La fermeture des frontières décidées par la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) après le putsch militaire au Niger du 26 juillet a conduit au blocage de milliers de migrants, stoppés net sur leur route migratoire. Une attente qui suscite beaucoup d’angoisse et de désespoir chez les exilés, « coincés » dans le pays.