Aujourd’hui dans « Parlons-en », retour sur un procès qui marquera l’histoire judiciaire française et alimentera le débat public : celui des viols dits de Mazan. Ce mercredi, il entre dans sa dernière ligne droite. « Le procès de la lâcheté », a dénoncé à la barre Gisèle Pelicot, la victime, pointant un système qui tolère encore l’idée qu’il y aurait des viols plus graves que d’autres. Décryptage avec Maître Carine Durrieu-Diebolt, Elsa Labouret, porte-parole d’Osez le féminisme, Noémie Renard, autrice de « En finir avec la culture du viol » (Les Petits Matins, 2018), et Marie Schuster, envoyée spéciale à Avignon.
Procès de Mazan
Procès des viols de Mazan : comprendre le huis clos qui divise le public et les avocats
En imposant un huis clos partiel, le président de la Cour a provoqué la colère des avocats de Gisèle Pelicot. Ce 4 octobre, il est revenu sur cette décision, suscitant, cette fois, l’indignation des avocats de la défense. Les Surligneurs vous donnent les clefs pour comprendre cette notion de huis clos qui crée tant de remous dans cette affaire.