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Le droit de disposer de son corps
» N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question » Simone de Beauvoir
Avortement aux USA, nous ne voulons pas perdre des droits, nous voulons en gagner !
Suite à la décision de la Cour suprême des Etats-Unis sur l’avortement :
le « Collectif avortement en Europe, les femmes décident » dénonce une atteinte historique aux droits des femmes !
la Ligue des Droits de l’Homme de l’AIN appelle ses adhérents et sympathisants à se joindre aux femmes et aux hommes qui dénoncent solidairement cette ignonimie Jeudi 30 Juin à 18 heures devant la Préfecture de l’Ain à Bourg en Bresse.
Manifestation à l’initiative du NPA et d’ATTAC voir les communiqués ci après
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1° Communiqué commun dont la LDH est signataire
Cette décision était certes attendue, elle n’en est pas moins terrible : la Cour suprême vient de revenir sur l’arrêt historique Roe vs Wade qui reconnaissait depuis près d’un demi-siècle le droit à l’avortement sur tout le territoire des Etats-Unis. Le droit des femmes à disposer de leurs corps est encore et toujours menacé !
Cette décision va permettre à de nombreux Etats d’interdire l’avortement sur leur territoire. Treize d’entre eux sont en mesure de le faire dès à présent avec effet immédiat tandis que d’autres pourraient légiférer en vue de restrictions. La moitié des Etats disent vouloir interdire l’IVG.
Cette considérable attaque contre les droits des femmes a été prise par une juridiction composée d’une majorité conservatrice et masculine. Elle aura, c’est évident, des répercussions néfastes au niveau international. A l’heure où grâce à la mobilisation des féministes des pays tels que l’Irlande, l’Argentine, la Colombie, obtiennent le droit à l’avortement, le risque est grand de voir cette impulsion s’inverser. Nous assistons déjà à de nombreuses restrictions contre les droits des femmes en Pologne, Hongrie, Slovaquie. Les femmes ukrainiennes, réfugiées en Pologne, se voient interdire le droit à l’avortement alors que celui-ci est légal dans leur pays !
En France, la montée de l’extrême droite et la présence de 89 député-e-s Rassemblement national à l’Assemblée nationale sont aussi une menace pour nos droits ! Les opposant-e-s à l’avortement n’ont jamais lâché prise en France !
Nous soutenons la demande de constitutionnalisation de l’avortement.
Nous dénonçons cette décision patriarcale inacceptable et appelons à une mobilisation nationale le samedi 2 juillet ! Plus que jamais, restons vigilantes pour que nos acquis ne soient pas détruits !
Le « Collectif avortement en Europe, les femmes décident » est composé d’associations féministes, de syndicats et de partis politiques.
Les éléments actifs en sont : Association nationale des CIVG, Association nationale des sages-femmes orthogénistes, Collectif national pour les droits des femmes, Coordination des associations pour le droit à l’avortement et la contraception, Femmes solidaires, Maison des femmes de Paris, Marche mondiale des femmes, Osez le féminisme, Planning familial, Fédération syndicale unitaire, Union syndicale Solidaires, Nouveau parti anticapitaliste.NPA
Paris, le 27 juin 2022
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2° Communiqué du NPA et d’ATTAC
Le monde entier sous le choc
Les États-Unis ont supprimé le droit constitutionnel à l’IVG (Interruption Volontaire de Grossesse). Laissant ainsi toute liberté à chaque État d’établir sa propre politique en matière d’ avortement. Dans les heures qui ont suivi cette ignominie, certains d’entre eux l’ont déjà purement et simplement interdit. Dans le Minnesota, l’IVG sera également interdite en cas de viol. Une occasion supplémentaire, s’il en fallait une, de se rappeler que les droits des femmes sont infiniment fragiles. Chacune de leurs et nos victoires peut être remise en question, en particulier en cas de crise, dans une société patriarcale qui fait des corps des femmes des objets à contrôler. La seule garantie est la lutte permanente. Depuis l’annonce, des milliers de femmes ont manifesté aux États Unis, ailleurs des rassemblements de solidarité ont eu lieu. Ce qui se passe aux États-Unis ressemble dramatiquement à ce qui se passe
ailleurs et notre réponse doit toujours être celle de la solidarité féministe internationale. Nous appelons à un rassemblement Jeudi 30 Juin à 18 heures devant la Préfecture de l’Ain à Bourg en Bresse.
