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VENEZ REJOINDRE LE COMBAT POUR LA JUSTICE, L’EGALITE, LES LIBERTES, LA DEMOCRATIE, LA DÉFENSE DES DROITS HUMAINS

Samedi 1er décembre – 10H devant l’Hôpital Joffre – Agissons tous ensemble Salaires, Emplois Justice Sociale !

APPEL DE LA CGT-66

Agissons tous ensemble Salaires, Emplois Justice Sociale !

Des salariés actifs et retraités, des citoyens expriment une colère légitime pour avoir les moyens de vivre dignement, pour plus de justice sociale. Cette colère, la CGT la comprend et la porte au quotidien depuis plusieurs mois et au travers de nombreuses journées d’action et de grèves.

Alors que la France est le 5ème pays producteur de richesses dans le monde, le chômage, la précarité qui se généralise, plongent dans le désarroi de plus en plus de familles, de citoyens.
La préoccupation d’une partie grandissante de la population est de boucler les fins de mois. *

Ça ne peut plus durer.
Emmanuel Macron, plus que jamais président des riches, ignore et méprise les aspirations d’une grande majorité de nos concitoyens.

La CGT dont le rôle prioritaire est la défense des intérêts de ceux qui souffrent, exige de
répondre d’urgence aux attentes sociales par :
           • Une hausse du SMIC à 1800€ avec répercussion sur l’ensemble des grilles de salaires.
           • Une augmentation des pensions et des minima sociaux.
           • La prise en charge des transports par les employeurs.
           • Une TVA à 5,5% pour les produits de première nécessité, notamment le gaz et
l’électricité.
           • Une fiscalité juste avec en premier lieu le rétablissement de l’impôt sur la fortune.

Ces revendications sont urgentes et légitimes.
Donnons-leur de la force en étant tous unis.

Nous sommes dans le même camp et ce n’est pas la couleur de nos gilets qui doit nous diviser.
Le 1er décembre, la CGT appelle tous les citoyens, les salariés actifs, les privés d’emploi, les
retraités, à la mobilisation pour exiger des réponses immédiates et concrètes de la part du
gouvernement et du patronat.

RV Samedi 1er décembre
10H devant l’Hôpital Joffre (centre hospitalier)

Action réussie à la cinémathèque de Perpignan pour dénoncer la saison France-Israël, soutien du criminel de guerre Nétanyahou

La cinémathèque Jean Vigo, lieu d’art et de culture, devrait être une plaque sensible. Pas un cocon tiède et feutré où peuvent s’endormir confortablement les bonnes consciences complices. Les responsables de l’Institut Jean Vigo s’en défendent mais ils ont pourtant bien invité des cinémathèques israéliennes dans le cadre de la « Saison 2018 France Israël ». Malgré nos mises en gardes,  ils sont tombés dans le piège tendu par le criminel de guerre Nétanyahou.

Nous avons tenté de les convaincre de renoncer à prendre part à la Saison France-Israël 2018.  Nous leur avons dit que le « Collectif 66 Paix et Justice en Palestine » est favorable aux échanges avec des artistes et des cinéastes israéliens mais dans un cadre indépendant et signifiant clairement et publiquement son opposition à la politique coloniale de l’état israélien.

Mais la Saison France-Israël 2018 a été maintenue à Perpignan et le 26 novembre, l’Institut Jean Vigo a organisé la première rencontre dans ce cadre.

Le collectif 66 Palestine a tenu le même jour à 18h un rassemblement de protestation devant la cinémathèque, après plusieurs distributions à l’entrée de la salle de cinéma les semaines précédentes. Sous un crachin glacial et de violentes bourrasques , nous avons scandé nos mots d’ordre  solidaires de la Palestine. Un dessin géant de street-art a été mis en place ainsi que des drapeaux et des banderoles. Nous avions confectionné des dizaines de béquilles que nous avons  tenu en hommage à tous les jeunes palestiniens  mutilés durant les marches de Gaza.

