Moëlan(sur(Mer (29), 17 novembre : Quelle justice pour les jeunes ?

La section de Quimperlé-Riec-Concarneau de la Ligue des Droits de l’Homme, le Conseil Municipal des Jeunes de Moëlan-sur-Mer et l’association Enfance et Partage vous invitent à la journée sur les droits de l’enfant qui se tiendra le 17 novembre à la salle de l’Ellipse à Moëlan-sur-Mer.

À partir de 16 heures et pour tout public, une exposition animée par Monique Thoral, directrice d’un service socio judiciaire de l’Association d’Action Éducative de Loire Atlantique (AAE44), elle est également membre du bureau de la Fédération Citoyen et Justice.

À partir de 20h30, conférence débat sur « Les évolutions récentes de la justice des mineurs et du système de protection de l’enfance ». Conférence animée par Roland Janvier, directeur Général de la Fondation Massé Trévidy et Patrick Martin, directeur Général de l’Association d’Action Éducative de Loire Atlantique, président de la commission protection de l’Enfance et de la Jeunesse de l’UNIOPSS et membre du bureau de la Fédération Citoyen et justice.

Saint-Malo : théâtre et débat dimanche 28 octobre

 THEÂTRE CHATEAUBRIAND – SAINT-MALO

Dimanche 28 Octobre 2012 – 16 h

NAZ de Ricardo MONTSERRAT

SPECTACLE – DEBAT

organisé par

la LIGUE DES DROITS DE L’HOMME et l’ A.F.M.D. (Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation)

Spectacle en forme de «coup de poing», NAZ n’est pas une pièce  comme les autres.

Ricardo Montserrat nous montre comment un jeune homme peut basculer insensiblement de la frustration à la révolte, puis au rejet et pour qui la bande est sa seule famille et la violence aveugle, la seule issue.

Rien n’a fonctionné pour lui – famille, études, boulot – d’où sa haine.

Mais il demeure terriblement humain !

Comme beaucoup d’autres, il est ²un enfant perdu de la République².

Pour comprendre sans juger et expliquer sans condamner, un débat s’impose à la fin du spectacle.

Le débat sera animé par l’auteur,

Ricardo Montserrat

et

Pierre Tartakowsky

Président national de la Ligue des Droits de l’Homme

La section de St-Malo de la LDH marque  ainsi ses 110 ans

Tarifs : 15 / 10 € (étudiants et demandeurs d’emploi)

 

 

 

 

Michel Brochard, président de la nouvelle section LDH de Ploërmel

De gauche à droite, Didier Stenfort, président de la section de Vannes, Gérard Le Ny, délégué régional, et le bureau de la section de Ploërmel : Jean-Louis Forestier, secrétaire, Michel Brochard président et Pierre Bretenet, trésorier.

La section de la Ligue des droits de l’Homme de Ploërmel a été créée, lundi soir 24 septembre, au restaurant le « Santa-Maria ». Gérard Le Ny, délégué régional et trésorier de la section de Brest, et Didier Stenfort, président de la section de Vannes, sont venus présenter l’association, ses objectifs, son fonctionnement. Un échange s’est ensuite installé entre la dizaine de personnes qui vont composer la nouvelle section.

Cette création, qui intervient peu de temps après celle de la section Loudéac centre Bretagne (en décembre2009), consolide la Ligue dans le centre Bretagne. Deux autres sections pourraient être créées prochainement : à Carhaix et à Châteaulin.

La nouvelle section a d’ores et déjà reçu le soutien de Béatrice Le Marre, maire de Ploërmel, et de Paul Molac, nouveau député de la circonscription.

La section s’est dotée d’un bureau dès mardi soir. Il est présidé par Michel Brochard,  libraire, qui réside à la Chapelle-Caro. Jean-Louis Forestier, de Ploërmel, a été élu au poste de secrétaire, et Pierre Bretenet, de Loyat, au poste de trésorier. Françoise Bellamy, de Taupon, est membre du bureau.

