parrainage resf vendredi à la mairie du 20eme le 14 06 2019

Le RESF Paris 20 apporte une aide aux sans-papiers et particulièrement aux mineurs isolés ou jeunes majeurs sans ressources. Certains vont au lycée dans le 20eme (lycées Etienne Dolet, Martin Nadaud, Charles de Gaulle et EREA Edith Piaf) mais leur scolarité et leurs chances d’intégration en France sont sans cesse remises en cause par la difficulté d’obtenir une régularisation de leur statut et une prise en compte de leurs difficultés matérielles.
Dans ce cadre, et comme chaque année, le RESF organise avec la Mairie du 20ème une cérémonie de parrainages républicains . Chaque jeune parrainé ou chaque famille aura un.e parrain.marraine civil.e et un.e marraine-parrain élu(e).
Le statut de parrain ou marraine – même si la cérémonie se passe en mairie-  n’implique aucune responsabilité officielle, juridique, financière ou pénale. Etre parrain-marraine, c‘est suivre le jeune, l’accompagner dans ses démarches administratives, alerter le réseau en cas de difficulté. C’est surtout l’aider et le soutenir comme on peut, en fonction de ce qu’on peut chacun apporter : un coup de main en maths, un repas à la maison, une lettre de motivation à rédiger, des conseils pour s’orienter dans Paris, une séance au ciné…
Cet engagement est aussi une façon d’affirmer publiquement que le jeune crée réellement des liens et tisse des réseaux d’amitié au sein de notre société. Pour la majorité d’entre eux, c’est souvent la première fois qu’ils sont invités chez des « français » ou chez des personnes régularisées et intégrées ; les parrains-marraines sont un appui psychologique et social concret, un soutien vraiment important quand on se retrouve à 17 ou 18 ans tout seul dans une France dont on n’a pas les codes, qu’on croyait accueillante et où l’on espérait se construire une vie meilleure.
 
Venez à la cérémonie de parrainage qui aura lieu  le vendredi 14 juin 2019 à la mairie du 20ème.

INVITATION à la Fête de L’ Été des Droits et des Libertés le Samedi 15 juin

Samedi 15 juin à partir de 19 h
au « Super Café »  16 rue de Fontarabie 75020
    
La Ligue des droits de l’Homme de Paris 20° vous invite à fêter 
L’ Été  des Droits et des Libertés
Accueil avec un punch ou un jus de fruit
Concert du groupe vocal a capella A l’Air Libre (groupe d’amateurs animé par Frède)
Présentations-flash d’activités de la section et projection de vidéos
Buffet avec tartes, petits légumes, assiettes de charcuterie, fruits, boissons 
Une fête pour se retrouver, en toute simplicité et convivialité,
Une fête pour parler de l’avenir avec réalisme et optimisme (c’est compatible),
Une fête pour inviter des ami.es, des voisin.es (tous les âges sont bienvenus),
Une occasion aussi pour certain.es de régler leur cotisation 2019 (mieux vaut tard…)
Le Super Café a une cour ouverte et adaptée à tous, adultes et enfants.
L’entrée est libre et gratuite (et la sortie également).  Le buffet et les boissons le sont aussi. 
Vous voyez : il n’y a pas à hésiter et on vous attend nombreuses et nombreux.     

