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Un camp de prisonniers jihadistes à Roj, en Syrie. (ERIC AUDRA / DPA)
Le retour dans l’Hexagone de 40 enfants et 15 femmes depuis la Syrie ce jeudi 20 octobre est le signe « d’un changement de politique » de la France sur la question des rapatriements des familles de jihadistes, estime sur franceinfo l’avocate Marie Dosé, représentante du Collectif Familles Unies.
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Manifestation de Sénégalais à Agadez, au Niger, pour dénoncer les conditions d’attente des retours volontaires, organisés par l’OIM. Septembre 2022. Crédits : Infomigrants
Excédés d’attendre, au Niger, la mise en œuvre de leurs retours volontaires par l’Organisation internationale des migrations (OIM), une centaine de Sénégalais ont lancé une marche de protestation le 19 septembre. Dans la foulée, l’OIM a pu organiser un rapatriement de la majorité d’entre eux. Mais d’autres restent toujours coincés dans ce pays de transit. Et ce, parfois, sans possibilité d’accéder aux centres pourtant prévus à cet effet, comme en témoigne l’un d’eux interrogé par Infomigrants.
Une femme portant un enfant passe devant des tentes dans le camp de prisonniers jihadistes d’Al-Hol, situé dans le nord-est de la Syrie, le 11 mai 2021. (DELIL SOULEIMAN / AFP)
La procédure qui encadre le retour de ces ressortissants qui vivaient jusqu’ici dans des camps de prisonniers jihadistes est désormais rodée et commence dès la descente de l’avion.