10 décembre 2023 à 11h – la LDH et Autour du 1er Mai proposent dans le cadre de L’Écran Des Droits le film Je vous salue salope, un documentaire stupéfiant sur le cyberharcèlement des femmes. |
Le filmJe vous salue salope, la misogynie au temps du numérique, Léa Clermont-Dion, Guylaine Maroist, 2022, Canada, 89 min Sur deux continents, quatre femmes sont victimes de cyberviolences extrêmes. Abandonnées par les forces de l’ordre, la classe politique et les géants du web qui engrangent des milliards avec la haine, elles décident de se battre et de ne plus se taire.La rencontreLa projection sera suivie d’une rencontre en présence de : – Ketsia Mutombo, co-fondatrice et actuelle présidente de Féministes contre le cyberharcèlement, coautrice de « Politiser les cyberviolences. Une lecture intersectionnelle des inégalités de genre sur Internet » et afro-féministe engagée sur les questions de sûreté dans l’espace numérique et la propriété intellectuelle des personnes minorées. – Marie-Hélène Le Ny, photographe, membre de la LDH, rédactrice à 50/50, le magazine de l’égalité femmes/hommes. – Maryse Artiguelong, membre du Comité national de la LDH, spécialiste des données personnelles et de la protection de la vie privée. Pour aller plus loinRetrouvez le soutien du film par la LDH : ici et ci-dessous la filmographie réalisée par Autour du 1er mai à l’occasion de cette projection : « Cyberharcèlement et misogynie en ligne » La filmographie Extrait du film Chaque mois depuis 10 ans un collectif inter-associatif œuvrant pour la défense des droits humains organise une rencontre-débat autour d’un film, avec le Majestic Bastille (2-4 Bd Richard Lenoir 75011) / Dulac Cinémas comme précieux partenaire. Ce rendez-vous mensuel initié par la Ligue des Droits de l’Homme, et rejoint par Amnesty International, l’Observatoire International des Prisons et Autour du 1er mai, s’intitule L’écran Des Droits. Nous accueillons le public autour d’une programmation et l’animation de débats en présence de l’équipe du film et d’expert·es du ou des sujets abordés dans la tradition des ciné-clubs, nés de l’éducation populaire. |
égalité femmes-hommes
conférence gesticulée, J’aurais dû m’appeler…. Paris, 9 avril 2022
Dans le cadre du parcours antiraciste, après Tu viens d’où, toi ? LDH Paris 10/11 propose une conférence gesticulée de Nadège de Vaulx samedi 9 avril 2022 à 15h00 Le Point Éphémère 200 quai de Valmy – 75010 Paris Entrée gratuite Une conférence gesticulée est un spectacle qui mêle théâtre et conférence. Elle associe, avec humour, expériences vécues et connaissances théoriques. « Pour les descendants d’Algérien.nes, il y a une zone grise : une histoire coloniale mise sous silence, des représentations racistes qui perdurent. Intégrée par l’école républicaine, bercée par le mythe national, j’ai joué le jeu de l’intégration, j’ai refoulé une partie de mon héritage. Je fais aujourd’hui marche arrière en prenant bien soin de reformer le puzzle de mon histoire ». |
Section LDH paris 10-11 |
UN ÉCRAN DES DROITS : Women do cry, 8 mars
UN ÉCRAN DES DROITS // HORS-SÉRIE
Spécial Journée internationale des droits des femmes
Mardi 8 mars 2022 à 20h au Majestic Bastille
Mina Mileva et Vesela Kazakova suivi d’une rencontre
Découvrez en AVANT-PREMIÈRE :
WOMEN DO CRY
Un film de Mina Mileva et Vesela Kazakova
Séance suivie d’une rencontre avec :
Christophe Bruncher, producteur du film
Lola Schulmann, chargée de plaidoyer droits sexuels et reproductifs, AMNESTY INTERNATIONAL
Lucie Daniel, experte plaidoyer droits et santé des femmes et filles, EQUIPOP
« Un vibrant film-tract, entre crise de nerfs et déclaration d’amour aux mères » Télérama
Avec Maria Bakalova (Borat 2)
UN CERTAIN REGARD – CANNES 2021
Une cigogne blessée, une femme en pleine dépression postnatale, une jeune fille confrontée aux stigmates du VIH, une mère qui cherche un peu de magie dans le calendrier lunaire… Sœurs, mères et filles se confrontent à leurs fragilités et à l’absurdité de la vie, au moment où de violentes manifestations et débats sur le genre déchirent leur pays, la Bulgarie.