Quoi de neuf sur le mouvement des Gilets Jaunes…

Initialement, les membres de la ldh du 20eme ont regardé le mouvement des gilets jaunes avec curiosité et une certaine inquiétude . Nous nous sommes questionnés sur la récupération possible du mouvement par l’extrême droite . La mobilisation des gilets jaunes perdure , beaucoup de personnes  qui n’étaient pas habituées à manifester, partout en France se révoltent contre les inégalités, se réunissent autour de revendications ,échangent de manière horizontale pour s’opposer aux institutions ,se confrontent, ouvrent des cahiers de doléances, s’organisent, inventent des propositions et de nouvelles solidarités.A Belleville aussi des gilets jaunes  se réunissent, ensemble ils font le choix des sujets,des décisions, des actions…A Commercy , le 26 et 27 janvier, s’est tenue la première assemblée des assemblées des gilets jaunes des ronds points et des parking,des places, des assemblées, des manifs, réunissant une centaine de délégations. L’assemblée des assemblé a décrété: » Depuis le 17 novembre, du plus petit village, du monde rural à la plus grande ville, nous nous sommes soulevés contre cette société profondément violente, injuste et insupportable. Nous ne nous laisserons plus faire ! Nous nous révoltons contre la vie chère, la précarité et la misère ».

https://reporterre.net/IMG/pdf/appel_de_l_assemble_e_des_assemble_es_des_gilets_jaunes_a_commercy_27_janvier.pdf

      A ce jour , nous déplorons les conséquences désastreuses de ce mouvement: escalade de la violence et usage de  la violence policière en particulier avec les blessés graves de deux armes de catégorie A2 (classées comme armes de guerre): la grenade de désencerclement (GMD) et le LBD40  .

la CGT et la LDH ont saisi le juge des référés le 21 janvier 2019 afin de demander l’interdiction de l’usage de flah ball durant les prochaines manifestations.  Le tribunal administratif de Paris a rejeté la requête tout en reconnaissant le caractère dangereux du LBD40   : https://t.co/6cv1y0uRUB


la commissaire Mijatovic du conseil de l’Europe, suite à son déplacement à Paris le 28 janvier, livre ses observations sur les questions des droits de l’homme liées au mouvement des »gilets jaunes »  . Elle résume ses observations : »le niveau élevé de tension qui prévaut actuellement en France suscite mon inquiétude et je considère qu’il est urgent d’apaiser la situation… » lien ci dessous:

https://www.coe.int/fr/web/commissioner/-/suite-a-sa-mission-a-paris-la-commissaire-mijatovic-livre-ses-premieres-observations-sur-les-questions-de-droits-de-l-homme-liees-au-mouvement-des-gil

2 pétitions:

https://www.mvtpaix.org/wordpress

https://www.mvtpaix.org/utils/petitionparlementaires-flashball.php

Actuellement, la ligue des droits de l’homme du 20eme réfléchit à la manière de s’investir dans le « grand débat » proposé par le gouvernement sans  participer à une opération de diversion ou de Communication du gouvernement 

La LDH Paris 20° animera deux heures d’émission sur Radio Libertaire, ce vendredi 1° février de 19 à 21 heures. 
On parlera de la LDH face au mouvement des Gilets Jaunes, de la répression policière et judiciaire et du Grand Débat.
Nous avons interviewé deux ligueurs dont Dominique Noguéres sur la stratégie de maintien de l’ordre du gouvernement.
A écouter sur 89.4 FM ou sur https://www.radio-libertaire.net/ (cliquer « Ecouter en direct » puis sur le fichier « radiolib » téléchargé)

ciné-droits

      Les « Ciné-Droits de l’Homme » ont été initiés par la section du 10 -11ème de la LDH en 2012,  des membres du 17eme et du 20eme se sont joints à l’aventure depuis 2016. C’est aujourd’hui la Fédération de Paris de la LDH qui soutient ce projet. 
« Ciné-Droits de l’Homme » proposent, en partenariat avec l’association « Autour du 1er mai » et avec les Ecrans de Paris des projections bimensuelles le dimanche matin à 11 h au Cinéma Majestic Bastille (2 Bd Richard Lenoir 75011 Paris – métro Bastille)

Les séances sont suivies d’un débat animé par la LDH, en présence du réalisateur ou d’invités.
 