Une occasion supplémentaire, s’il en fallait une, de se rappeler que les droits des femmes sont infiniment fragiles. Chacune de leurs et nos victoires peut être remise en question, en particulier en cas de crise, dans une société patriarcale qui fait des corps des femmes des objets à contrôler. La seule garantie est la lutte permanente. Initiative locale du NPA rejointe et soutenue par de nombreuses organisations associatives, politiques et syndicales. Déclaration faite en préfecture
En Palestine occupée, la colonisation s’intensifie.
Communiqué de l’AFPS 01
En Palestine occupée, la colonisation s’intensifie.
Actuellement 280 colonies israéliennes sont installées en Cisjordanie, Jérusalem- Est comprise, abritant plus de 660 000 colons contre 3,5 millions de Palestiniens. Destructions d’habitations, dépossessions de terres, homicides, transferts forcés, restrictions draconiennes des déplacements…
la colonisation est un crime de guerre responsable de multiples violations des droits humains.
L’objectif de l’initiative citoyenne européenne #StopSettlements est d’interdire le commerce des produits des colonies illégales sur le marché européen. Il s’agit de mettre en accord la politique commerciale européenne avec le droit international et les droits fondamentaux, en faisant respecter l’interdiction de la colonisation, en Palestine, au Sahara occidental et partout dans le monde.
Une initiative citoyenne européenne est une pétition devant réunir en un an les signatures d’un million de citoyen.ne.s européen.ne.s venant d’au moins sept États membres de l’UE. Une fois les signatures réunies, la Commission européenne est contrainte d’examiner la demande des citoyennes et citoyens européens.
En commercialisant les produits des colonies israéliennes, l’Union européenne se rend complice de la colonisation. Les citoyen.ne.s européen.ne.s vont changer cela, une fois pour toutes !
Vous avez le pouvoir de METTRE FIN AU COMMERCE EUROPEEN AVEC LES COLONIES ISRAELIENNES EN PALESTINE
Signez l’initiative citoyenne européenne #StopSettlements
“Des libertés d’association et d’opinion à défendre plus que jamais”
Tribune de Malik Salemkour, président de la LDH
Par deux décisions du 29 avril, le Conseil d’Etat vient de sanctionner très clairement la stratégie de censure politique du gouvernement sortant, en suspendant l’exécution des décrets de dissolution pris en Conseil des ministres en mars dernier contre deux associations pro-palestiniennes.
La justice est venue rappeler que ces mesures portaient « une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté d’association et à la liberté d’expression ».
Encore plus dans le contexte de campagne électorale,
le ministre de l’Intérieur a multiplié l’usage de cette procédure exceptionnelle pour tenter d’imposer des points de vue idéologiques et faire taire des opinions contraires à sa vision partisane.
Ainsi, toute contestation radicale de la politique d’Israël et du sionisme ou action systématique contre l’islamophobie seraient pour lui par nature coupables ou complices de provocation à des actes terroristes, à la discrimination, à la haine, à la violence ou d’antisémitisme.
Le Conseil d’Etat met un coup d’arrêt salutaire à ces amalgames infondés en écartant de l’espace judiciaire ce qui relève du libre débat et des controverses politiques.
La LDH, comme tous les défenseurs de l’Etat de droit, dénonce régulièrement le principe de ces dissolutions administratives qui donnent à l’exécutif un pouvoir exorbitant de vie ou de mort sur des associations, sans réelle procédure contradictoire ni respect du droit de la défense. Les abus constatés confirment l’urgence à y mettre fin. Si des propos ou des actes illégaux sont reprochés à une organisation, la justice doit être saisie et trancher sur la base de faits probants et non sur la seule appréciation partiale de l’accusation.
