association de lutte contre la corruption perd la possibilité de porter plainte au nom de l’intérêt général. L’organisation dénonce «une atteinte grave à la démocratie».
Anticor, l’association de lutte contre la corruption, est sous pression. Son agrément qui lui permet de mener des actions en justice est menacé. Un recours est en cours devant le tribunal administratif. Décision le 23 juin.
« Je voudrais juste un os. » Désespérée, une mère supplie un soldat pour qu’il lui laisse une chance de retrouver les restes de son fils, un parmi les quelque 94.000 disparus qui hantent le Mexique.
La mère-courage, qui a perdu la trace de son enfant il y a un an, négocie avec les forces de sécurité l’accès à un ancien champ de maïs dans l’Etat de Tamaulipas (nord-ouest), où une demi-tonne de restes humains ont été retrouvés depuis 2017.
Nikol Pachinian, le Premier ministre de l’Arménie, le 27 septembre 2020 à Erevan. TigranMehrabyan, PAN Photo via AP
Le gouvernement arménien, réputé pour ses engagements démocratiques, est sous le feu des critiques après avoir adopté une loi controversée sur la presse.
La Cour Constitutionnelle arménienne a validé le 9 octobre dernier une loi, adoptée en juillet, qui prévoit notamment l’augmentation substantielle des amendes en cas d’insultes ou de diffamation envers des personnalités publiques. Au maximum, en cas de récidive, l’amende pourrait s’élever à 30 fois le salaire mensuel moyen d’un journaliste arménien.
Pourquoi l’Algérie, alors que le pays est régulièrement confronté à des incendies, ne s’est-elle jamais doté d’avions bombardiers d’eau ? Eléments de réponse.
Le président brésilien Jair Bolsonaro assiste à une cérémonie au palais du Planalto à Brasilia, Brésil, le 29 juin 2021. REUTERS/Adriano Machado/File Photo
BRASILIA, 12 juillet (Reuters) – A la demande de la Cour suprême, la police fédérale brésilienne a officiellement ouvert une enquête sur le président Jair Bolsonaro concernant des irrégularités présumées dans l’achat d’un vaccin indien et pourrait désormais l’interroger, selon une source au courant de l’affaire qui l’a annoncé lundi.
Le président a été impliqué dans des allégations d’irrégularités concernant le contrat de 1,6 milliard de reais (316 millions de dollars) signé en février pour 20 millions de doses avec un intermédiaire brésilien pour le fabricant du vaccin, Bharat Biotech.
Une commission sénatoriale brésilienne enquêtant sur la gestion par l’administration de la pandémie a évoqué des soupçons de surtarification et de corruption liés au contrat. Certains sénateurs ont allégué que Bolsonaro n’avait pas immédiatement pris en compte les soupçons d’actes répréhensibles à propos desquels il avait été alerté.
Après que les rapports d’irrégularités aient été rendus publics, le gouvernement a suspendu le contrat.
Le scandale nuit à la position de Bolsonaro dans les sondages. Beaucoup sont bouleversés par sa gestion de la deuxième épidémie de coronavirus la plus meurtrière au monde, les allégations de corruption à propos des vaccins ainsi que la hausse des prix du carburant, de l’électricité et de la nourriture.
Les procureurs fédéraux brésiliens et le bureau du contrôleur général, ou CGU, enquêtent également séparément sur les irrégularités présumées de l’accord.
Bolsonaro a évidemment nié tout acte répréhensible.
Reportage de Gabriel Stargardter ; Montage par Alexandre Caverni et Aurora Ellis
Traduction automatique
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Un colloque a été organisé le 26 juin 2021 autour d’une trentaine de magistrats, chercheurs, journalistes et hommes politiques pour célébrer les 25 années de l’appel de Genève qui lançait les prémisses d’une Europe judiciaire afin de lutter contre le crime organisé et les paradis fiscaux. Voici la contribution remarqué et remarquable d’un des participants : le magistrat et chercheur Jean de Maillard.
Le policiers de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales ont rédigé un rapport d’enquête auquel le « Journal du dimanche » et France Télévisions ont eu accès.
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