A la rue….

On voit tous régulièrement des personnes à la rue sans logis, des Mineurs non accompagnés,et des familles avec enfants sont aussi touchées, c’est pourquoi via « Jamais sans toit », des associations, la fcpe, la ldh, des syndicats et des collectifs se mobilisent . « Jamais Sans Toit », cherchent à sensibiliser les pouvoirs publics pour permettre l’ hébergement des élèves à la rue . Jamais Sans Toit île de France , met en place des initiatives pour remédier à ces situations . La première action auquel nous sommes conviés c’est un rassemblement le 24 janvier .

Pas d’élève à la rue !
rassemblement mercredi 24 janvier 2024
12h30 devant le rectorat de Paris

Depuis de trop longs mois, à Paris comme dans toute la France, de nombreuses écoles
font face à des situations d’élèves dormant à la rue avec leur famille ou vivant dans
une extrême précarité.
L’approche des jeux olympiques nous fait craindre une forte augmentation du nombre
d’expulsions d’hôtels ou de logements.
Par ailleurs, la loi Darmanin prévoit de mettre fin à l’inconditionnalité de
l’hébergement d’urgence. Or de nombreuses situations de familles à la rue concernent
des personnes sans papier.
L’École ne peut fermer les yeux sur ces situations indignes de la capitale d’un des
pays les plus riches du monde, dans laquelle on compte environ 20 000 logements
vacants.
Tous les élèves, tous les enfants ont les mêmes droits, garantis par la Convention
Internationale des Droits de l’Enfant signée par la France. Les collectivités locales,
l’État et l’Éducation Nationale doivent en être les garants et offrir à ces enfants et
leurs familles un logement pérenne.
Pour faire entendre notre voix et celle des enfants sans toit, et pour rappeler que cette
question dramatique concerne directement l’Éducation Nationale, nous appelons à un
rassemblement à l’occasion de la journée internationale de l’Éducation devant le
rectorat de Paris :
mercredi 24 janvier à 12h30

12 boulevard d’Indochine-Paris 19ᵉ
(Une demande d’audience a été envoyée)
Le collectif « Jamais Sans Toit – Île de France »
Avec le soutien de :
FCPE 75 et 91, collectifs de parents indépendants,
CNT-STE 75, CGT éduc’action 75, SNES-FSU 75, SNUDI-FO 75, SNUEP-
FSU 75, SNUIPP-FSU 75, SUD éducation 75,
RESF 75, LDH 75, MRAP 75, Fédération des Acteurs de la Solidarité IDF
Contact : jamaissanstoit.idf@gmail.com

école, logement, famille… Quels droits pour les enfants étrangers ? + concert La Flèche d’Or , le 29 novembre

Le mercredi 29 novembre 2023, de 19h00 à 22h00 à la Flèche d’Or : un évènement débat -concert initié par la Cimade

Dans le cadre de l’anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant, la Flèche d’Or vous invite à débattre des multiples atteintes aux droits des enfants à partir des constats de terrain de trois associations : RESF, les Midis du MIE et La Cimade.

19h00 – DEBAT : École, logement, famille… quels droits pour les enfants étrangers ?

Le débat, modéré par David Eloy, journaliste et directeur de l’EMI, permettra d’en apprendre plus sur la réalité du droit d’aller à l’école, du droit d’avoir des conditions de vie décentes et du droit de vivre en famille lorsqu’on est mineur.e et étranger.ère en France.

21h00 – CONCERT Avec Hareth Mhedi et Antonin Fresson,

Oud, guitare et chant seront au rendez-vous pour animer la soirée.

Hareth Mhedi est un maître syrien du Oud, chanteur et compositeur. C’est un artiste qui combine la musique classique traditionnelle avec la musique moderne, pop et jazz.

Antonin Fresson commence la guitare classique à l’âge de 6 ans et fait aujourd’hui parti du collectif et label Jazztronics.

La Flèche d’Or 102b rue de Bagnolet 75020 Paris -Entrée libre-

le 4 février une émission de radio pour le rapatriement des enfants français détenus en Syrie

Vendredi 4 février, de 19 à 21 heures, l’émission de Radio Libertaire (FM 89.4)
« Des gens et des droits » sera animée par la section LDH de Paris 20. 