Création d’une section LDH à Ploërmel

Après Redon, c’est Ploërmel qui fait l’actualité de la Ligue des droits de l’Homme : une réunion est organisée ce soir, lundi 24 septembre, pour la création d’une section. Un bonne nouvelle, d’autant plus que jusqu’à la création en 2009 de la section Loudéac centre Bretagne, la Ligue des droits de l’Homme était totalement absente de ce secteur, où pourtant il y a aussi beaucoup de travail.

La réunion va débuter par un café citoyen, et se poursuivra par une réunion « constituante », qui sera chargé de constituer un bureau provisoire, en attendant la création officielle de la section par le comité central de la Ligue des droits de l’Homme.

Voici l’annonce de la réunion par le quotidien Ouest-France :

Ploërmel aura bientôt sa section de la Ligue des droits de l’Homme. Lundi prochain, des responsables régionaux organiseront un café-débat au restaurant Santa Maria, rue de la Gare, à l’issue de laquelle sera créé la section ploërmelaise. « La Ligue des droits de l’Homme et du citoyen (LDH), fondée lors de l’affaire Dreyfus, s’est donné pour mission de défendre et de promouvoir les principes énoncés dans la déclaration des droits de l’Homme de 1789 et 1793, la déclaration universelle de 1948 et la convention européenne des droits de l’Homme. Elle intervient dans tous les domaines concernant la citoyenneté, les libertés et les droits, collectifs et individuels », détaille Michel Brochard, l’actuel contact ploërmelais de la Ligue des droits de l’Homme.

 Il souligne également que la LDH, organisation non partisane, n’est ni un syndicat, ni un parti politique, mais une association généraliste présente sur tout le territoire grâce à son réseau de sections locales. Et qu’elle fait appel à tous les démocrates pour combattre l’injustice, l’arbitraire et toute forme de racisme et de discrimination. « Elle défend les valeurs de la République et en premier la laïcité. »

Lundi 24 septembre, à 20 h, café débat et création de l’association au café restaurant Santa Maria (ex Thalassa), 76, rue de la Gare. Possibilité de dîner après la réunion.

Justice et pouvoirs : la vidéo de la conférence d’Henri Leclerc à Quimper

« Justice et pouvoirs : où en est-on en cette fin de quinquennat ? » : c’était le thème de la conférence d’Henri Leclerc, président d’honneur de la Ligue des droits de l’Homme, à Quimper, le 17 février 2012. Henri Leclerc était l’invité de la Délégation régionale Bretagne, et des sections de Quimper, présidée par Stéphane Lenoël, et de Concarneau – Quimperlé -Riec, présidée par Michèle Daloz. Une conférence passionnante, suivie par plus de 200 personnes.

Sa conclusion : « C’est le sens précis du pacte pour la citoyenneté : il y a des questions précises à poser à un certain nombre de candidats. Or, sur l’indépendance de la justice, nous avons des questions à poser. Nous avons des questions à poser parce que nous pensons que les principes fondamentaux doivent être respectés, et l’article 16 de la Déclaration des droits de l’Homme, « Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution ». Eh bien j’estime que dans notre pays actuellement, la séparation des pouvoirs n’est pas suffisamment assurée, qu’il convient de le faire, et que c’est un sujet sur lequel les candidats devront répondre. »

httpv://www.youtube.com/watch?v=WLuj6sRLdPU

Henri Leclerc : et les devoirs, alors ?

Henri Leclerc, avocat, président d’honneur de la Ligue des droits de l’Homme, qui sera à Quimper le vendredi 17 février où il donnera une conférence sur le thème « Justice et pouvoir : où en sommes-nous en cette fin de quinquennat », répond à la question récurrente : « vous parlez toujours des droits, mais que faites-vous des devoirs ? ».

