PÉTiTION à signer et liens vers les autres infos et pétitions :
https://leparia.fr/nouveaux-temoignages-des-cra-la-lutte-avance-petition-fermez-les-centres-de-retention/
Appel (transmis par le CVPRPO (Comité de Vigilance pour une Paix réelle en Palestine) ) :
La pandémie COVID-19 en Palestine est très préoccupante pour les communautés agricoles les plus vulnérables, qui n’ont même pas l’eau potable alors que l’hygiène joue un rôle capital dans la maîtrise du virus.
Le président de l’Union des Comités des travailleurs agricoles (UAWC), Mohammad Bakri vient donc de lancer un appel à aide, avec l’objectif de réduire les risques de propagation du COVID 19, en fournissant des kits d’hygiène à 2000 agriculteurs et pêcheurs des communautés rurales marginalisées de Cisjordanie et de la Bande de Gaza.
L’UAWC collabore étroitement avec le ministère palestinien de l’Agriculture et le Cluster Palestine WASH, et entend cibler 78 communautés (2000 familles) des zones d’accès restreint des zones rurales et des communautés de pêcheurs de la bande de Gaza, ainsi que des communautés agricoles vulnérables de Cisjordanie (50).
Le budget prévu pour les opérations envisagées est de 49400 dollars (un peu plus de 45000 €). Tous les dons sont les bienvenus même les plus modestes.
Adressez vos dons par chèque à l’ordre du CVPR PO (Comité de Vigilance pour une Paix Réelle au Proche-Orient), à :
Maurice Buttin, 54 rue des Entrepreneurs 75015 Paris. <—- Attention au problème de distribution de courrier en ce moment !
Pour info on retrouve cet appel sur le site de l’UJFP :
http://ujfp.org/spip.php?article7777
En Algérie, l’épidémie du coronavirus survient dans un climat de tensions extrêmes sur fond de graves crises politique, sociale et économique. Malgré cela, les hirakistes, pourtant confinés, n’abdiquent pas. Ils créent de nouvelles formes d’organisation afin de lutter contre la propagation de l’épidémie tout en maintenant la pression sur le pouvoir.
En prenant des « mesures » pour lutter contre le virus, les autorités profitent de l’opportunité pour durcir la répression envers certains leaders politiques, militants associatifs et journalistes. Des peines de 1 à 2 ans de prison sont prononcées. Des sites électroniques, comme Maghreb Émergeant et Radio M sont bloqués et nul n’a le droit de donner des statistiques sur les cas avérés du Covid-19 en dehors du comité scientifique. Dans un climat de peur et de confusion, le nouveau premier ministre autorise les préfets à prononcer par simple décision administrative des peines de prison pour les personnes irrespectueuses des règles de confinement et pour les commerçants qui refusent d’ouvrir leurs établissements, le tout dans un contexte de peur, de stress et de grande méfiance envers les autorités.
Lire l’article en entier ici : Situation politique et sanitaire en Algérie 2020 04 14
_Vous avez besoin d’aide ou connaissez quelqu’un qui a besoin d’aide à Paris pendant le confinement ? Pour une aide à domicile, une livraison de repas, de courses ou de médicaments ou tout accompagnement social, appelez le 3975
_La Ville de Paris, via la Fabrique de la Solidarité, a lancé un appel à volontaires pour prêter main forte aux associations. Le formulaire est accessible via ce lien :
_Les principales associations de bénévolat en France lancent benevolat.fr pour celles et ceux qui veulent s’engager à distance.
_les violences conjugales ont connu une augmentation de 36% en une semaine. Face à cette urgence, une plateforme numérique, créée par l’association Droits d’urgence, a été lancée en partenariat avec les Mairies du 20e et du 18e arrondissement dans ces deux arrondissements pilotes. Son objectif : permettre aux victimes en situation de danger immédiat de pouvoir accéder, près de chez elles, à tous les services ouverts durant la période de confinement. Ce service est gratuit, confidentiel et anonyme.
