En finir avec les idées fausses propagées par l’extrême droite : un livre militant indispensable !

Les mensonges assénés à longueur de discours par les dirigeants du front national sont tellement énormes qu’on est parfois désarçonnés pour prouver leur inanité à nos interlocuteurs, souvent sincèrement ébranlés par ce qu’ils ont lu ou entendu.

C’est dire si le petit livre « Pour en finir avec les idées fausses propagées par l’extrême droite » était attendu. Certes, il y a eu ici où là des tentatives pour mettre au point un outil militant permettant de réagir à la fois correctement (c’est-à-dire sans faire d’erreur) et rapidement.

Ecrit par Pierre-Yves Bulteau, un journaliste qui a su s’entourer de syndicalistes et de militants associatifs (liste ci-dessous), il recense pas moins de 73 « idées reçues », qui constituent l’essentiel de l’argumentaire des partis d’extrême droite, front national et autres. Les sujets ne sont pas très variés : immigration, pression fiscale, insécurité, islam, Europe, identité nationale, nationalisme… et les techniques non plus : on est généralement en face d’une sorte de friche intellectuelle, dans laquelle les chiffres et les statistiques ne sont qu’inventions ou déformations et interprétation stupide de données officielles. Chiffres qui, curieusement, sont souvent acceptés sans réaction par des journalistes, parfois spécialisés, qui ne prennent pas la peine de réagir pendant les interviews (on se souvient des premiers passages du père Le Pen dans les émissions télévisées du type « la marche du siècle », où les affirmations qu’il assénait étaient rarement contestées).

Le livre commence par une  introduction de Gérard Aschieri, président de l’Institut de recherches du syndicat enseignant FSU (et membre de la Ligue des droits de l’Homme), Frédéric Bodin, secrétaire national de l’Union syndicale Solidaires, Agnès Naton, directrice de la Vie ouvrière (CGT) et Pierre Tartakowsky, président de la Ligue des droits de l’Homme. Sa parution a été saluée par le journal Libération, et il est en vente dans les bonnes librairies, et à la boutique de la Ligue des droits de l’Homme. Il le sera également sur le stand de Leclerc culture, pendant les Droits en fête, samedi 26 avril, à la salle des fêtes de Plémet.

Un livre indispensable !

Les partenaires : des syndicats, CGT, FIDL, FSU, Solidaires, UNEF, UNL ; des associations, Ligue des droits de l’Homme, JOC, MRAP. ISBN 978-2-7082-4265-4. Les éditions de l’Atelier, www.editionsatelier.com. 5€

Le multirécidiviste fuyard Boris Le Lay de nouveau condamné

Le multirécidiviste fuyard Boris Le Lay a été condamné, lundi 24 mars, à 16 mois de prison avec sursis par la cour d’appel de Rennes. Le tribunal l’a également condamné à verser des dommages et intérêts à ses victimes. Évidemment absent à l’audience, le marchand de galettes n’était pas non plus représenté : son appel à la générosité publique pour se payer un avocat n’aurait-il pas été entendu ?

Cette condamnation arrive après de nombreuses autres, toujours pour les mêmes motifs : incitation à la haine raciale. Et comme les précédentes, cette condamnation ne va pas l’empêcher de continuer de déverser son venin sur son site, hébergé naturellement hors de France. Et comme son pote Dieudonné, il y a fort à parier qu’il organise son insolvabilité.

Second tour : faire barrage aux candidats d’extrême droite

La Ligue des droits de l’Homme, inquiète de la montée de la droite extrême au premier tour des élections municipales, appelle à faire barrages à ses candidats. Et à faire aussi barrage aux candidats qui, sans être adhérents au front national, en véhiculent les idées et en appliquent les méthodes. Et ils sont nombreux, camouflés derrière un costume « sans étiquette » ou « indépendant » : dans certaines communes, le FN n’a effectivement pas besoin de présenter de candidats : les élus en place font le travail à sa place.