Combien de fois avons-nous entendu l’antienne ? « Vous parlez toujours des droits mais jamais des devoirs » Et l’assemblée d’approuver en hochant la tête. Alors il faut inlassablement recommencer. D’abord le problème n’est pas nouveau. Le 4 août 1789, ­ le jour de l’abolition des privilèges ­ l’abbé Grégoire, qui mérite pour bien d’autres raisons notre considération, se rallie à la proposition de Camus, soutenue par tous les adversaires du principe même d’une déclaration des droits, de faire une « Déclaration des droits et des devoirs de l’homme et du citoyen ». Il expose clairement les arguments que balbutient nos actuels contempteurs. Malgré cela la proposition est repoussée par 570 voix contre 533. Ce sera donc une « Déclaration des droits de l’homme et du citoyen ».

Ce n’est pas le lieu de faire ici l’exégèse d’un texte, dont je n’aime pas qu’on le qualifie de « sacré », mais d’analyser les mots employés pour mieux comprendre ce qu’ont voulu dire les constituants. Ce qu’ils souhaitent c’est que la Déclaration « constamment présente à tous les membres du corps social leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ». Voilà que tout est dit ! : c’est l’énoncé des droits qui renferme toute la mesure de devoirs. Et l’article 4, affirmant que « l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits » précise que « ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi », qui, aux termes de l’article 5, « n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société » alors que « tout ce qui n’est pas défendu par la loi ne peut être empêché ». Les droits c’est affaire de principe, de nature de l’homme, et c’est pourquoi ils sont imprescriptibles, les devoirs eux sont les conséquences du contrat social qui détermine les bornes de la liberté, par la loi, expression de la volonté générale. Voilà le sens profond de la Déclaration de 1789.

La Déclaration de 1793 ne définit toujours pas de devoirs spécifiques de l’Homme. Elle ne parle que des devoirs de la société à l’égard des citoyens malheureux, et attribue au peuple, le devoir d’insurrection qui est le « plus sacré des droits et le plus impérieux des devoirs » lorsque le gouvernement viole ses droits. Est-ce à cela que font référence ceux qui nous reprochent de ne pas exalter les devoirs ?

Il faudra attendre les thermidoriens pour qu’apparaisse une « Déclaration des droits et des devoirs », celle 1795, qui oublie la liberté d’opinion et la liberté d’expression, et patauge lamentablement lorsqu’il s’agit d’énoncer des devoirs : ne pas faire à autrui ce qu’on ne voudrait pas qu’il nous fasse ( c’était déjà la limite fixée à la liberté par la Déclaration de 1793 ) ; obéir aux loi et ne pas leur désobéir même par ruse ( ce qui est contenu dans la définition même de la liberté) ; être « bon fils, bon père, bon frère, bon ami, bon époux » , ce qui est d’une platitude moralisante bien faible ; servir la Patrie. Mais le plus important n’est-il pas pour ces réactionnaires d’affirmer à l’article 8 que « c’est sur le maintien des propriétés que reposent la culture des terres, toutes les productions, tout moyen de travail et tout l’ordre social ». Travail, Famille, Patrie ….et Propriété : voilà ce qui arrive quand on veut définir des devoirs de l’Homme !

Les rédacteurs de la Déclaration universelle de 1948 se sont bien gardés d’énoncer des devoirs. Simplement, de façon très générale, l’article 28 dit que, « l’individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seule le libre et plein développement de sa personne est possible ». Quelle communauté ? La nation ? Le texte reste ambigu mais précise néanmoins que seule la loi peut limiter les libertés et qu’elle ne peut le faire que pour assurer les droits et libertés d’autrui et « afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l’ordre public et du bien général ». Et encore faut-il que ces mesures de restriction soient nécessaires dans une « société démocratique », comme le précisera de façon plus claire et plus précise la Convention européenne.

