
Moins d’un mois après l’évacuation du « camp du Cheval noir », Shafiq, Talib Hussain, Reda et Douaa, sont revenus dormir non loin de la porte de Pantin, dans le nord-est parisien. Aucun d’eux n’a été pris en charge, ni relogés lors de la « mise à l’abri » des autorités. Ils vivent à nouveau dans des tentes, sur un terrain qui n’est doté d’aucun équipements sanitaires. Comme environ 80 autres personnes, ils tentent de survivre dans cet énième camp informel aux portes de la capitale.
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