Programmations antérieures (depuis l’automne 2016)
en septembre 2016 : « La sociale » de Gilles Perret   ici
en novembre 2016 : « Afectados » de Silvia Munt 
en janvier 2017 : « Democracy » de David Bernet  ici
en mars 2017 : « Un paese di Calbria » de Shu Aeillo et Catherine Catella 
en mai 2017 : « I am not your negro » de Raoul Peck  ici
en juillet 2017 : « Retour à Forbach » de Regis Saunder  ici
en octobre 2017 : « Des lois et des hommes » de Loïc Jourdain 
en décembre 2017 : « Sans adieu » de Christophe Agou  ici
en février 2018 : « Mémoires d’un condamné » de Sylvestre Meinzer 
en avril 2018 : « Un jour ça ira » de Stan et Edouard Zambeaux ici
en juin 2018 : « Après l’ombre » de Stéphane Mercurio 
en octobre 2018 : « Libre » de Michel Toesca  ici
en novembre 2018 (séance exceptionnelle) : « L’homme qui répare les femmes » de Thierry Michel
 9 décembre 2018 « Le procès contre Mandela et les autres » de Nicolas Champeaux et Gilles Porte ici
 

Pour en finir avec les violences sexistes et sexuelles… marchons toutes et tous, samedi 24 place de l’Opéra

Les violences et injustices faites aux femmes ne sont pas anecdotiques dans l’évolution de nos sociétés, au contraire elles restent le terreau d’un patriarcat mondial encore bien vivant et cruel… en France aussi !

Les multiples affaires de viols sur mineures de 11 à 13 ans cette année, suivies de l’acquittement des violeurs en est un signe plutôt inquiétant. Le développement exponentiel de la pornographie (y compris dans le « porno chic » encore utilisé par la publicité qui joue beaucoup avec nos pulsions sexuelles pour les transformer en actes de consommation) auprès des plus jeunes contribue à forger une image des femmes considérées comme des objets sexuels à disposition et à soumettre si nécessaire. Le viol est un outil de domination des femmes très ancien mais ce n’est pas une raison pour le minimiser… et aussi  d’humiliation aussi des hommes qui s’en considèrent « propriétaires », ce qui conduit encore à leur assassinat dans beaucoup de pays… (Lire L’aurore, le très beau livre de Selahattin Demirtas paru récemment en français alors que son auteur, politicien turc d’origine kurde, est dans les geôles d’Erdogan)

Faute d’une réelle éducation à l’égalité f/g et d’une éducation sexuelle sérieuse, la sexualité reste pour nombre de jeunes un espace tabou nourri de fantasmes souvent virilistes et violents et dépourvu des savoirs scientifiques de base sur le corps et le psychisme (éventuellement abordé en terminale par celles et ceux verront la psychanalyse en philo) – masculin ou féminin.

 Si les violeurs sont « des malades » alors ils faut les soigner, et si on considère qu’ils ont fait preuve de discernement et de maîtrise de leurs pulsions, alors il faut les condamner… (à des peines alternatives si possible, ce n’est pas la prison qui pourrait les « améliorer »)

Tant que les femmes ne sont/seront pas davantage en sécurité dans l’espace public (et privé pour les plus jeunes), elles peuvent/pourront difficilement exercer pleinement leur citoyenneté et accéder à certains emplois !

Pour réfléchir et débattre de ces questions, 2 films à voir et à soutenir rapidement :

« Les chatouilles », qui aborde très justement la question de la pédophilie (viol des enfants..),

et « Les filles du Soleil » d’Eva Husson (qui sort demain) qui nous raconte comment des femmes kurdes enlevées, battues et violées par l’AI se lèvent pour cesser d’être des victimes et devenir des combattantes afin de reprendre le contrôle de leurs vies. Une leçon de courage et de résilience…

Marie hélène Le Ny

la section ldh du 20eme invite toutes celles et ceux qui veulent comme nous, mettre fin aux violences sexistes et sexuelles à marcher avec nous. 

Rendez-vous le 24 novembre !