Et parce que les besoins essentiels de trop de gens sont remis en cause par la situation sanitaire actuelle voici deux liens qui recensent des ressources utiles à Paris et un guide d’infos utiles aux précaires, et enfin le contact avec la Maison Des Femmes de Paris:
_ ci dessous le lien pour un guide de l’association WATIZAT qui recense des adresses pour manger, se laver, se soigner, des conseils pratiques et des permanences téléphoniques pour les personnes en précarité:
_La Maison Des Femmes : solidarité, infos, écoute :
Permanence
téléphonique de la Maison des femmes de Paris : 01 43 43 41 13Du lundi au vendredi de 9h30 à 18h
Samedi
et dimanche de 13h à 18h
Contacts
par mailPour le public : maisondesfemmesdeparis@orange.fr
Pour les
institutions, presse, associations et propositions d’engagement bénévole : mdfdeparis@gmail.comAction contre les
violences masculines faites aux femmes et aux mineures : mdfparis.actionviolences@gmail.com et 06 73 72 43 84Notre site internet : https://mdfparis.fr/Appel à dons « Solidarité féministe COVID-19 » :
https://mdfparis.fr/don-solidarite-feministe-covid-19/
En ces temps difficiles, la solidarité et l’action féministe continuent ! Nous nous organisons en télétravail et par des outils de communication à distance, nous soutenons et orientons les femmes victimes de violences, nous veillons au respect des droits dans tous les domaines, nous apportons une aide matérielle à des femmes précaires (nourriture, produits pour bébés, recharges téléphoniques), nous offrons une écoute confidentielle, des permanences juridiques et des moments de convivialité via les réseaux sociaux.
site internet : https://mdfparis.fr/
Partagez vos témoignages avec l’Observatoire : contact@obs-paris.org
Suivez l’actualité de l’Observatoire : facebook.com/Obsp et twitter.com/ObsParisien
Dans ce temps de confinement où le temps est arrêté, les délais pour avorter n’attendent pas. Le personnel soignant est particulièrement mobilisé par la pandémie. Sur Paris et en Ile de France des nombreux centres d’IVG commencent à être en difficulté. Certaines méthodes ne peuvent plus être appliquées par manque de personnel . Il faut prendre des décisions et des mesures rapides pour que les femmes puissent avorter si elles le désirent.
Le collectif CIVG Tenon dont la section LDH Paris 20 est membre vient d’envoyer une lettre à Martin Hirsch ,le directeur de l’Assistance publique des hôpitaux de Paris demandant :
Lettre à Martin Hirsch, Directeur général de l’APHP : Lettre Hirsch 22_03_2020
Une pétition du collectif « Avortement en Europe, les femmes décident ! » demande que des mesures d’urgence soient prises car les IVG ne peuvent pas attendre plusieurs semaines. Merci de signer et partager !
https://www.change.org/p/les-avortements-ne-peuvent-attendre
[Communiqué de l’Observatoire parisien des libertés publiques]
Dans le cadre de la pandémie de Covid-19 qui sévit actuellement dans de très nombreux pays, les autorités françaises ont décidé de mettre en œuvre, à compter du 17 mars 2020, des mesures de confinement strictes afin de limiter les déplacements jugés non-essentiels. Face à la propagation rapide du virus, nul ne saurait contester la nécessité d’adopter des mesures à la hauteur de l’enjeu sanitaire.
L’exceptionnelle gravité de la situation sanitaire ne saurait cependant justifier des restrictions arbitraires et disproportionnées aux libertés publiques. L’Observatoire parisien des libertés publiques s’inquiète à ce titre de l’imprécision entourant les missions confiées aux forces de l’ordre dans le cadre du contrôle des déplacements quotidiens. Afin de lutter contre la pandémie de manière juste et sereine, il appartient aux autorités publiques de définir clairement le cadre légal entourant les interventions des forces de l’ordre. La mise en œuvre de sanctions à l’encontre des personnes qui ne respecteraient pas les règles en vigueur ne saurait en effet contrevenir à l’exigence de justice, de discernement, de proportionnalité. Il en va tant de la légitimité de mesures adoptées dans l’urgence que de leur compréhension et de leur respect par tout citoyen.