D’après une histoire vraie.
Un Écran des droits est un rendez-vous mensuel au Majestic Bastille,
en partenariat avec la LDH, Amnesty Int., L’OIP et Autour du 1er mai
Covid 19 et Femmes au travail : la double peine
mercredi 7 juillet, 19h30 par zoom
Avec la participation de Christine Mead et
Thérèse Villame de la commission Genre d’ATTAC
- les femmes en première ligne et les précaires : description de mécanismes avec des exemples concrets
- focus sur la situation des femmes pendant le télétravail
Lien zoom : https://us02web.zoom.us/j/7419834373?pwd=K2RzNEE2TlNjbmtsQlplcE9nYUhqZz09
Vous espérant nombreux. Cordialement.
Boudjemaâ Dahmane, président
Section Paris 10/11
Fédération de Paris de la Ligue des Droits de l’HommeLigue des Droits de l’Homme
COVID ET FEMMES : LE GRAND BOND EN ARRIERE, LUNDI 28 JUIN 18H-19H
FREQUENCE DROITS
L’ÉMISSION DE NOTRE SECTION SUR ALIGRE FM 93.1
La Covid 19 est une crise au visage féminin. Elle a révélé la vulnérabilité de la condition des femmes et de leurs droits et aggravé la domination et l’exploitation qui les touchent. Ses répercussions ont montré à quel point les inégalités femmes-hommes restent profondément ancrées dans les systèmes politiques, sociaux et économiques. Alors que les métiers qui assurent la survie quotidienne de tou-te-s sont assumés par une majorité écrasante de femmes, la précarité et les violences dont elles sont les principales victimes ont explosé de façon accablante.
Pour que la donne change réellement, Fréquence Droits donne la parole, lundi 28 juin de 18h00 à 19h00, à :
– Séverine Lemière, économiste membre du MAGE (Marché de l’Emploi et GEnre)
– Isabelle Maurel, chorégraphe et danseuse, directrice artistique du Comité des Métallos
– Raphaëlle Rémy-Leleu, militante féministe et élue EELV au Conseil de Paris.
Débat animé par Françoise Dahmane, LDH.
Covid et femmes : le grand bond en arrière – Aligre FM
Marche #NousToutes, 23 novembre, Place de l’Opéra, 14h
Marche #NousToutes
« Stop aux violences sexistes et sexuelles »
rendez vous LDH Devant La brioche dorée,
angle place de l’Opéra / rue du 4 septembre;
Pl. de l’Opéra > République > Nation
Samedi 23 novembre, RDV national à Paris pour marcher contre les violences sexistes et sexuelles
Nous appelons toutes celles et tous ceux qui veulent en finir avec les violences sexistes et sexuelles et avec les féminicides à marcher le samedi 23 novembre, à Paris.
Chaque jour, dans notre pays, des femmes sont victimes de violences psychologiques, verbales, économiques, médicales, physiques ou sexuelles. Une femme meurt tous les 2 jours assassinée par son compagnon ou son ex-compagnon. Qu’elles aient lieu à la maison, au travail ou dans la rue, les violences ne sont pas une fatalité. Jamais.
Avec cette marche, nous dirons notre exigence d’un monde dans lequel les violences n’ont pas leur place. Les femmes et les enfants, aujourd’hui victimes de violences, peuvent être protégé·e·s. Les femmes et les enfants en danger peuvent être mis·es en sécurité. Les criminels doivent être sanctionnés.
