Centres de rétention administrative : « Plus les années passent, plus ça se dégrade », dénonce la contrôleure générale des lieux de privation de liberté



« Dans les chambres, ils ne peuvent pas fermer la porte, donc il y a des gens qui rentrent la nuit. Comme les policiers ne rentrent pas, c’est la loi du plus fort qui s’installe », raconte par exemple sur franceinfo Dominique Simonnot la contrôleure générale des lieux de privation de liberté.

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