L’élection présidentielle s’achève sur une forte division de la
société française avec une profonde aspiration à refonder notre
démocratie. Sortir des idéologies de la peur, du mépris d’une
partie de la population en raison de ses lieux de vie, de son
origine ou sa religion devient impérieux pour la paix sociale
et l’unité nationale. Pour aider à y répondre, de nouveaux espaces de délibération collective apaisée, sur tous les territoires, associant tous les citoyennes et les citoyens dans la diversité de leurs points de vue sur tous les sujets qui les concernent sont à déployer. Les associations ont une place centrale dans ce dialogue civil à reconstruire. Elles sont par essence des lieux de rassemblement citoyen autour de projets communs utiles à l’intérêt général. La puissance publique, et en premier lieu l’Etat, ne peut continuer de se priver de ces paroles plurielles expertes. Le futur gouvernement et la future majorité qui sortiront des urnes à l’issue des prochaines législatives doivent rompre avec la défiance marquée sous le précédent quinquennat, traduite particulièrement avec la loi « séparatisme » d’août 2021 et le contrat d’engagement républicain (CER), imposé à toutes les associations sollicitant un soutien public. Les oppositions aux mesures de contrôle généralisées prévues et les alertes sur les risques d’arbitraire et de stigmatisation, notamment des personnes musulmanes, viennent de toute part. Au-delà des associations elles-mêmes et des défenseurs des droits, elles viennent aussi des entreprises liées à la commande publique ou des collectivités territoriales qui doivent mettre en œuvre le CER, alors que bien d’autres moyens sont disponibles pour agir efficacement contre les pratiques illégales. Ces appels au retour d’une confiance partagée doivent enfin être entendus.
Cette loi et le CER sont à abroger.
Comme avec les dissolutions administratives, le gouvernement sort de son rôle lorsqu’il décrète une façon de penser et d’agir.
La démocratie a besoin de libres débats. La liberté d’association et la liberté d’opinion sont à défendre plus que jamais.
Malik Salemkour, président de la LDH
“Une France à ressouder”
Tribune de Malik Salemkour, président de la LDH du 02.05.2022
Les résultats de l’élection présidentielle de 2022 laissent un goût amer de lourdes insatisfactions et inquiétudes sur l’état de notre société, de notre démocratie et de nos institutions. Des leçons sont à tirer de l’issue d’une confuse campagne tronquée et d’un scrutin final marqué par des votes de rejet.
Une extrême droite dangereusement banalisée
Pour la troisième fois sur les cinq élections présidentielles tenues depuis 2002, l’extrême droite a été placée au second tour. Certes Marine Le Pen n’a pas été élue. Mais, avec 13,3 millions de voix soit 2,6 millions de plus qu’en 2017, et 41,5 % des suffrages exprimés contre 33,9 % cinq ans auparavant, ces scores inédits en forte hausse sont une nouvelle alerte démocratique très sérieuse. L’évènement d’une extrême droite aux portes du pouvoir en France, qui inquiète tous les commentateurs internationaux, n’a pas suscité de réactions unitaires massives dans les rues malgré des tentatives, ni de mobilisation claire dans les urnes. Cette situation apparaît banale, voire normale, même pour une part de ses naturels opposants.
Elle prospère sur l’image adoucie faussement sociale de la candidate
d’extrême droite jouant à contre-pied de la liberté, de l’égalité, de
l’autoritarisme, dans une posture d’illusionniste et en maquillage d’un
projet fasciste et xénophobe radicalement contraire aux valeurs de notre République.
Depuis des années, ses idées se diffusent et s’imposent dans le débat public, sans être contrecarrées. Au contraire, ses boucs émissaires et thèmes de prédilection sont légitimés par des forces politiques à la remorque et par le vote démagogique de multiples lois opportunistes. Des électrices et des électeurs n’hésitent plus à utiliser ces bulletins sulfureux porteurs de risques qu’ils minimisent ou mettent sciemment de côté pour exprimer leurs colères, leur sentiment d’injustice et d’abandon social ou territorial, comme leur impatience à voir traiter leurs conditions de vie difficiles. Le vote de rejet d’Emmanuel Macron par un électorat des campagnes, de l’outre-mer, d’ouvriers et employés, de personnes précaires ou démunies signe la sanction d’un dirigeant jugé méprisant et de politiques ultralibérales ne répondant toujours pas à leurs préoccupations.
Une abstention expressive
L’abstention de 12,8 millions de personnes au premier tour (26,3 %) témoignait moins d’un désintérêt de la chose publique, qui au contraire reste fort, que d’une défiance sur l’offre politique proposée, tant à droite du fait d’une ligne politique hésitante, qu’à gauche dans une désunion préjudiciable. Le scrutin arrivait à l’issue d’une campagne tronquée par la crise sanitaire et d’un Président sortant dans l’esquive, se déclarant tardivement, bloquant tout débat sur son projet, puis placé en chef de guerre par l’invasion en Ukraine. Ce refus de vote s’est accru au deuxième tour (13,6 millions soit 28 %,) à un niveau jamais vu à ce type d’élection depuis 1969, où la gauche avait aussi été écartée. Cette abstention, avec de surcroît 3 millions de bulletins blancs ou nuls, exprime le rejet des deux candidatures finales, renvoyées dos-à-dos et considérées comme de même nature, confirmant la banalisation préoccupante de l’extrême droite.