Voilà pour les textes. Voyons les raisons. Les devoirs ne sont ni naturels, comme l’avaient bien vu nos pères constituants en 1789, ni universels, comme l’avaient constaté les nations assemblées en 1948. Quels devoirs faudrait-il énoncer ? Devoirs religieux ? Ils seraient en contradiction avec la liberté religieuse, qui comprend celle de ne pas avoir ou de changer de religion. Devoirs moraux ? Mais la liberté ne peut avoir d’autres bornes que celles qui sont définies par la loi. L’ordre moral n’est pas l’ordre public. Quant à l’obéissance à la loi, elle fait partie de la définition même de la liberté. Alors on en revient au débat de 1789. Il n’y a pas besoin d’énoncer de devoirs puisqu’ils sont contenus dans la Déclaration des droits. Nous avons pour seul devoir celui de respecter les droits d’autrui. Combattre pour la défense des libertés individuelles mais aussi des droits économiques et sociaux c’est exercer nos droits de citoyens. Et nous avons effectivement le devoir de les exercer. Les sociétés démocratiques reposent sur l’existence des droits égaux de citoyens libres d’où émane le pouvoir. Ce sont les sociétés totalitaires qui reposent d’abord sur l’obéissance, sur des devoirs de l’Homme auxquels des droits peuvent alors être concédés.

Henri Leclerc, président d’honneur de la LDH

Compte-rendu de l’assemblée générale de la délégation régionale

L’assemblée générale de la délégation régionale s’est déroulée au Centre Allende, à Lorient, samedi 14 janvier 2012.
Étaient présents:
Gérard Le Ny et Jean-Yves Varin (Brest), Didier  Stenfort, Pierre Bretenet et Mme Geoffroy(Vannes),  Matthieu Stervinou et Stéphane Lenoël (Quimper),  Sheilla Laclusse-Le Nost et Lola Prat (Châteaulin),  Michèle Daloz , Catherine Aubry et Gérard Ignace (Concarneau-Riec-Quimperlé), Xavier Palson, Daniel et Ginette Le Péru (Saint-Brieuc), Patrick Briend, et Jeanne Alquier (Dinan),Michelle Paul,  Jacques Paul et Gaëlle Gouérou (Loudéac),  Jeannine Pichavant (Saint-Malo), Maryse Butel et Alain Simon (Lorient), Marie-Madeleine Flambard (Rennes), ainsi que Nadia Doghramadjian, membre du bureau national, référente pour notre région.
Sections non représentées : Morlaix ( excusée) ; Trégor-Goëlho.

En préambule à ce compte-rendu, rappelons cet encourageant constat effectué dans le PV du 10 décembre: « Un bon marqueur de vivacité et de vitalité  pour les sections de notre Région : Le renouvellement conséquent des president(e)s sur une seule année :

  • Brest : J.Y VARIN prend la suite de Christophe LE BRAS
  • Lorient : Alain SIMON prend la suite de Maryse BUTEL
  • Quimper : Stéphane LENOEL prend la suite de Matthieu STERVINOU
  • Rennes : Annie CLENET prend la suite de JP DURANDET
  • St Brieuc : Xavier PALSON prend la suite de Annick AUDOUX.

A l’arrivée, un dossier préparé par Maryse Butel et comprenant :

  • le rapport moral et d’orientation 2012 du délégué régional
  • 1 fiche rappelant  les 35 propositions du Pacte pour les droits et la citoyenneté,
  • 4 fiches comportant un bulletin d’adhésion et détaillant les propositions de la LDH dans les domaines du logement (« et toi, où habites-tu ? »,), de l’accueil des étrangers, de la justice sociale (« et moi, je fais comment pour vivre ? »), la démocratie,

est remis à chaque participant.

Rapport moral et d’orientation du délégué régional

Adopté à l’unanimité, le rapport moral a suscité quelques échanges :

  • sur le financement des sections : si nos cotisations  garantissent notre indépendance, faisant essentiellement dépendre nos finances et celles de l’association en général  de nos campagnes d’adhésion, nous pouvons tout à fait légitimement prétendre à l’attribution de subventions par nos municipalités. Gérard nous a une nouvelle fois, vivement encouragés à le faire en nous engageant à prévoir une ligne budgétaire : « frais de siège » à hauteur de 5% du budget de chaque projet (cf. rapport financier du congrès de Reims) pour tenir compte du fait que le siège participe à nos actions par son expertise.