Communiqué de la Ligue des droits de l’Homme

Second tour : faire barrage aux candidats d’extrême droite

Trois faits majeurs s’imposent au lendemain du premier tour des élections municipales ; d’abord la force de l’abstention ; les Françaises et Français sont de plus en plus nombreux à considérer l’exercice du vote comme vain, dans la mesure où les élus du suffrage universel semblent incapables de porter les projets mis en avant durant les campagnes électorales. De par sa portée nationale, l’abstention prend une dimension nette de désaveu du gouvernement en place, qui va au-delà du caractère local du scrutin.

Ensuite, ce désaveu passif mais dangereux accompagne et amplifie une montée généralisée et spectaculaire du Front national, qui confirme un enracinement dans le tissu local et dans les villes moyennes. Enfin, les candidats du parti au gouvernement enregistrent, au-delà de résultats diversifiés, un mouvement de reflux.

Les accords passés entre partis de gauche et candidats de la droite républicaine seront décisifs pour mettre en avant des configurations républicaines susceptibles de limiter le nombre d’élus FN. La Ligue des droits de l’Homme presse les abstentionnistes du premier tour à prendre cet enjeu en considération et à faire barrage aux candidats d’extrême droite lors du second tour.

Au-delà, elle invite le gouvernement à entendre le message porté par les résultats de ce premier tour et à rompre avec des politiques qui, socialement et économiquement, sont loin de faire vivre le changement, confortent inégalités, injustices sociales et craintes du lendemain. Face à la montée d’une droite extrême – montée qui ira au-delà des municipales -, il est urgent d’afficher avec clarté et courage des priorités de solidarité et de fraternité répondant clairement aux demandes et inquiétudes qui s’expriment dans le pays.

LDH, MRAP, LICRA, SOS Racisme veulent rediaboliser le front national

Quatre associations de lutte contre le racisme, la Ligue des droits de l’Homme, le MRAP, la LICRA et SOS Racisme, lancent une campagne pour « rediaboliser » le front national. C’est à dire pour rappeler ce qu’est fondamentalement le front national : un parti raciste, d’extrême droite, très proche des mouvements fascistes ; et malgré les efforts déployés par ses dirigeants pour faire oublier cette véritable nature, le front national n’a absolument pas changé.

Il s’agit de dix fiches, qui rappellent des incidents récents, qui se sont produits depuis l’opération « ravalement de façade » menée par la fille Le Pen.

Ne pas hésiter à les télécharger et les diffuser !

Ligue des droits de l’Homme : Hénin-Beaumont,dix bonnes d’aller voter dès le 1er tour !

La section de la Ligue des droits de l’Homme vient de publier un argumentaire qui démonte en dix points les positions inacceptables du front national.

La question du front national revient à l’ordre du jour à chaque élection, et on peut finir par être excédés devant les appels au vote anti fn, qui aboutissent in fine a nous demander de faire un choix qui ne nous convient pas. Car enfin, voter Bourdouleix ou voter Le Pen, quelle différence ? voter Vanneste ou voter FN ? On pourrait multiplier les exemples.

Mais il arrive que les situations soient particulières. C’est sans doute le cas à Hénin-Beaumont, que le front national a transformé en symbole. Et il ne faut pas oublier que le scrutin de dimanche est un scrutin local : gagner les élections municipales pour un parti tel que le FN, c’est se donner une chance de s’implanter durablement sur un territoire, et d’y progresser. Les municipales ont servi de tremplin à de nombreux membres de ce parti. Bompart, par exemple, qui a il est vrai changé de casaque, mais qui est bien resté le même, et qui s’est fait un nom grâce à ce scrutin.

L’analyse de la section d’Hénin-Carvin est donc particulièrement intéressante, et même s’il s’agit d’un problème local, son exemple peut être utile dans toutes les communes confrontées au même problème. Et aux autres aussi : ce mal est contagieux !