L’Observatoire fera preuve de vigilance, durant toute la période de confinement, vis-à-vis des méthodes employées par les forces de l’ordre lors du contrôle des interdictions de circuler. La gravité de la situation ne saurait justifier des interventions illégitimes, discriminatoires ou disproportionnées de la police ou de la gendarmerie, dans le cadre des missions spécifiques qui leur sont actuellement dévolues.
Il convient de rappeler à cet égard que le droit de filmer les forces de l’ordre dans l’exercice de leurs fonctions, conformément aux prescriptions de la commission de Venise et à celles de la circulaire du 23 décembre 2008, demeure pleinement d’actualité et ne saurait être remis en cause par le caractère exceptionnel de la situation sanitaire en cours. Ce droit participe au contrôle citoyen des pratiques policières et à la transparence de toute intervention dans le champ des libertés publiques.
L’Observatoire s’étonne enfin qu’au premier jour de confinement, le Préfet de police de Paris ait tenu des propos relevant davantage d’une logique de répression que d’une volonté d’apaisement et de résilience. De telles déclarations publiques, tenues par un haut fonctionnaire, sont susceptibles d’attiser inutilement les tensions et d’installer des logiques conflictuelles contre-productives entre les autorités et la population.
Dès lors, citoyens, citoyennes ; voisins, voisines, restons vigilants et solidaires face aux événements qui nous entourent et aux risques qu’ils comportent !
Si vous avez connaissance de pratiques abusives de la part des forces de l’ordre dans le cadre de la crise sanitaire, vous pouvez nous envoyer vos photos, vidéos ou témoignages à l’adresse suivante :
Depuis plusieurs années, associations et collectifs alertent les institutions sur la situation des personnes à la rue à Paris et dans sa proche périphérie qui ne fait que s’aggraver. Rien n’a bougé depuis, pire la situation n’a cessé de se dégrader.
Aujourd’hui, cette population doit faire face non seulement àune présence policière accrue, des dispersions, des contrôles, des évacuations, une absence de prise en charge juridique et sociale, mais aussi désormais à l’épidémie de Covid-19. Des personnes, étrangères ou françaises, sans domicile, sont ainsi contraintes de rester dehors, dans des campements insalubres, malgré les mesures de confinement décidées !
Aujourd’hui, nous constatons qu’aucune mesure n’a été prise depuis une semaine pour mettre à l’abri les personnes les plus vulnérables.
Face à la crise sanitaire, les institutions ont la responsabilité de protéger toutes ces personnes. C’est pourquoi, associations et collectifs, nous demandons :
Paris, le 17 mars 2020
Associations signataires : Acat ; Actions traitements ; ADSF ; Amnesty International France – Région Paris ; Antanak ; Cèdre ; Comède ; Dom’Asile ;Emmaüs France ; Gisti ; La Gamelle de Jaurès ; L’Assiette migrante ; La Cimade Ile-de-France ; LDH ; Mrap Paris ; Paris d’exil ; P’tits dej’s solidaires ; Première urgence internationale ;RESF ; Secours Catholique – Délégation de Paris ; Serve the city ; Solidarité migrants Wilson ; Utopia 56 ; Watizat
Télécharger et diffuser largement la fiche « Nos droits en manifestation » et la fiche « Nos droits en garde à vue ».
Télécharger le « Point droit » sur la pratique policière consistant à conditionner la sortie d’une manifestation au retrait définitif de tout signe exprimant une adhésion associative, syndicale ou pensée politique, réalisé par l’Observatoire parisien des libertés publiques.
Rapport du 19 janvier au 9 mars 2019 de la Legal team de Montpellier
Rapport du 15 décembre 2018 au 15 janvier 2019 de la Legal team de Montpellier
Rapport du 7 septembre 2019 de la Legal team de Montpellier
Rapport du 1er mai 2017 au 23 mars 2019 de l’Observatoire des pratiques policières de Toulouse
Rapport du 17 novembre 2018 au 16 février 2019 de l’Observatoire girondins des libertés publiques
Rapport de l’Observatoire Nantais des Libertés (ONL), mai 2019