Pour le rapatriement des enfants français et de leurs mères détenus dans les camps de prisonniers du nord-est syrien Avec la participation de- Un responsable du collectif famillesunies.fr– Marie Dosé, avocate- Françoise Dumont, présidente d’honneur de la LDH
Aujourd’hui, plus de deux cents enfants français sont détenus avec leurs mères dans les camps de prisonniers du Nord Est syrien. Beaucoup souffrent de maladies chroniques, de malnutrition, d’infections pulmonaires, de dysenterie, de maladies de peau, mais dans ces camps, ils n’ont pas accès aux soins les plus basiques. Ils sont également privés d’école et vivent sans protection, dans la peur et le danger.
Depuis 2019, plusieurs pays d’Europe ont les uns après les autres rapatrié des centaines d’enfants. Les autorités françaises qui s’obstinent à agir au cas par cas se sont, elles, limitées à en rapatrier 35. En maintenant prisonniers ces enfants qui ne sont pas responsables des agissements de leurs parents, la France viole délibérément ses engagements internationaux, le droit international humanitaire, la Convention internationale des droits de l’enfant.
Lire le communiqué de la LDH et de la FIDH :https://www.ldh-france.org/journee-internationale-des-droits-de-lenfant-quattend-le-gouvernement-francais/
Des personnalités, des artistes,  se mobilisent pour être le porte-voix de ces enfants :https://www.youtube.com/watch?v=FJjtI3wW2V8

j’envoie une carte en faveur des droits de l’enfant

Anniversaire de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant

Campagne d’envoi de cartes postales (autour du 20 novembre) A L’ECOLE, PAS à LA RUE ! REGULARISATION des jeunes étrangers

Chaque année, l’anniversaire de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, ratifiée notamment par la France en 1990, est l’occasion pour le Resf de rappeler que les enfants de sans papiers, comme les mineurs isolés, sont avant tout des enfants, que l’Etat français a le devoir de protéger.

Nous constatons pourtant tous les jours que c’est loin d’être le cas pour tous.

Aussi, comme chaque année, collectifs, associations, citoyens, tous ceux qui ont à coeur de rappeler cet engagement aux décideurs et aux acteurs de la protection de l’enfance sont invités à se joindre à cette campagne.

Il est proposé d’envoyer des cartes postales (à télécharger en PJ ci-dessous) à tous les protagonistes de l’application de cette Convention, à tous les échelons de l’état, de la présidence de la république (sans timbre) jusqu’aux divers élus locaux (députés, sénateurs, maires, préfets…).

L’envoi massif de ces cartes aux alentours du 20 novembre (du 18 au 27 novembre), en forme de rappel à nos dirigeants de leur engagement de protection, sera l’occasion de réitérer notre attachement indéfectible à l’engagement du Resf, qu’on peut exprimer ainsi à cette occasion :

A L’ECOLE, PAS à LA RUE !
REGULARISATION DES JEUNES ETRANGERS

MODALITES PRATIQUES :
Les fichiers PDF des cartes en HD pour impression grand format sont en PJ en bas de page

Les cartes postales sont à envoyer, par courrier postal ou par mail, entre le 18 et le 27 novembre, en indiquant l’adresse au verso de celle-ci, dans l’espace prévu à cet effet (voir adresses ci-dessous) .
N’hésitez pas à les distribuer et à les faire circuler afin de multiplier les destinataires, le message en sera d’autant plus visible !