Appel de la section LDH d’Hénin-Carvin

Élections municipales 2014 à Hénin-Beaumont

La LDH s’invite dans la campagne

 Rien n’est joué. Tout reste possible. Cela dépend de vous !

Oui, les vrais démocrates peuvent encore gagner ! 

La Ligue des droits de l’Homme vous donne

10 bonnes raisons d’aller voter dès le premier tour.

  1. C’est un droit : ne pas l’exercer, c’est laisser les autres décider à votre place. Que pourrez-vous dire demain si vous n’êtes pas d’accord ? Vous aurez laissé faire.
  2. Et s’il n’y avait qu’un seul tour ? Le risque est réel au vu des précédents scores du FN : peut-on prendre ce risque ? L’enjeu est trop grave pour rester sur la touche.
  3. Vous êtes déçus par la politique du Gouvernement. OK, la LDH aussi. On peut comprendre mais, ici, il s’agit d’élire une équipe municipale pour gérer la ville pendant 6 ans et pas de changer de gouvernement et de politique nationale.
  4. Vous ne croyez plus en la politique, « droite-gauche, c’est pareil » et « le FN, on ne l’a pas encore essayé, pourquoi ne pas lui donner sa chance ? », disent certains. Détrompez-vous ! D’autres villes, dans le sud de la France, ont été « à l’avant-garde » et elles ont été, un temps, gérées par le FN et l’extrême droite. Elles en ont fait l’amère expérience !  Même Marine Le Pen n’ose plus les citer en exemple : leur gestion s’est vite révélée catastrophique, sans parler de l’orientation donnée à la vie culturelle ou encore le sort réservé à plusieurs associations (il ne faut pas oublier non plus que le FN est toujours hostile à l’aide apportée à celles qui défendent les droits de l’Homme !).
  5. Croyez-vous vraiment qu’Hénin-Beaumont mérite d’être estampillée « FN » ? Hénin-Beaumont n’est pas une cité extrémiste comme le prouvent ses traditions ouvrières, syndicales et associatives. Jusqu’alors, même si le FN a progressé, il est resté minoritaire en nombre de voix, ramené au nombre d’électeurs inscrits. Mais, cette fois, l’abstention pourrait bien le faire gagner.
  6. Vous en avez assez de la division entre les partis démocratiques (et parfois même en interne) : vous pouvez l’exprimer, lors de ce premier tour, en allant voter, conscients de la nécessité de tout faire pour qu’au second tour les conditions permettant de battre le FN puissent être réunies. Tout se joue dès le premier tour !
  7. « Le FN n’est pas si dangereux, après tout », pensent certains. Quelle imprudence ! Attention, il a lissé son image mais c’est pour mieux séduire les hésitants et les déçus : il met en avant des personnes « simples » mais sa doctrine inégalitaire reste inchangée sur le fond : le FN ne se prononce jamais sur les inégalités qui frappent les femmes, il dénigre les associations comme le planning familial accusé d’inciter les femmes à avorter. Le FN s’est positionné contre le mouvement social pour la défense des retraites, il dénonce les organisations syndicales et remet en cause le droit de grève…
  8. Laïque, le FN ? Il conserve des liens très étroits avec les milieux catholiques les plus intégristes. Dresser les citoyens les uns contre les autres, en instaurant la préférence nationale, c’est tourner le dos à la vraie laïcité qui garantit le « vivre ensemble », c’est en opposition totale avec la devise républicaine « Liberté, Égalité, Fraternité ».
  9. Le FN aurait-il honte de l’origine du parti, de son histoire, des propos tenus par Jean-Marie Le Pen, par exemple à propos des camps d’extermination, de la collaboration de l’extrême droite avec l’occupant nazi ? Pour avancer, ce parti est contraint de ruser mais, derrière les sourires de façade, il conserve des liens avec certains groupes encore plus radicaux, voire néonazis. Un certain nombre de mesures qu’il préconise au niveau national ne sont d’ailleurs pas réalisables car contraires aux droits de l’Homme et aux conventions internationales.
  10. Ne vous laissez pas influencer par toutes les rumeurs infondées, les mensonges, les calomnies, les attaques personnelles et les ragots qui circulent, notamment sur le Net. Vous avez une boussole infaillible : les droits de l’Homme ! Ne perdons pas de vue que la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen figure dans le Préambule de la Constitution de la République Française. Son respect est donc une obligation !

