« Au Mali, à la suite du coup d’État du mois de mai – le deuxième en dix mois – les activités extrémistes violentes et les graves violations et atteintes aux droits humains se poursuivent sans relâche », a dénoncé à Genève, la Haut-Commissaire aux droits de l’homme, Michelle Bachelet. Ces abus s’étendent désormais à des « zones auparavant épargnées dans le sud du pays », a-t-elle ajouté, à l’ouverture de la 48ème session du Conseil des droits de l’homme.
Et s’agissant de la situation en Guinée, la Haut-Commissaire a déploré le fait « qu’une nouvelle transition non démocratique du pouvoir ait été infligée au peuple de ce pays ».