A l’Élysée,
Adresse postale (rappel, pas besoin de timbre pour le courrier adressé au Président de la République) 55 rue du Faubourg St Honoré, 75008 PARIS
Pour écrire par mail au président  : http://www.elysee.fr/ecrire-au-president-de-la-republique/
Directeur de cabinet Patrick.strzoda@elysee.fr

Matignon,
Adresse postale : 57 rue de Varenne, 75007 PARIS
Pour écrire par mail au premier ministre : sec.jean.castex@pm.gouv.fr
http://www.gouvernement.fr/contact/ecrire-au-premier-ministre


Ministère de l’Intérieur

Adresse postale : Place Beauvau, 75008 PARIS
Pour écrire par mail au ministre de l’Intérieur :
https://www.interieur.gouv.fr/Contact/Ecrire-au-ministre-de-l-Interieur
Autres adresses mail :
Directeur du cabinet :pierre.de-bousquet-de-florian@interieur.gouv.fr
Directeur adjoint du cabinet francois-xavier.lauch@interieur.gouv.fr _
Directeur adjoint du cabinet sebastien.jallet@interieur.gouv.fr
Directrice adjointe du cabinet emmanuelle.dubee@interieur.gouv.fr
Chef de cabinet mathieu.lefevre@interieur.gouv.fr
Conseiller immigration louis-xavier.thirode@interieur.gouv.fr
sec.dircabadj@interieur.gouv.fr
sec.immigration@interieur.gouv.fr


Ministère de l’Education nationale

_ Adresse postale : 110 rue de Grenelle – 75007 Paris

Pour écrire à un.e député.e : Dans les permanences locales ou à l’Assemblée Nationale
Adresse postale de l’Assemblée nationale : 126 rue de l’Université 75007 Paris
Pour écrire par mail : Trouvez votre député.e ici https://www2.assemblee-nationale.fr/deputes/liste/alphabetique

Pour écrire à un.e sénateur.trice :
Adresse postale du Sénat : Casier de la Poste – 15, rue de Vaugirard
75006 PARIS
Pour écrire par mail : Trouvez votre sénateur.trice ici http://www.senat.fr/trombinoaga/

Pour trouver les coordonnées postales et mail des mairies :
https://lannuaire.service-public.fr/navigation/mairie

Pour trouver les coordonnées des préfectures :
https://www.mairie.net/departements/prefectures-de-departement.htm

Parrainage le 24 novembre

La LDH fait partie du RESF (Réseau Education Sans Frontières) qui apporte une aide aux familles sans-papiers et aux mineurs isolés ou jeunes majeurs
Dans ce cadre, le RESF organise avec la Mairie du 20ème une cérémonie de parrainages républicains et nous recherchons des parrains.marraines civil.es pour seconder les élus qui parraineront officiellement ces jeunes. 

Le statut de parrain ou marraine – même si la cérémonie se passe en mairie-  n’implique aucune responsabilité officielle, juridique, financière ou pénale. Etre parrain-marraine, c’est suivre le jeune ou la famille, l’accompagner dans ses démarches administratives, alerter le réseau en cas de difficulté. C’est surtout l’aider et le soutenir comme on peut, en fonction de ce qu’on peut chacun apporter : un coup de main en maths, un repas à la maison, une lettre de motivation à rédiger, des conseils pour s’orienter dans Paris, une séance au ciné…
Cet engagement est aussi une façon d’affirmer publiquement que le jeune ou la famille crée réellement des liens et tisse des réseaux d’amitié au sein de notre société. Pour la majorité d’entre eux, c’est souvent la première fois qu’ils sont invités chez des « français » ou chez des personnes régularisées et intégrées ; les parrains-marraines sont un appui psychologique et social concret, un soutien vraiment important quand on se retrouve à 17 ou 18 ans tout seul dans une France dont on n’a pas les codes, qu’on croyait accueillante et où l’on espérait se construire une vie meilleure.
Si vous êtes intéressé pour jouer ce rôle, contactez-nous en répondant à  l’adresse ci-dessous. La cérémonie de parrainage aura lieu le mercredi 24 novembre prochain, à 18h à la Mairie du 20ème arrondissement.
faniconv@yahoo.fr Ou RESF Paris 20 : resfparis20@gmail.com