Les Héninois et les Beaumontois ont besoin pour les six années à venir qu’on puisse leur garantir le calme, la stabilité dans leur quotidien et, enfin, une bonne image à l’extérieur, une image qui ne peut que jouer favorablement pour la prospérité économique de la ville et donc pour garantir de meilleures conditions de vie.

La qualité d’une équipe municipale ne se mesure pas au nombre de sourires distribués tous azimuts, au nombre de pots partagés, aux promesses électoralistes, elle se mesure aux compétences des candidats et à la rigueur qui les caractérise.

La Ligue des droits de l’Homme, quant à elle, n’a jamais varié : elle combat l’extrême-droite sous toutes ses formes, aujourd’hui comme hier, à Hénin-Beaumont, dans le département, dans la région, comme partout en France. Elle s’est toujours engagée pour le rassemblement des forces démocratiques qui sont prêtes à œuvrer pour la défense des droits de l’Homme et du Citoyen. Elle dit « Non à la haine de l’Autre » !

 Les sept exigences de la LDH  dans sa campagne nationale :

Ma ville, ma vie, je la veux…

fraternelle, solidaire,  juste,  libre,  accueillante, ouverte, démocratique

 Votez le 23 mars

pour barrer la route au FN !

 

 

La LDH, la Licra, le MRAP, SOS Racisme reçus par le président de la République

Reçus à leur demande par le président de la République, la Ligue des droits de l’Homme (LDH), la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA), SOS racisme et le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP) ont publié un communiqué commun. Tout en soulignant le caractère exceptionnel de cette rencontre (la première) et l’attention qu’a portée le président aux problèmes soulevés, ils confirment la nécessité d’une vigilance de tous les instants contre les dangers que représente la haine raciste, et pour la réalisation des promesses, telles que le récépissé de contrôle d’identité ou le droit de vote des étrangers extra-communautaires aux élections locales.

Ci-dessous, le communiqué.

Après la rencontre avec le président de la République, LDH, Licra, Mrap et SOS Racisme entendent poursuivre leurs efforts communs

La Ligue des droits de l’Homme, la Licra, le Mrap et SOS Racisme ont été reçues ensemble, vendredi 14 mars, par le président de la République ; les associations, qui partagent les valeurs universelles de lutte contre le racisme et l’antisémitisme, se félicitent de cette rencontre de travail, une première dans l’histoire de la République. Elles ont d’emblée souligné la dégradation du contexte politique qui a vu se déchaîner une parole de haine dans le débat et l’espace public, et pointé le risque de voir cette parole légitimée par des forces politiques engagées contre les valeurs d’égalité, de liberté et de fraternité.

Exprimant leur volonté de mettre en place des éléments de contre-offensive, elles ont déploré l’absence d’une parole d’Etat ferme, condamnant, au juste niveau, le caractère toxique de cette libération, l’absence d’un grand débat sur la place des étrangers et le déficit, au sein de l’appareil d’Etat, d’une représentation disposant à la fois d’une forte légitimité et de moyens suffisants.

Elles ont abordé la question du statut des étrangers, du sentiment de deux poids deux mesures qui s’enracine dans le pays, des discriminations dont les Roms sont la cible, et déploré l’état du dossier du droit de vote des résidents non européens et le fait que le récépissé de contrôle d’identité n’ait pas fait l’objet d’expérimentations. Elles ont également souligné l’importance de revivifier la Semaine d’éducation contre le racisme.

