
Venez nous retrouver à « la flèche d’or « un lieu accueillant pour débattre de l’égalité femmes-hommes avec l’auteur de » Le pouvoir insidieux du genre » : Une rencontre qui promet d’être passionnante !
Venez nous retrouver à « la flèche d’or « un lieu accueillant pour débattre de l’égalité femmes-hommes avec l’auteur de » Le pouvoir insidieux du genre » : Une rencontre qui promet d’être passionnante !
L’écologie est aujourd’hui un enjeu majeur, c’est l’avenir de la planète et de l’humanité qui est menacé. La LDH est partie prenante de l’importante mobilisation citoyenne face au danger, réfléchit sur la façon de poser cette question du point de vue des droits de l’Homme, considère que les droits écologiques ne peuvent être dissociés des droits sociaux et démocratiques.
Les sections du 10/11e et du 20e arrondissements de Paris ont organisé un débat à la Maison de la vie associative et citoyenne du 20e, le 9 mars 2019. Plus de 40 personnes ont participé à cette rencontre, ont été appelées à réfléchir sur trois problématiques posées par le dérèglement climatique : Comment mieux vivre ? Quelle justice écologique ? Quels droits du citoyen et quelle exigence démocratique ?
Les participants se sont répartis en plusieurs groupes de travail pour réfléchir, partager, proposer, chaque groupe a ensuite restitué en séance plénière le résultat de ses réflexions. Nous vous soumettons ici la synthèse des réflexions et propositions partagées : LDH – Urgence Ecologique Sociale Democratique [9 mars]
mobilisons-nous le 8 décembre
Communiqué LDH
La Ligue des droits de l’Homme (LDH) appelle à participer aux manifestations qui auront lieu partout en France ce 8 décembre, dans le cadre des Marches pour le climat. La LDH réitère à cette occasion qu’elle est et sera vigilante et active pour que soit prise en compte la triple justice économique, sociale et environnementale. Elle appelle les gouvernements à faire de l’urgence climatique un point de renouvellement des pratiques démocratiques, économiques et sociales.
Le mot d’ordre de cette Marche climatique est « il est encore temps » mais, le temps étant compté, il faut de l’ambition, du courage et des actes.
Les COP, aujourd’hui la COP24 (24e Conférence des parties à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques) se suivent et se ressemblent. Les intentions et ambitions ne sont pas à la hauteur des enjeux climatiques, pire, a minima elles ne sont pas même respectées par les Etats signataires : l’augmentation de la production des gaz à effet de serre est repartie ces dernières années, après la sortie de la crise de 2008.
La mise en place d’une société décarbonée est urgente, vitale, même, au sens fort, et elle doit être faite avec et pour les populations.
L’urgence est là et nécessite non pas un aménagement des constructions économiques actuelles mais une véritable rupture, un changement de paradigme, une radicalité à penser, collectivement, qui émergent notamment de la société civile : réorientation des politiques fiscales au profit de la transition énergétique, construction des lieux de vie et d’activités autour des mobilités douces et collectives, accompagnement des populations à cette transition et volonté politique à l’égard des acteurs.
Mobilisons-nous massivement, le temps n’est plus à l’inaction.
Vendredi 15 au soir, 80 personnes étaient réunies à Jean Quarré dans le 19° pour une table ronde : Comment accueillir les exilés ?
A l’appel de la LDH et d’Emmaüs Solidarité, autour d’Isabelle Coutant auteur de « Les migrants en bas de chez soi » (Seuil 2018) : des habitants du quartier, des militants, des migrants.
Nous avons ravivé nos souvenirs sur l’occupation de Jean Quarré en 2015 et nous avons échangé sur la politique d’accueil actuelle. Beaucoup de réalisme et d’espoir, d’humanité et de fraternité.