Plus d’une trentaine de militants représentant les organisations du Collectif y ont participé. Nous avons été beaucoup  plus nombreux que ceux qui sont rentrés à la projection prévue pour cette soiré que nous appelions à boycotter. Quelques-uns ont même fait demi-tour. Et Savi Gabizon était finalement absent pour présenter son film.

fleche2  Lire la suite sur le site AFPS-66

  

Le 24 novembre forte mobilisation à Perpignan comme dans tout le pays contre les violences faites aux femmes

Publié sur l’Indépendant

Perpignan : plus de 400 personnes dénoncent les violences faites aux femmes

Cette manifestation intervient dans le cadre de la journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes.

C’est un samedi très manifestant que connaît Perpignan. Ce samedi après-midi, plus de 400 personnes ont défilé dans les rues de l’hypercentre pour dénoncer les violences faites aux femmes. À l’occasion de la journée mondiale dédiée à cette cause, l’association « Idem, question de genre » a organisé ce grand rendez-vous avec le soutien du comité Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT) 66.

Et c’est un cortège très éclectique qui a déambulé dans la ville pour faire entendre sa cause. Femmes, hommes, enfants, adolescents ou encore retraités, tous ces profils ont marché ensemble du Castillet à la place République jusqu’à la place Arago. La déambulation a fédéré au-delà des militants puisque la foule s’est densifiée au fil des minutes. En effet des simples curieux ont fini par rejoindre le mouvement.

Diane Sabouraud

Publié sur francetvinfo.fr

« Ras le viol ! » Des dizaines de milliers de femmes et d’hommes, selon les organisatrices, sont descendus dans la rue, samedi 24 novembre, à l’initiative d’un collectif qui avait appelé à un « raz-de-marée féministe » contre les violences sexistes et sexuelles. Des défilés ont eu lieu dans une cinquantaine de villes en France avec pour couleur de prédilection le violet, choisi par le mouvement #NousToutes pour ces marches organisées à la veille de la Journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes.

Paris: un cortège qui rallie Opéra à République

« C’est la plus grosse mobilisation [féministe] qu’on ait connue en France », s’est félicitée son instigatrice, Caroline De Haas, qui a annoncé le chiffre de 50 000 personnes dans les rues, dont 30 000 à Paris. De leur côté, les autorités ont annoncé le chiffre de 12 000 personnes à Paris, où le cortège est parti de la place de l’Opéra et a rejoint celle de la République. 2 400 autres ont manifesté à Lyon, 1 500 à Marseille, 950 à Rennes, 850 en deux cortèges à Nantes ou encore 600 à Toulouse.

Des personnalités d’horizons divers, parmi lesquelles les comédiennes Muriel Robin, Eva Darlan et Vanessa Demouy, se sont jointes à la marche parisienne. « Je suis là pour soutenir toutes les victimes et continuer ce combat qui a commencé bien avant moi », a déclaré, foulard violet au bras, Muriel Robin, qui avait réuni plus d’un millier de femmes à Paris en octobre contre les violences conjugales.

Plus de 250 femmes violées chaque jour

Né en septembre et appuyé par plusieurs associations, le mouvement #NousToutes entendait « passer du témoignage à l’action » un an après la vague #MeToo, qui a fait bondir de 23% le nombre de cas de violences sexuelles signalées à la police. En France, en 2016, 123 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-compagnon, soit environ une tous les trois jours. Chaque année, près de 220 000 femmes subissent des violences de la part de leur conjoint ou ex-compagnon, selon des chiffres officiels de 2017. En outre, plus de 250 femmes sont violées chaque jour et une sur trois a déjà été harcelée ou agressée sexuellement au travail.

Il y a un an, le président Emmanuel Macron avait décrété l’égalité femmes-hommes « grande cause du quinquennat », lors d’un discours à l’Elysée. Mais « s’il n’y a pas d’argent, les politiques publiques ne suivront pas », a alerté Caroline De Haas. Les fonds consacrés à aider les femmes victimes de violences conjugales devraient être portés à au moins 506 millions d’euros par an, contre 79 aujourd’hui, ont plaidé cette semaine cinq organisations, dont le Conseil économique, social et environnemental.

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