L’avenir incertain de l’aide aux personnes handicapées dans les camps de réfugiés au Bangladesh
Plusieurs fois par semaine, Nour, un réfugié de 18 ans atteint de paralysie cérébrale, se déplace avec peine durant une heure sur les pistes poussiéreuses ou boueuses de l’installation de Kutupalong pour se rendre de son abri étouffant à un centre communautaire où il peut se sentir inclus et passer du temps avec les autres.