Un écran des droits : PARIS STALINGRAD

en partenariat avec la LDH, Amnesty Int., L’OIP et Autour du 1er mai

LE DIMANCHE 10 OCTOBRE à 11H AU MAJESTIC BASTILLE
En présence de la réalisatrice Hind Meddeb,
et d’ Agathe Nadimi, créatrice de Les Midis du Mie (Collectif solidaire avec les mineurs isolés étrangers) »Ce film est un portrait de Paris vu par Souleymane, 18 ans, réfugié du Darfour. Arrivé en France après un périple traumatisant de cinq longues années, la  » ville lumière  » dont il avait rêvé, loin de répondre à ses attentes, lui inflige de nouvelles épreuves. À la dureté des situations, répond sa poésie douce- amère. En suivant Souleymane, le film retrace le parcours des migrants dans Paris : les campements de rue, les interminables files d’attente devant les administrations, les descentes de police et la mobilisation des habitants du quartier pour venir en aide aux réfugiés. La caméra témoigne d’une métamorphose d’une ville et nous montre l’émergence de nouvelles frontières intérieures : des kilomètres de grillages pour rendre inaccessibles les allées sous le pont du métro aérien, des pierres pour empêcher les migrants de s’allonger, des rondes de vigiles pour les déloger. »

disons non à l’expulsion d’un père prévue le 14 janvier

5 enfants sont menacés d’être privé de leur papa qui est en rétention depuis déjà un mois, le JLD a décidé ce matin de prolonger la rétention de M. APKKAZHISVILI. Son avocate a interjeté appel de l’ordonnance du JLD mais celui-ci n’est pas suspensif. Un vol serait programmé pour le 14 janvier. On continue donc à adresser sans relâche des courriels aux décideurs et responsables de cette ignominie. Cf modèle plus bas. 


Modèle de lettre à adresser par mail/fax :

Monsieur le Préfet,

Je me permets d’attirer votre attention sur la situation de Monsieur Diviti APKHAZISHVILI, ressortissant géorgien et père de 5 enfants scolarisés en France. Arrêté le 12 décembre 2020 sur son lieu de travail, M. Diviti APKHAZISHVILI a été placé en rétention au Centre de Rétention Administrative du Mesnil Amelot sur la base d’une Obligation de Quitter le Territoire Français que vous avez prise à son encontre.

Arrivée en France en 2018, la famille a sollicité l’asile et s’est vue déboutée de cette demande. Parfaitement intégré, le couple APKHAZISHVILI vit à Persan avec leurs 5 enfants tous scolarisés :

.Salomé, 15 ans et scolarisée en classe de 3ème au collège Victor Hugo à Sarcelles

  • Lizi, 12 ans et scolarisée en classe de 6ème au collège Victor Hugo à Sarcelles
  • Anastasia, 8 ans et scolarisée en classe de CE1 à l’école Paul Eluard de Persan
  • Nicolas, 9 ans et scolarisé en classe de CE2 à l’école Paul Eluard de Persan
  • Giorgi, 6 ans et scolarisé en classe de CP à l’école Paul Eluard de Persan

En France, cette famille très appréciée comme l’attestent les différents témoignages (communautés scolaires, gérant de l’hôtel, …), ne craignait plus pour sa sécurité et pouvait envisager un avenir meilleur, surtout pour les enfants. Cette stabilité retrouvée et le travail engagé auprès des enfants par les équipes éducatives sont fragilisés par votre décision d’expulser le père qui représente le principal soutien financier et affectif pour sa famille plongée dans l’angoisse depuis le 12 décembre 2020.

La reconduite de M. Diviti APKHAZISHVILI porterait gravement atteinte au droit de ses enfants à ne pas être séparés arbitrairement d’un de leurs parents.

De plus, la Convention Internationale des Droits de l’Enfant dont la France est signataire, stipule que pour toutes les décisions administratives ou autres, c’est “l’intérêt supérieur de l’enfant qui doit être une considération primordiale”.

Monsieur le Préfet, parce que M.Diviti APKHAZISHVILI est un père de famille sans histoires, parce que ses enfants et son épouse ont indéniablement besoin de lui ici en France, parce que la place d’un père n’est pas dans un centre de rétention mais auprès des siens, je vous demande avec confiance et détermination de renoncer à cette expulsion, d’annuler l’obligation de quitter le territoire français et de mettre tout en œuvre pour qu’il retrouve sa famille

Recevez, Monsieur le Préfet, l’expression de mes sentiments citoyens les plus respectueux.