A l’écoute sur l’ensemble de ces sujets, le président de la République en a reconnu l’importance et n’a fermé aucune porte.

Les quatre associations entendent poursuivre leurs efforts communs face à la montée de la haine raciste, antisémite et xénophobe, face aux préjugés sexistes et homophobes. Elles entendent faire preuve de vigilance et de mobilisation durant les campagnes électorales des municipales et des européennes, et construire une dynamique de débat public qui fasse obstacle aux semeurs de haine et réhabilite la promesse républicaine de liberté, d’égalité et de fraternité.

 

Prison ferme et lourdes amendes requises contre Le Lay, de breizh atao

Le marchand de galettes est encore victime du complot judéo-maçonnique, auquel se sont sans nul doute joints les socialo-communistes, les gauchistes, les anarchistes, les artistes, on doit certainement en oublier, il nous pardonnera.

Le fuyard de l’Île du Soleil levant comparaissait donc en appel, ce mardi 4 février à Rennes. « Comparaissait » n’est pas le verbe qui convient puisque, comme d’habitude, il était absent. On se perd un peu dans ce marathon judiciaire : il s’agissait évidement une nouvelle fois de racisme, le fonds de commerce de l’individu, en l’occurrence contre la conseillère générale de Brest, dont l’origine africaine insupporte M. Le Lay. Le réquisitoire a une nouvelle fois été sévère, puisque le procureur a demandé une peine de prison ferme. Cela donnerait à Le Lay de se consacrer à la lecture, ce qui lui ferait sans nul doute le plus grand bien. On pourrait lui conseiller des livres d’histoire contemporaine, par exemple. Mais est-ce bien utile…

A la suite d’une précédente comparution au cours de laquelle le procureur avait également requis de la prison ferme, Le Lay appelait une telle condamnation de ses vœux, étant persuadé qu’elle l’élèverait au rang de martyre. Curieusement, cette fois-ci il fait plutôt profil bas, sa préoccupation principale étant de lever des fonds pour aller en cassation : c’est que ça lui coûte des sous, ces plaisanteries ! Et il en appelle à un lelaython, au nom de la liberté d’expression que sa condamnation mettrait en péril ! Il pourrait peut-être en parler à Dieudonné ?

 

Les fachos vont prendre l’air dimanche à Paris

Les fachos vont prendre l’air dimanche à Paris. « Jour de colère » : après la « manif pour tous », les « veilleurs », et autres clubs de nostalgiques de Vichy se sont regroupés sous le label « jour de colère ». Et que demandent-ils ? rien moins que ça :

Les signataires apporteront leur concours à Jour de Colère, le 26 janvier 2014.

Il s’agira pour le peuple de prendre conscience d’une convergence des luttes et, par-là, de son unité.

• Oui à la souveraineté d’un peuple européen, de culture gréco-latine et de valeurs chrétiennes, issu d’une histoire et d’une civilisation vieille de 2500 ans.
• Oui à la liberté, économique, sociale, morale et politique, qui en fut le fondement.
• Oui au droit de vivre dans la dignité dans l’espace public.

Au moins, c’est clair !

Et qui trouve-t-on là-dedans ? Pas difficile à trouver, ils se désignent eux-mêmes :