Un Président réélu aux lourdes responsabilités
Emmanuel Macron est réélu sans gloire à 58,5 % des suffrages exprimés, en forte baisse par rapport à 2017 (66,1 %), à nouveau sans adhésion majoritaire à son projet, avec près de la moitié des suffrages obtenus motivés par un rejet républicain de l’extrême droite. Sa responsabilité est lourde dans ces résultats, en échec flagrant de sa promesse de l’époque de la faire reculer et de gouverner autrement, à l’écoute et dans le respect des Françaises et des Français. Hélas, les alertes et attentes sociales ou environnementales
sont restées sans réponses structurelles à la mesure des enjeux, ouvrant de nombreux conflits sociaux sévèrement réprimés face à des réformes injustes imposées ou des services publics exsangues. L’absence de suites au « grand débat national » organisé après la crise des « gilets jaunes » ou la dénaturation du travail de qualité de la Convention citoyenne pour
le climat ont discrédité la parole présidentielle et, avec elle, celle de l’Etat. Il se doit aussi de corriger rapidement les séquelles d’un premier quinquennat marqué par la violence et l’autoritarisme avec une succession de lois liberticides, d’états d’urgence sécuritaire puis sanitaire qui ont profondément déstabilisé l’Etat de droit, affaibli la place du Parlement, des élus locaux, de la justice et des contre-pouvoirs, du dialogue social et civil, qui auront tous été régulièrement méprisés.
Face aux divisions, une démocratie à refonder
L’exercice du pouvoir ne peut se poursuivre sans risque, dans le présidentialisme exacerbé vécu jusqu’ici. Au-delà de la pratique, un débat est à ouvrir pour réviser nos institutions dans le sens d’une revalorisation de la délibération publique, d’une plus grande participation citoyenne et du rapprochement des instances de décision au plus près des sujets à traiter. Au terme de cette élection, la France est divisée et déboussolée mais son appel à l’idéal républicain est entier. A la veille de législatives incertaines qui devront aboutir à une majorité parlementaire pour gouverner et répondre à ce large désarroi populaire, le combat contre les idées d’extrême droite, particulièrement du Rassemblement national et du parti Reconquête ! d’Eric Zemmour, est à reprendre de manière fédératrice face aux dangers fondamentaux qu’ils portent en dévoilant leur visage de haine et leur programme asocial et d’inégalités.
Ce chantier auquel la LDH participera activement est à mener sur le terrain du débat politique, des faits et rappels historiques, de l’éducation populaire, en redonnant leur sens aux valeurs de la République qu’ils détournent comme devant la justice pour faire condamner chaque propos ou acte illégal, incitant à la haine, au racisme, à la discrimination ou à la violence. C’est une condition nécessaire mais insuffisante si ne sont pas mis en débat en même temps les enjeux sociaux et environnementaux pour construire des réponses durables aux préoccupations quotidiennes de toutes et tous, avec la réaffirmation de la force de l’égalité des droits et des libertés individuelles et collectives.
Elles aideront à guider les choix à faire pour les prochaines législatives de juin prochain. Dans tous les cas, le dialogue social avec les syndicats devra retrouver sa vigueur pour des négociations sérieuses qui tiennent compte des revendications du monde du travail. Le dialogue civil avec les associations sera à revaloriser à tous les niveaux, en écoute de leurs propositions déjà prêtes issues de leur expertise et expérience au service de l’intérêt général. Après le coup de semonce de la présidentielle, les responsables politiques doivent changer et porter une démocratie refondée qui s’appuie sur toutes ses citoyennes et citoyens, à réunir dans la construction d’un avenir apaisé de justice et d’égalité.
Malik Salemkour, président de la LDH
Une démocratie fragile à refonder d’urgence
Communiqué LDH 25.04.2022
Les urnes ont tranché et Marine Le Pen est battue.
Si la Ligue des droits de l’Homme (LDH) salue cette conclusion, les résultats laissent un goût amer et delourdes inquiétudes sur notre démocratie.
