Racket de travailleurs sans-papiers : « Si je voulais continuer à travailler, je devais lui donner 400 euros par mois »


Une assemblée générale est organisée par la CGT et les grévistes sans-papiers lundi 1er novembre 2021 à l’hôtel de ville de Bobigny. Crédit : InfoMigrants


Des travailleurs sans-papiers de l’entreprise de ramassage de déchets, Sépur, sont en grève depuis le 11 octobre. Ils réclament leur régularisation pour mettre fin, entre autres, à des pratiques de racket. Plusieurs d’entres eux se disent victimes d’extorsion par leurs chefs de dépôt. Ils prévoient de déposer plainte.

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