RASSEMBLEMENT SAMEDI 27 JANVIER A 14H AU CASTILLET – PERPIGNAN – HALTE AU MASSACRE A GAZA ! LA FRANCE DOIT DEMANDER UN CESSEZ LE FEU IMMEDIAT !

A l’appel du Collectif 66 pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens

Rassemblement samedi 13 janvier à 14h au Castillet à Perpignan contre la guerre de Netanyahou pour la paix entre Palestiniens et Israéliens –

Non aux massacre du peuple palestinien – Cessez-le-feu – Stop à la guerre !

La barbarie semble l’emporter en Palestine meurtrie : elle est l’oeuvre d’un gouvernement extrémiste de droite en Israël dont l’armée exécute ses ordres : il s’agit de chasser les Palestiniens de la bande de Gaza et de les pousser à s’exiler… afin de pouvoir coloniser ce territoire. Nous manifesterons jusqu’au bout pour exiger un cessez le feu immédiat – Stop la guerre, stop les massacres – stop la barbarie…

Rassemblement samedi 13 janvier à 14h au Castillet à Perpignan contre la guerre de Netanyahou pour la paix entre Palestiniens et Israéliens – Non aux massacre du peuple palestinien – Cessez-le-feu – Stop à la guerre !

La LDH sera présente à l’appel du Collectif national pour une paix juste et durable entre palestiniens et Israéliens

 Immense manifestation pour la paix samedi 6 janvier à Tel-Aviv et contre la colonisation juive dans les territoires palestiniens (L’Humanité du 7 janvier)

PLUSIEURS dizaines de milliers d’Israéliens, en majorité des jeunes, ont manifesté samedi soir à Tel-Aviv «pour sauver la paix». Les manifestants répondaient à l’appel du mouvement Génération paix, créé par Yuval Rabin, fils de l’ancien premier ministre assassiné en novembre 1995. Ils se sont regroupés sur l’ancienne place des Rois-d’Israël, rebaptisée place Yitzhak-Rabin, où s’était déroulé le meurtre.

A la veille du départ pour Washington de Benyamin Netanyahu, les manifestants ont appelé le premier ministre à geler la colonisation juive dans les territoires palestiniens et à relancer les négociations avec l’Autorité palestinienne de Yasser Arafat afin de «sauver la paix».

 A Gaza, un demi-million de Palestiniens ne savent pas où rentrer après la guerre, selon l’ONU

https://news.un.org/fr/story/2024/01/1142212

Alors que l’armée israélienne a poursuivi ses bombardements contre le Hamas dans la bande de Gaza, un demi-million de Gazaouis ne savent pas où rentrer à la fin du conflit en raison des destructions, a indiqué mercredi le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA).

Grande manifestation au Michigan (USA) pour la Paix en solidarité avec le peuple palestinien (Vidéo)

En Argentine face au président d’extrême-droite qui impose un programme ultralibéral de destruction des droits démocratiques et sociaux la grève générale se prépare pour le 24 janvier

Publié le 29 décembre 2023 sur lemonde.fr avec AFP

Argentine : appel à la grève générale en janvier contre le programme de réforme ultralibéral du nouveau président

La principale centrale syndicale du pays a appelé à une mobilisation devant le Parlement le 24 janvier pour protester contre les premiers décrets et projets de loi de Javier Milei.

Manifestation contre le décret d’urgence du président argentin, Javier Milei, à La Matanza, dans la province de Buenos Aires, le 28 décembre 2023. LUIS ROBAYO / AFP

Pour la première fois en quarante ans de démocratie en Argentine un président doit faire face à une grève générale un mois et demi seulement après son arrivée au pouvoir.

Hector Daer, secrétaire général de la CGT − principale centrale syndicale d’Argentine, qui revendique 7 millions d’affiliés − a annoncé, jeudi 28 décembre en conférence de presse, une grève générale pour protester contre les premiers décrets et projets de loi de la présidence ultralibérale du nouveau président, Javier Milei.

Une mobilisation est également prévue devant le Parlement, qui examinera alors les projets de loi dérégulateurs « qui vont à l’encontre de toute la société » et concentrent « tous les pouvoirs publics » sur le président, a déclaré M. Daer. Cette mobilisation, a poursuivi le dirigeant syndical, vise en particulier un « décret de nécessité et d’urgence » publié le 20 décembre par le gouvernement, ouvrant la voie à une dérégulation massive de l’économie, mais au « caractère illégal et inconstitutionnel ».

« Ce décret s’en prend aux droits individuels des travailleurs, aux droits collectifs, à un système de santé universel et solidaire, et à un nombre incalculable de sujets qui constituent notre pays », a insisté M. Daer. « En moins d’une semaine, ils transforment l’Argentine et nous ramènent à l’Argentine pastorale », a-t-il dénoncé.

« Loi omnibus »

Javier Milei, ultralibéral et « anarcho-capitaliste », comme il se décrit lui-même, a depuis son investiture, le 10 décembre, publié un décret de dérégulation de l’économie à travers l’abrogation de quelque 300 normes. Un décret techniquement en vigueur à partir de vendredi, mais sous réserve d’approbation par le Parlement.

Il a aussi poursuivi son élan « libéral » en déposant mercredi au Parlement un ensemble détaillé de projets ou de modifications de lois qui affectent une multitude de domaines de la sphère publique et privée. Sont concernés, pêle-mêle, aussi bien le fiscal que l’électoral, la journée de travail, le calcul des retraites, le contrôle et les sanctions concernant les manifestations, ou l’instauration d’un « divorce express ».

Ce vaste train de réformes, dit « loi omnibus », doit lui aussi être examiné par le Parlement, et les avis juridiques divergent quant au temps effectif − des mois, voire des années selon certains − qu’il faudrait pour examiner les quelque 600 articles.

Une autre interrogation porte sur l’issue même du processus parlementaire en ce qui concerne certaines dispositions polémiques, avec un Parlement sans majorité absolue dans aucune des deux chambres. Et où le parti de Javier Milei, la Libertad Avanza, n’est que la troisième force − même s’il peut compter avec l’appui du bloc de centre droit, le deuxième par son importance.

Manifestations et recours en justice

La mobilisation n’a toutefois pas attendu, avec trois manifestations en un peu plus d’une semaine à Buenos Aires, et plusieurs recours en justice déposés contre le décret d’urgence du 20 décembre. Dont certains par la CGT elle-même, mercredi.

Sont d’ores et déjà effectives, et avec un effet immédiat sur le porte-monnaie des Argentins, une première série de mesures d’austérité, annoncées aux premiers jours de la présidence Milei. En particulier la dévaluation de plus de 50 % du peso, la devise nationale, et la baisse dès le début de janvier de subventions aux transports et à l’énergie, se traduisant en une hausse immédiate de tarifs vouée à affecter le quotidien de plusieurs millions d’Argentins.

L’objectif pour le gouvernement est la réduction drastique du déficit budgétaire chronique de l’Argentine, engluée dans une inflation à 160 % sur un an.

Le Monde avec AFP