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VENEZ REJOINDRE LE COMBAT POUR LA JUSTICE, L’EGALITE, LES LIBERTES, LA DEMOCRATIE, LA DÉFENSE DES DROITS HUMAINS

Manifestons pour le droit à la retraite à 60 ans le 7 et le 11 février

La LDH appelle les citoyen.ne.s à manifester partout pour défendre le droit à la retraite à 60 ans, acquis social qui s’est concrétisé en 1983, il y a 40 ans, suite aux luttes syndicales et sociales depuis 1936.

La réforme des retraites de Macron rapportera 33 milliards d’euros à l’horizon 2035… La loi de programmation militaire, récemment décidée, coûtera aux citoyen.ne.s la somme fabuleuse de 400 milliards d’euros , sur 7 ans, soit 57 milliards par an ! Pour qui Macron et son gouvernement nous prennent-il ?

APPEL INTERSYNDICAL

Face au rejet massif, le gouvernement doit retirer sa réforme.

A l’appel de l’ensemble des organisations syndicales, ce 31 janvier a confirmé la très forte détermination à refuser le projet de réforme des retraites présentée par le gouvernement.

Plus de 2,5 millions travailleurs et travailleuses, du public comme du privé, jeunes et retraites, se sont mobilisés, par la grève et/ou ont manifesté sur l’ensemble du territoire. Cette mobilisation d’ampleur fait suite à celle du 19 janvier qui avait rassemblé près de 2 millions de personnes. La jeunesse s’est particulièrement mobilisée aujourd’hui pour refuser la précarité grandissante que promet le gouvernement.

La population soutient les revendications des organisations syndicales qui s’opposent au recul de l’âge légal de départ à 64 ans et à l’allongement de la durée de cotisations. 9 travailleurs sur 10 rejettent la réforme, 2/3 de la population soutient les mobilisations.

Personne ne s’est laissé tromper par la propagande du gouvernement.

Les organisations syndicales dénoncent ainsi le mail du ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, envoyé tant à des agents publics qu’à des salariés de droit privé, présentant une liste d’arguments en faveur de la réforme des retraites.

Les organisations syndicales n’acceptent pas les propos tenus par la Première ministre, ce dimanche, indiquant que, selon elle, « l’âge de départ à 64 ans n’est plus négociable ». Pour les organisations syndicales le recul de l’âge de départ n’a jamais été négociable ! Les propositions alternatives formulées par elles sont toutes restées lettre morte !  Cela démontre le jusqu’au-boutisme du gouvernement, sourd au rejet exprimé par la totalité des organisations syndicales et l’immense majorité des citoyens.

Rien ne justifie une réforme aussi injuste et brutale. Le gouvernement doit entendre le rejet massif de ce projet et le retirer.

L’intersyndicale appelle toute la population à se mobiliser par la grève et la manifestation encore plus massivement le mardi 7 février puis le samedi 11 février pour dire non à cette réforme.

Elle appelle, d’ici là, à multiplier les actions, initiatives, réunions ou assemblées générales partout sur le territoire, dans les entreprises et services, dans les lieux d’étude, y compris par la grève.

A l’appel de l’intersyndicale départementale CGT – FO – FSU -Solidaires – CFDT – CFE-CGC – UNSA – CFTC – MNL

APPEL À MANIFESTER MARDI 31 JANVIER | RETRAITES : NON À UNE NOUVELLE RÉGRESSION DES DROITS SOCIAUX

La section de Perpignan et Pyrénées orientales appelle, dans le prolongement de celle du 19 janvier, à manifester ce mardi 31 janvier avec l’ensemble des organisations syndicales de salariés.

la LDH ne divise pas les droits. En effet les droits sociaux acquis de haute lutte par les mouvements sociaux font partie intégrantes des droits à défendre.

A Perpignan le mardi 31 janvier, rendez-vous LdH 10h30 devant la pharmacie à l’angle, Place de Catalogne.
Nous vous invitons tous aussi à signer la pétition de l’intersyndicale en cliquant sur ce lien :
https://www.change.org/p/retraites-non-%C3%A0-cette-r%C3%A9forme-injuste-et-brutale

Cliquez ici pour lire le communiqué national de la LDH. 

France: à Paris, rassemblement pour la libération des 7 Français détenus en Iran

Publié sur rfi.fr le 28/01/2023

En France, des dizaines de personnes étaient rassemblées ce samedi 28 janvier devant la tour Eiffel, pour réclamer la libération des sept Français détenus en Iran. Certains sont retenus depuis des années. Téhéran leur reproche pour la plupart des faits d’espionnage alors que leur famille clame l’innocence de chacun.

En France, des dizaines de personnes étaient rassemblées ce samedi 28 janvier devant la tour Eiffel, pour réclamer la libération des sept Français détenus en Iran. Certains sont retenus depuis des années. Téhéran leur reproche pour la plupart des faits d’espionnage alors que leur famille clame l’innocence de chacun.

Ces Français, décrits comme innocents par leurs proches, serviraient de monnaie d’échange et de moyen de pression aux gardiens de la révolution.

Jean-Michel Arnaud est le père de Louis Arnaud, emprisonné depuis quatre mois alors qu’il visitait l’Iran, « il est dans une cellule d’à peu près quinze mètres de long, avec une soixantaine ou une centaine de détenus ».

C’est désormais vers l’Union européenne que les regards se tournent. Sandrine Perrot est une amie de Fariba Adelkhah, détenue depuis 2019. « On espère encore qu’il va y avoir une pression plus européanisée parce que le silence de l’Europe pour l’instant est assez assourdissant. On se rend compte qu’avec le nombre d’otages européens, il n’y a pas d’action unie. »

De son côté, le Quai d’Orsay assure être totalement mobilisé pour obtenir la libération des sept Français.

Pierre Olivier

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