Avec cette marche, nous rappellerons que c’est notre droit fondamental de vivre à l’abri des violences. Ce droit est chaque jour bafoué dans une indifférence qui nous sidère.
Avec cette marche, nous ferons entendre nos voix dans chaque famille, entreprise, administration, quartier, école, hôpital et association. Dans tous les espaces de vie, la question des violences doit être posée. Et traitée.
Avec cette marche, nous porterons la voix de toutes celles qui, parmi nous, cumulent les violences en raison de leur situation de handicap, de vulnérabilité, de leur âge, de leur origine sociale, de leur statut de migrantes, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre ou parce qu’elles sont racisées.
Avec cette marche, nous porterons la voix des milliers d’enfants victimes ou co-victimes de violences. Nous dénoncerons les décisions de justice qui relaxent des pédocriminels en bafouant les droits les plus élémentaires des enfants.
Avec cette marche, nous porterons la voix de celles qui ne peuvent plus parler. Celles qui ont été assassinées parce qu’elles étaient des femmes. Nous n’arrivons plus à compter les cas où les féminicides auraient pu être évités. Nous proclamerons notre colère de voir que les pouvoirs publics leur ont tourné le dos, classant leurs plaintes, refusant d’entendre leurs appels à l’aide.
Avec cette marche, nous ferons en sorte que les pouvoirs publics prennent enfin des mesures à la hauteur. Les demi-solutions ressassées depuis des décennies ne fonctionnent pas. Un Grenelle ne suffira pas. Le gouvernement doit passer à la vitesse supérieure et débloquer un milliard d’euros pour financer des politiques publiques qui touchent l’ensemble de la population. La société est prête à se mettre en mouvement contre les violences. Il manque aujourd’hui la volonté politique et les moyens.
Les solutions pour faire sortir la France des violences existent. Mieux, elles sont connues et reconnues. Les associations de terrain en parlent. Sans cesse. Parmi elles : formation des professionnel·le·s à détecter les violences et à réagir de manière efficace, ouverture de places pérennes d’hébergement dans des lieux dédiés, démultiplication des ordonnances de protection et systématisation des bracelets électroniques pour les compagnons violents condamnés, campagnes de communication continues et nationales sur le modèle de celles que l’on a connues pour la sécurité routière, prévention obligatoire et systématique à l’école, obligation faite aux entreprises de prévenir effectivement les violences sexistes et sexuelles au travail et de protéger les femmes victimes de violences conjugales.
Le 23 novembre nous marcherons. Nous exprimerons notre force, notre colère et notre détermination. Nous sommes déjà des milliers. Et nous allons en finir avec les violences sexistes et sexuelles.
Rejoignez-nous.
Rassemblement festif, 8 mars à 15h40, Place de la République
La Fédération de Paris LDH se joint à l’appel de nombreuses organisations :
le 8 mars Place de la République .
Le 8 mars à 15h40, c’est l’heure des comptes.
Retrouvons-nous à 15h40 place de la République à Paris pour un rassemblement festif autour de représentantes du mouvement féministe à l’international : espagnoles, brésiliennes, kurdes, italiennes. Seront également présentes des femmes turques en grève contre Yves Rocher.
Nous organiserons une chaîne humaine.
Nous nous retrouverons ensuite à la Bourse du Travail.
Rendez vous Fédération de Paris
avec badges et drapeaux ( et couleur violette)
devant Habitat, 15h30
Pourquoi le 8 mars
Aujourd’hui, en France, le salaire des femmes est inférieur à 26% à celui des hommes.
Métiers mal reconnus et rémunérés et pourtant indispensables à la société exercés par des femmes, temps partiels subis, « discrimination pure »…
Rapporté à une journée, c’est comme si chaque femme travaillait gratuitement à partir de 15h40. Sympa, non ?