Concernant les cotisations, les prélèvements automatiques s’avérant un peu plus avantageux pour les sections, il nous a été conseillé d’inciter nos membres à choisir ce mode de versement     qui constitue, par ailleurs, une sécurité pour le national (comme pour nos sections).

Il est demandé aux présidents de mettre la question des finances et des adhésions à l’ordre du jour de chaque réunion et surtout pas en « questions diverses », et de tendre     à ce que les cotisations soient encaissées dès le début de l’année.

  • Sur la nécessité d’élargir notre recrutement : Daniel Le Péru a fait observer qu’un gros événement peut certes avoir une incidence positive sur le recrutement, mais que pour conserver nos adhérents, il faut veiller à ce que nos sections ne soient pas « des lieux d’intimidation sociale et culturelle »…
  • sur la Biennale de l’Égalité organisée chaque année par le Conseil Régional : « il faut y être, mais il est difficile d’y trouver sa place »…

Rapport financier

Patrick Briend a remercié les sections d’avoir versé leurs cotisations en temps et heure et les a invitées à …continuer ainsi !

L’état des finances régionales ne justifiant pas une augmentation, il a été proposé de maintenir la cotisation des sections à 2€ par membre cotisant au-delà de 5€.

Le rapport financier ainsi que cette proposition ont été adoptés à l’unanimité.

Lorsque s’est engagée une réflexion sur l’incidence de l’absence de remboursement des frais de déplacement sur l’engagement des ligueurs, notamment pour la  participation au Congrès , Nadia Doghramadjian a rappelé que le siège peut adresser aux ligueurs concernés,  une attestation qui leur vaudra une réduction d’impôts, à condition qu’ils fournissent les factures.

Rapport d’activité

Présenté par la secrétaire, le rapport d’activité a également été adopté à l’unanimité.

A la suite du rapport, la parole a été donnée à Jacques Paul auquel les participants ont témoigné leur reconnaissance, au sujet du site de la Région, qu’il tente d’alimenter au quotidien. Jacques a invité les sections à bien lui faire remonter leurs informations, car faute de matière, le site n’est pas assez fréquenté par les internautes à l’heure actuelle. L’ouverture d’une page sur Facebook est envisagée.

Les échanges ont ensuite porté sur le lieu des réunions du comité régional et des assemblées générales (il y en a une autre à prévoir en mai, pour préparer la Convention Nationale).Plusieurs membres se sont fait l’écho d’une demande de diversification des sites de réunion.

Une proposition a été faite pour organiser un événement régional dans un lieu  à soutenir ou à développer.

Gérard a rappelé que pour bénéficier d’une aide financière du Conseil Régional, les actions de formation demandent l’établissement d’un dossier très étoffé à déposer en temps et heure. Nous n’avons pas été en mesure de le faire pour le 28 novembre, faute de propositions, il faudra le déposer au 2d semestre. Les sections sont invitées à formuler leurs propositions, mais déjà sont actées :

  • la reconduction de l’action autour de la gestion financière  (action qui ne sera pas uniquement destinée aux trésoriers, mais à tous ceux que cela peut intéresser), Cette action aura lieu à Lorient.
  • une formation régionale des nouveaux adhérents, ouverte à tous, (à coupler peut-être avec un événement festif?) qui aura lieu à Saint-Brieuc.

Élection du comité régional

Ont été élus à l’unanimité :

  • Gérard Le Ny ( Brest)  : délégué régional
  • Matthieu Stervinou (Quimper) : délégué régional suppléant
  • Patrick Briend (Dinan) : trésorier
  • Xavier Palson (Saint-Brieuc) secrétaire
  • Jeanne Alquier (Dinan)
  • Michelle Paul (Loudéac)    Catherine Aubry (Quimperlé-Riec-Concarneau)
  • Alain Simon (Lorient)
  • Ginette Le Péru (Saint-Brieuc)
  • Stéphane Lenoël (Quimper)
  • Didier Stenfort (Vannes)

N.B : les sections sont notées à titre indicatif ; en effet, les élus du C.R. siègent au titre de la LDH Bretagne (qu’ils représentent). Ils ne représentent pas leur section.