 Prénom NOM

georges-francois.leclerc@seine-saint-denis.gouv.fr
frederic.poisot@seine-saint-denis.gouv.fr
claire.chauffour-rouillard@seine-saint-denis.gouv.fr
pref-eloignement@seine-saint-denis.gouv.fr
Patrick.strzoda@elysee.fr
sec.jean.castex@pm.gouv.fr
pierre.de-bousquet-de-florian@interieur.gouv.fr
francois-xavier.lauch@interieur.gouv.fr
sebastien.jallet@interieur.gouv.fr
emmanuelle.dubee@interieur.gouv.fr
mathieu.lefevre@interieur.gouv.fr
louis-xavier.thirode@interieur.gouv.fr

droit à l’avortement / violences faites aux femmes ou aux enfants

C’est la loi !
Le droit d’avorter continue pendant le confinement.

-Numéro vert national: 0800 08 11 11

-Centre Planning Hôpital Tenon: 01 56 01 68 52


-La pilule du lendemain est disponible dans toutes les pharmacies sans ordonnance.  

Contre les violences faites aux femmes et aux enfants :

✔ Le 114 – par SMS.

✔ Le 17 – Police secours. 

✔ Le 3919 (de 9H à 18H).

 ✔ Le 119 – Service national d’accueil téléphonique de l’enfance en danger.  

Un campement alerte sur le sort des mineurs isolés étrangers à la rue

Depuis le 30 juin, un campement d’environ 75 adolescents mineurs étrangers s’est installé dans le 11e arrondissement de Paris, square Jules Ferry. Dans la loi, les départements ont la responsabilité de protéger tous les mineurs isolés sur le territoire français. Mais dans les faits nombreux sont celles et ceux qui dorment dans la rue et n’ont droit à aucune prise en charge. Ces jeunes ont besoin de notre soutien! Alors soyons nombreux à agir!
Sur cette page vous trouverez les adresses mail de toutes les personnes responsables à contacter ainsi qu’un mail type : https://www.msf.fr/mineursalarue

Solidarité avec les Palestiniens pour des risques sanitaires sans précédent…

Ci dessous :3 moyens de participer à une évolution positive de la situation sanitaire et politique catastrophique en Palestine
_l’appel-pétition pour les enfants palestiniens.
_et une deuxième :
_En cette période de crise sanitaire, l’accès à l’eau est essentiel  . Or l’eau manque en Cisjordanie, elle est pillée par les Israéliens qui la détourne et se l’accapare, et l’eau qu’il y a à Gaza est polluée, car les réseaux d’assainissement et de distribution ont été complètements anéantis par les bombardement successifs. Il y a des dossiers tout à fait documentés sur le sujet.

  Appel  (transmis par le CVPRPO (Comité de Vigilance pour une Paix réelle en Palestine) )   :
La pandémie COVID-19 en Palestine est très préoccupante pour les communautés agricoles les plus vulnérables, qui n’ont même pas l’eau potable alors que l’hygiène joue un rôle capital dans la maîtrise du virus.

Le président de l’Union des Comités des travailleurs agricoles (UAWC), Mohammad Bakri vient donc de lancer un appel à aide, avec l’objectif de réduire les risques de propagation du COVID 19, en fournissant des kits d’hygiène à 2000 agriculteurs et pêcheurs des communautés rurales marginalisées de Cisjordanie et de la Bande de Gaza.

L’UAWC collabore étroitement avec le ministère palestinien de l’Agriculture et le Cluster Palestine WASH, et entend cibler 78 communautés (2000 familles) des zones d’accès restreint des zones rurales et des communautés de pêcheurs de la bande de Gaza, ainsi que des communautés agricoles vulnérables de Cisjordanie (50).

Le budget prévu pour les opérations envisagées est de 49400 dollars (un peu plus de 45000 €). Tous les dons sont les bienvenus même les plus modestes.
Adressez vos dons par chèque à l’ordre du CVPR PO (Comité de Vigilance pour une Paix Réelle au Proche-Orient), à :
Maurice Buttin, 54 rue des Entrepreneurs 75015 Paris.            <—- Attention au problème de distribution de courrier en ce moment !
Pour info on retrouve cet appel sur le site de l’UJFP :
http://ujfp.org/spip.php?article7777