Et c’est sans parler des 20h de tâches ménagères par semaine et des violences sexistes et sexuelles qui visent à inférioriser les femmes.
Collectivement, nous pouvons dire stop.
Ensemble, demandons que notre travail soit reconnu et rémunéré à sa juste valeur.
Le 8 mars, envoyons un message à nos employeurs et au gouvernement. Exigeons l’égalité salariale.
Faisons grève à 15h40, et affichons la couleur en portant un foulard violet.
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Les soutiens
ActionAid France-Peuples Solidaires, Association Nationale des Etudes Féministes, Attac, CADAC, CGT, Chiennes de Garde, Collectif Civg Tenon, Collectif féministe Ruptures, Collectif National pour les Droits des Femmes, CQFD Lesbiennes féministes, En avant toute(s), Fédération Nationale Solidarité Femmes, Femmes Egalité, Femmes Libres Radio Libertaire, Femmes migrantes debout, Fondation Copernic, FSU, Groupe F, Groupe Femmes Gilets Jaunes, le mouvement, Ligue des Femmes Iraniennes pour la démocratie, Maison des Femmes de Paris, Maison des femmes Thérèse Clerc, Marche Mondiale des Femmes, Mouvement des Femmes Kurdes en France, Mouvement du Nid 75, Osez le féminisme, Planning Familial, Rajfire, SKB, Solidaires, Tou.te.s contre les violences obstétricales et gynécologiques !, Touche Pas à Mon Intermittent.e, UNEF, UNL
Ciné débat, L’homme qui répare les femmes, Paris Majestic Bastille 10 novembre
Séance exceptionnelle proposée par la section Paris 10-11 de la
Ligue de Droits de l’Homme :
Le docteur Mukwege vient de recevoir le Prix Nobel de la Paix 2018
Section Paris 10/11
Ligue des droits de l’Homme Contact section Paris 10 11 de la LDH Site de la section Paris 10 11 de la LDH |
8 Mars : Journée internationale des Femmes
La bibliothèque Marguerite Durand restera dans ses murs
La mairie de Paris avait soulevé une vague de protestations en annonçant le déménagement de la Bibliothèque Marguerite Durand, qui abrite un fonds spécialisé sur l’histoire des femmes et du féminisme, dans les locaux de la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris.
La Fédération de Paris s’est associée au collectif de soutien initié par des chercheurs , universitaires, etc. Ce collectif pointait les risques s de ce déménagement .
jugé dangereux pour le maintien et la vie de cette collection patrimoniale »
La ville de Paris, annonce Christine Bard, historienne, féministe, historienne du féminisme, militante des archives du féminisme et co-animatrice du collectif Sauvons la Bibliothèque Marguerite Durand, renonce à ce projet.
La bibliothèque Marguerite Durand, abritée par la médiathèque Jean-Pierre Melville, dans le 13e arrondissement de Paris, restera finalement dans ses locaux, annonce Christine Bard sur Twitter.
C’est la fin d’un bras de fer engagé entre un collectif, Sauvons la bibliothèque Marguerite Durand, des militants et militantes et la mairie de Paris, qui assurait que le déménagement du fonds spécialisé s’effectuait pour le mettre en valeur.
“ne doit pas devenir invisible et disparaître”
Effectivement, la liste des opposants à ce projet était assez longue : on comptait ainsi les syndicats CGT, SUPAP-FSU, CFDT, CFTC, UCP, FO, mais aussi l’Association des bibliothécaires de France et d’autres associations concernées par la recherche et l’enseignement sur le genre.
Bruno Julliard, premier adjoint, a annoncé hier par une lettre au Collectif Sauvons la BMD ! le maintien de l’établissement à l’emplacement qu’il occupe 79 rue Nationale dans le 13e arrondissement.
plus d’infos : https://www.actualitte.com/article/monde-edition/paris-la-bibliotheque-des-femmes-marguerite-durand-restera-dans-ses-locaux/86175