Le site https://www.noustoutes.org/

En vidéo : https://youtu.be/mYVDmQL9P1E  

Le rendez-vous parisien sera à 14h30 place de l’Opéra  samedi 24 novembre 2018

Hôtels Réunis : tous les résidents relogés

Juillet 2016 : Hôtels Réunis : une bonne nouvelle : tous les résidents des Hôtels Réunis ont été relogés dans des conditions acceptables.

Enfin, plus aucune famille ne va moisir aux  Hôtels Réunis , la  dernière est partie en fin juin … Une grande majorité est relogée dans de vrais appartements dignes, ils sont enchantés .
Cinq familles sont hébergées en résidence dans l’attente d’obtenir les critères ( régularisation ou revenus suffisants ) . En résidence il y a souvent (mais pas toujours ) une aide sociale efficace pour résoudre les problèmes administratifs ou autres ( une des mamans a  obtenu grâce à cet accompagnement son titre de séjour, la maîtrise de la langue et un travail occasionnel ) .
On peut se réjouir même si on reste présents malgré tout, car deux familles doivent encore être régularisées, et trois familles ont d’autres soucis administratifs ou de revenus à résoudre …

Pour en savoir plus sur Les Hôtels Réunis et la longue lutte menée par les résidents, RESF, La Fondation Abbé Pierre et la LDH de Paris 20° — cliquez ici

Loi sur le droit des étrangers : appel aux députées du 20°

Le policier :  » Vous avez des diplômes ? « 

Le courrier ci-dessous a été envoyé aux trois députées dont le mandat couvre en partie le 20° arrondissement de Paris ; Cécile Duflot, Fanélie Carrey-Conte et Sandrine Mazetier. Cette action entre dans le cadre d’une action nationale de la LDH.

Madame la députée,

Le projet de loi relatif au droit des étrangers, déposé au bureau de l’Assemblée nationale l’été dernier, va entrer en discussion au cours du mois de juillet. Durant toute cette année, les associations concernées par le droit des étrangers, dont la Ligue des droits de l’Homme, ont été auditionnées par le rapporteur et la CNCDH a rendu son avis le mois dernier.

Si nous prenons contact avec vous aujourd’hui, c’est que tous les organismes susmentionnés font part, de façon quasi unanime, de leur vive inquiétude. En effet de nombreuses dispositions vont précariser encore davantage la situation des étrangers dans notre pays. Or, comme le souligne la CNCDH, si l’on veut qu’un étranger s’intègre dans notre société, la première condition est que sa situation soit stable. Le projet de loi  qui vous est soumis va placer tous les étrangers dans une situation de contrôle permanent, non contradictoire et particulièrement attentatoire aux libertés et à la protection des données personnelles. Le fait d’être étranger ne doit pas autoriser à leur dénier les droits les plus élémentaires.

Aussi venons-nous vous proposer un certain nombre d’amendements que, vous pourriez, si vous en êtes d’accord, proposer à la discussion de l’Assemblée nationale.

Concernant la délivrance des titres de séjour :

  • suppression de l’article 8 du projet. Cet article permet à l’administration de remettre en cause, à tout moment, le titre de séjour d’un étranger ;
  • selon l’article 9, la délivrance d’un titre de séjour « salarié » est subordonnée à la présentation d’un contrat de travail à durée indéterminée (CDI). Cette mesure constitue une régression par rapport à l’existant : actuellement, la personne étrangère titulaire d’un contrat à durée déterminée d’un an se voit délivrer un titre de séjour « salarié » ; il convient de conserver cet existant ;
  • suppression de l’article 25 qui permet à l’administration d’avoir accès à de nombreux fichiers pour vérifier les déclarations d’un étranger ; cet article remet gravement en cause le respect de la vie privée et les règles déontologiques de nombreuses professions.  Il porte atteinte à l’indispensable confiance que chacun, quelle que soit sa situation administrative, doit pouvoir porter à l’école, aux travailleurs sociaux, à l’hôpital.