  • Les Bonnets Blancs
  • Bonnets Gris
  • Les Bonnets Rouges
  • Les Bonnets Rouges 69
  • Les Bonnets Rouges Frontaliers
  • Les Bonnets Rouges Nantais
  • Camping Pour Tous
  • Le Cercles des Volontaires
  • Citrons facilement exploitables
  • Civitas
  • Collectif des Avocats Libres
  • Collectif en colère contre l’éolien industriel
  • Collectif Famille Mariage
  • Collectif Justice
  • Collectif Pour l’Enfant
  • Contribuables en Révolte
  • Les Enfants des Terreaux
  • F.E.C HOLLANDE!
  • Foutez-leur la Paix
  • France Audace
  • La France à l’Unisson
  • La Gauche m’a Tuer
  • Les Gavroches
  • Génération patriote
  • Génération résistante
  • Groupe du 21 novembre
    • Comité de Lépante
    • Parti de l’In-Nocence
    • NON à la substitution de population
    • Reconquête républicaine
    • Free World Academy
    • France Libre
  • Hollande Dégage
  • Hollande m’a tué
  • Journée de Retrait de l’École – JRE
  • Liberté et Sécurité des Frontaliers
  • La Ligue Francilienne
  • Mouvement pour la Liberté de la Protection Sociale
  • Move Human
  • Nationalité-Citoyenneté-Identité
  • Nationaux Syndicalistes Pour l’Action
  • Au nom du peuple
  • Observatoire du mensonge
  • Papas en Colère
  • Les Paysans, c’est l’Avenir
  • Peuple Français, Réveille-toi
  • Prisonnier politique
  • Rassemblement des Contribuables Français
  • Reconquête
  • Reconquête républicaine
  • Le Réseau-Identités
  • Révolution Bleue
  • La révolte fiscale c’est maintenant
  • Solidarité Pour Tous
  • Soutien Breton
  • Stop-Hollande
  • Tous Ensemble Contre l’Ecotaxe
  • Les Vaches à lait

Pas moins de 52 mouvements aussi sympathiques les uns que les autres.

Tiens ! les bonnets rouges ! Ils ont pourtant démenti leur participation, notamment dans un communiqué publié par le quotidien Ouest-France : « Les Bonnets Rouges (…) rappellent qu’ils ne s’associent pas à la manifestation du 26 janvier prochain à Paris, contrairement à certains dires sur les réseaux sociaux », indique le communiqué du collectif breton. Et ils précisent : Cette manifestation « ne correspond ni aux objectifs ni aux valeurs des Bonnets rouges tels qu’ils sont exposés dans la charte des Bonnets rouges » (source Ouest-France). À moins qu’il y a des fissures dans ce mouvement, puisqu’on trouve ici les bonnets rouges 69, les bonnets rouges frontaliers et les bonnets rouges nantais. Il y a bien dû avoir à un moment ou à un autre des gens de ce mouvement à accepter de figurer dans cette liste.

Il sera intéressant de voir si la petite vingtaine de « députés » qui ont signé l’amendement demandant la suppression du remboursement de l’IVG par la sécurité sociale participeront à cette sauterie.

Tiens, ils ont oublié d’inviter breizatao !… pas sympa, ça !

 

Vidéo : journée d’hommage à V. et I. Basch, la table ronde

De gauche à droite, Emmanuel Naquet, Edmond Hervé, Gilles Manceron, Pierre Tartakowsky, Pascal Ory, et Françoise Basch.

Dernier volet de cette journée d’hommage à Victor et Ilona Basch, organisé au lycée de Rennes qui porte leur nom, une table ronde, intitulée « Victor Basch, modèle pour un engagement d’aujourd’hui ? »

Ont participé à cette table ronde, Emmanuel Naquet, historien, Edmond Hervé, sénateur et maire honoraire de Rennes, Gilles Manceron, historien, Pierre Tartakowsky, président de la Ligue des droits de l’Homme, Pascal Ory, historien, et Françoise Basch, petite fille du couple Victor et Ilona Basch.

httpv://youtu.be/KpmG-_gmu9U

Vidéo : des lycéens de Victor et Ilona Basch lisent des textes de Victor Basch

Cécile, Rafaël et Marie ont lu un texte de Basch intitulé "Au ban, les bourreaux".

La journée d’hommage à Victor et Ilona Basch a été ponctuée par des lectures de textes écrit par Victor Basch, par des lycéens du lycée Basch. Des textes très intéressants, et lu avec passion par ces jeunes gens, qui ont largement contribué au succès de cette journée. Qu’ils en soient remerciés !

httpv://youtu.be/h45u-i3Z1J4