Mercredi 6 décembre, 14 h 00, Espace Argence à Troyes
Entrée gratuite, sur réservation.
Rachi et la Laïcité :
une Rencontre éclairante
L’univers de Rachi se fond avec les débats actuels sur la laïcité. Le 6 décembre prochain, nous vous invitons à une conférence unique, conçue spécialement pour les enseignants et les étudiants.
Cet événement vise à fournir des clés de compréhension pour dénouer les complexités de la laïcité.
Plongeons ensemble dans cette exploration pour saisir les nuances et renforcer notre compréhension mutuelle.
Naviguer dans le Labyrinthe de la Laïcité
La laïcité, bien qu’ancrée dans notre constitution depuis 1946, reste un sujet de débat animé. Son absence de définition précise engendre souvent des malentendus. Les tribunaux, notamment le Conseil d’État, se retrouvent à interpréter ses contours. Ce flou est exacerbé par les interventions variées des figures politiques, rendant le terme «laïcité» presque élastique. C’est dans ce contexte que notre conférence aspire à éclairer les zones d’ombre et à apporter une perspective rafraîchissante.
La Méthode Jules Ferry : ancrage historique et modernité
Puisant inspiration de la lettre historique de Jules Ferry aux instituteurs en 1883, nous croyons en l’importance de l’approche concrète pour appréhender la morale civique. La conférence du 6 décembre, non seulement s’inscrit dans cette continuité, mais se positionne également comme un prélude à la journée nationale de la laïcité du 9 décembre. Enregistrée à Troyes, elle sera mise à disposition pour tous, renforçant ainsi les valeurs républicaines et européennes, dont la protection contre les discriminations, valeur centrale du Conseil de l’Europe.
Jeudi 7 décembre, 20 h 30, à La Grange, Espace Gérard-Philipe à Saint-André-les-Vergers.
10 euros. Réservations au 06 22 65 57 78.
» Point de Fuite « et » La Compagnie de la Violence Artistique «
présentent :
» Par-delà un monde immonde « de Fares Alzahby.
Interprétation : Alain Dommanget.
Réalisation : Ibraheem Ramadan, Fares Alzahby.
» Les jours ont passé, les jours et les mois, de longs mois. De longues années.
Je me sentais si seul, je sortais de la maison pour marcher, j’ai arpenté toutes les rues de Damas une à une, comme un saint qui fait son pèlerinage. J’avais l’impression d’être le seul à comprendre cette ville. Les autres étaient tous les mêmes : ils naissaient, étudiaient, travaillaient, se mariaient, faisaient des enfants, dépensaient leur argent, tombaient malades et mouraient.
Mais moi, j’étais différent ; je ne voulais ni me marier, ni avoir des enfants, ni mourir, je ne voulais rien. «