Questions diverses

  • Nadia Doghramadjian  a ouvert les travaux de l’après-midi en demandant notre avis sur le rapport annuel des activités des sections qu’elle a réalisé avec une petite équipe et conçu comme un outil d’information, d’inspiration et d’échange. Cet important  travail a -t-il été apprécié ? S’avère-t-il utile ? Faudra-t-il le reconduire ?
    Gérard le Ny a trouvé ce travail très intéressant pour « situer la Bretagne dans son ensemble », mais à côté des action s menées par les sections, il aimerait y trouver des actions menées par les Régions, en particulier , les démarches financières menées par ces dernières .
    Les participants n’ayant pas connaissance de cet outil, ont été invités à se le procurer au siège.
  • La section de Loudéac informe que Nicolas Ferrand,  réalisateur du film « Amoureux au ban public » (sur les  mariages mixtes et les obstacles qu’ils rencontrent…), lui a proposé d’organiser une projection publique suivie d’un débat. Le budget se limiterait au     remboursement des frais de déplacement, au gîte et au couvert.
  • Les plus grandes difficultés rencontrées par les sections concernant souvent  l’aide à apporter aux sans papiers,  Jeannine Pichavant aimerait pouvoir échanger avec d’autres ligueurs et voir établie une banque de données (adresses. utiles..) Xavier Palson suggère que soit mis en place un réseau intranet. Matthieu Stervinou rappelle que cela a déjà été tenté, sans résultats probants…
  • Sheilla le Nost pense que chaque section a en son sein  un ou des « experts » dans différents domaines et suggère que soient établis un inventaire puis une  liste qui serait communiquée à tous, des ligueurs qui accepteraient d’être sollicités et d’intervenir en cas de besoin…
    Stéphane Lenoël soutient cette idée qui lui semble pouvoir permettre, par ailleurs, de fidéliser des ligueurs ne parvenant pas à trouver leur place dans nos sections.
  • Revenant sur la proposition d’action de formation régionale des nouveaux (et anciens ligueurs), Maryse Butel informe qu’elle a réalisé un document d’une douzaine de pages à l’usage de sa propre section. Et propose de le mettre à la disposition de toutes les sections intéressées.

Avant de se séparer, les membres du nouveau Comité Régional ont décidé de se retrouver à Lorient (Centre Allende) le samedi 10 mars à 10H.

Fait à Concarneau, le 17 janvier 2012

La secrétaire de séance, Michèle DALOZ

Délégation régionale Bretagne : le rapport d’activité

Rapport d’activité du Comité Régional  de Bretagne pour l’Assemblé générale du 14 janvier 2012

Statuts : « Le comité régional a pour fonction de représenter la LDH au niveau régional, de mettre en œuvre l’animation, de favoriser le développement de la LDH et d’appliquer la politique définie par le congrès et par le comité central ».
Depuis les assemblées générales des 20 janvier à Saint-Brieuc et 19 février 2011 à Vannes qui sont à l’origine du présent comité régional, nous nous sommes réunis 3 fois au centre Allende de Lorient :

  • le 19/03 (7 présents)
  • le 25/06 (7 présents)
  • le 10/12 (5 présents)

La première mission fixée par les statuts au comité régional étant :

« Représenter la LDH au niveau régional »

Où en sommes-nous ?

Représentation institutionnelle :

  • Gérard siège à la Conférence Permanente des Coordinations Associatives (CPCA) qui instruit, entre autres, les demandes de subventions des associations pour le compte du Conseil Régional
  • Une présence a été assurée à la journée de l’Économie Sociale et Solidaire organisée par le Conseil Régional
  • Des pistes sont  tracées pour un travail en commun avec le Comité régional des associations de jeunesse et d’éducation populaire

Communication interne et externe :

Nous disposons d’un site alimenté et entretenu par Jacques Paul de Loudéac qui prendra la parole après le rapport d’activité.