Concernant l’éloignement des étrangers :

  • en cas de mise en rétention, ramener le délai de présentation au juge des libertés et de la détention (JLD) à 48 heures et limiter la rétention à 30 jours, a l’instar des propositions du rapport Fekl;
  • modification de l’article 14, alinéas 20 à 23 : le délai de 7 jours pour déposer un recours devant le tribunal administratif est particulièrement court et ne permet pas de garantir un recours effectif à la personne visée par la mesure d’éloignement ;sachant que l’un des principaux motifs d’annulation est le danger représenté par le pays de destination ou l’état de fragilité des personnes, cette remise en cause de l’effectivité du recours est de nature à entraîner des conséquences d’une extrême gravité ;

A l’article 22, suppression des dispositions (alinéas 12 et 13) permettant aux autorités de pénétrer au domicile de l’étranger assigné à résidence, en vue de rendre effectif son éloignement.

Bien d’autres dispositions prévues sont contestables, en ce qui concerne les étrangers malades, par exemple. Par ailleurs, nous ne pouvons que déplorer que la délivrance d’une carte de résident ne puisse être de plein droit.

Aussi, nous souhaitons vous rencontrer pour vous présenter de façon plus détaillée les craintes que nous inspire ce projet de loi et nous nous tenons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.

Nous vous prions d’agréer, madame la députée, monsieur le député, nos salutations les meilleures.

Le Bureau de la LDH Paris 20°

Rencontre-débat : la laicité pour vivre ensemble

La Ligue des droits de l’Homme de l’Est parisien, le MRAP de Paris 19-20°, le Mouvement de la paix de Paris 19-20°, la Ligue de l’enseignement de Paris vous invitent à une

rencontre-débat, le jeudi 18 juin 2015 à 19 heures,

au Lieu-Dit, 6 rue Sorbier, Paris 20°

Métro Ménilmontant ou Gambetta, bus 96, arrêt Henri Chevreau
(entrée libre et gratuite sans réservation)

La laïcité pour vivre ensemble

avec Alain Bondeelle, coresponsable du groupe de travail laïcité de la LDH
————–
La laïcité reste d’actualité
La laïcité, dont les fondements ont été posés dans la Déclaration des droits de l’Homme de 1789,
et dont les bases juridiques datent la séparation de l’Église et de l’État en 1905,
est régulièrement citée dans les débats et controverses d’aujourd’hui :
  • Affaire Baby Loup jugée en 2014,
  • Attentats de Paris en janvier de cette année,
  • Projet de loi sur l’interdiction de de tout signe d’appartenance religieus dans les établissements accueillant des enfants de moins de six ans,
  • Projet de loi sur l’extension du port du voile à l’université,
  • Polémiques sur les menus des cantines scolaires…
La laïcité est parfois dévoyée
La laïcité n’est-elle pas mise « à toutes les sauces » ? Parfois hors de propos ?
Y compris les sauces les plus acides comme le rejet de l’autre pour ses opinions religieuses ?
L’extrême-droite elle-même s’empare du concept pour en faire une arme de l’identité nationale.
________
La laïcité, c’est quoi exactement ?
Un mode d’organisation de la société garantissant la liberté de chacun et l’égalité entre tous ?
Quels sont les enjeux aujourd’hui, dans nos hôpitaux, nos écoles, nos entreprises ?
En quoi la mise en œuvre de la laïcité contribue-t-elle à la citoyenneté et au Vivre Ensemble ?
________
Venez en discuter
Nous partirons des fondements philosophiques et juridiques de la laïcité,
nous en citerons les domaines d’application et les règles et nous la replacerons dans son contexte.
Nous jetterons un œil sur ce qui se passe dans d’autres pays (la laïcité est-elle une spécificité française ?)Puis, nous discuterons, ensemble, des cas concrets rencontrés dans notre vie professionnelle et de quartier.