L’abstention à cette élection présidentielle atteint un niveau le plus élevé depuis 1969 et plus de 3 millions de bulletins sont blancs ou nuls ; le président réélu l’est sans adhésion à son programme mais largement en rejet de la menace de l’extrême droite qui atteint elle un score inégalé, lourd de sens et de menaces.
Autant de signes négatifs qui imposent d’agir d’urgence pour refonder notre démocratie et nos institutions. Il s’agit aussi de répondre aux aspirations sociales, environnementales, d’égalité, de justice et de participation effective laissées sans perspective.
Une majorité parlementaire est encore à constituer dans un paysage politique éclaté qui oblige à travailler les conditions d’un rassemblement positif face à l’extrême droite et à ses idées, comme aux logiques ultralibérales qui les entretiennent et contre lesquelles il sera nécessaire de se mobiliser encore.
La LDH participera activement à ces combats et portera, comme elle l’a fait durant le précédent quinquennat, ses mêmes exigences de réponses démocratiques, de lutte contre les injustices et les inégalités.
Paris, le 25 avril 2022
Télécharger le communiqué “Une démocratie fragile à refonder d’urgence” en format PDF
« La peine de mort est la forme la plus exécrable d’assassinat, parce qu’elle est investie de l’approbation de la société », George Bernard Shaw
Lu Ahn Artis, étudiante ; Amnesty International France ; Ariane Ascaride, comédienne ; Marie Bardiaux-Vaïente, militante abolitionniste ; Julien Bayou, secrétaire national d’EELV ; Emmanuelle Béart, comédienne ; Marie Bellosta, éditrice ; Yamina Benguigui, réalisatrice ; Andréa Bescond, réalisatrice ; Simon Blin, chargé d’affaires publiques ; Isabelle Carré, comédienne ; Leïla Chaibi, députée européenne ; Raphaël Chenuil-Hazan, directeur général d’ECPM (Ensemble contre la peine de mort) ; Rokhaya Diallo, réalisatrice ; Lamia El Aaraje, conseillère de Paris ; Pascal Elbé, acteur ; Olivier Faure, premier secrétaire du PS ; Luc Ferry, philosophe, ex-ministre de l’Éducation nationale ; Bernadette Forhan, présidente d’ACAT-France ; Sabrina Ganeswaran, élue municipale ; Geneviève Garrigos, conseillère de Paris, ancienne présidente d’Amnesty International France ; Jean-Pierre Gillet, conseiller de Paris ; Jérôme Gleize, conseiller de Paris ; Marie-Pierre de la Gontrie, sénatrice ; Marc Gricourt, maire de Blois ; Sylvie Guillaume, députée européenne ; Jacky Hortaut, co-animateur du collectif Libérons Mumia ; Alexandra Lamy, comédienne ; Colin Mercier, lycéen ; Pierre Larrouturou, député européen ; Nadia Meziane, militante Lignes de crêtes ; Tania de Montaigne, écrivaine ; Aminata Niakate, conseillère de Paris et présidente d’ECPM (Ensemble contre la peine de mort) ; Nicolas Perron, directeur des programmes d’ECPM (Ensemble contre la peine de mort) ; Nicolas Poincaré, journaliste ; Philippe Poutou, ouvrier, conseiller municipal Bordeaux, NPA ; Audrey Pulvar, adjointe à la Mairie de Paris ; Jean Reno, acteur ; Muriel Robin, comédienne ; Fabien Roussel, député, PCF ; Malik Salemkour, président LDH (Ligue des droits de l’Homme France) ; Christiane Taubira, ancienne Garde des Sceaux ; Pierre Thomas, ex-coordinateur régional Occitanie pour la Primaire populaire ; Assa Traoré, La Vérité pour Adama ; Boris Vallaud, député ; Sabrina Van Tassel, journaliste et réalisatrice ; Laure Weil, professeure de lycée ; Roschdy Zem, comédien…
► Liste complète des signataires sur le site d’ECPM-Ensemble contre la peine de mort, ici.
Ne rien céder, pour la justice climatique et contre l’extrême droite”
Tribune collective signée par la LDH
Chaos climatique
Pas dupes
» Du mépris du vivant à sa reconquête «
« NON » à l’extrême droite, pour la justice et l’égalité !
“Guerre en Ukraine : pour un accueil digne de toutes et tous”
…/… Intégralité du communiqué en Pièce jointe
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