Golhassan, Alpha et une soixantaine d’autres jeunes exilés vivent, depuis le 28 mai, sur un bout de trottoir de la place de la Bastille, à Paris. L’opération, soutenue par l’association Utopia56, avait pour but d’obtenir de la mairie et de l’État une structure d’hébergement dédiée à ces mineurs en recours. En vain, pour le moment.