  • Les comptes-rendus des réunions sont transmis à tous les présidents de sections pour l’information de la totalité des ligueurs
  • 4 délégués adjoints ont été désignés lors de la réunion du 19 mars :
  • Didier Stenfort pour le Morbihan
  • Matthieu Stervinou pour le Finistère
  • Yves Tréguer pour l’Ille et Vilaine
  • Patrick Briend pour les Côtes d’Armor

avec pour mission de :

  • représenter le DR sur le territoire défini
  • prendre des initiatives pour le développement et la création de nouvelles sections
  • faire l’interface entre le CR et les sections (en lien avec la fédération lorsqu’elle existe)

Et, bien sûr, nous savons combien il demeure essentiel de réagir sur le terrain sur toutes les atteintes aux droits, tant en ce qui concerne les sections que le comité régional qui s’est exprimé une fois, le 19 février, sur les écrits discriminatoires du groupuscule Breiz Atao, sur la scélérate LOPPSI 2 et sur le désengagement de l’États dans la prise en charge des demandeurs d’asile.

2ème mission : « Mettre en œuvres l’animation »

Et ce, dans le cadre et le souci de la mission d’éducation populaire de la LDH.

L’AG du 19 février  a pointé une priorité:

La formation des ligueurs afin qu’ils acquièrent une meilleure connaissance de la LDH pour eux-mêmes mais aussi pour présenter la LDH à l’extérieur et particulièrement dans les établissements scolaires, sachant que les outils manquent pour les interventions dans les écoles primaires, et aussi pour qu’ils se sentent plus à l’aise dans la gestion, notamment financière, de leurs sections.

2 journées de formation ont  été organisées au centre Allende de Lorient :

  • le 17 septembre : Danièle Lochak, professeur émérite,  est intervenue sur  la généalogie des droits de l’Homme, sujet sur lequel elle fait autorité et qu’elle a développé dans de nombreux ouvrages,  devant une salle bien remplie ( 52  présents, mais seulement 9 sections représentées sur 13).
  • Le 12 novembre : formation à la « comptabilité associative » (stratégie et  techniques comptables à l’intention des trésoriers et des présidents des sections. En l’absence de Pierre Adrien  Hingray qui a dû annuler sa venue en raison d’un deuil, Philippe le Goff, trésorier de la section de Lorient et  Gérard le Ny  ont d’abord présenté et commenté le rapport financier national  adopté au congrès de Reims ; l’encadrement de la formation elle-même, a été assuré par Édith Jean, formatrice pour la Ligue de L »Enseignement à la comptabilité associative , assistée par  2 autres membres de la Ligue de l’Enseignement : Stéphane Le Guennec, vice-président  pour la  Bretagne et Valérie Bruce, déléguée générale du Morbihan, ( 12 ligueurs présents et  seulement 6 sections  représentées)

L’évaluation effectuée après chaque formation a montré qu’elles ont toutes deux été très appréciées des participants. Le siège national s’est également montré fort intéressé par ces actions et leurs modalités de mise en oeuvre.

Pour permettre la réalisation de ces actions, une demande de subvention  a été déposée au  Conseil Régional qui a voté l’attribution de 1300€ pour l’action du 17 septembre et de 375€ pour celle du 12 novembre.

  • Un groupe de travail est en train de se mettre en place pour la construction d’outils pédagogiques à l’intention des jeunes élèves. Michelle Paul a accepté de le coordonner et il pourrait travailler en relation avec le groupe national coordonné par Françoise Dumont.

L’objectif de constituer un centre de ressources régional est en marche ( 2 expos à Brest, un petit film à Quimper autour du droit d’ asile…)… Il faut poursuivre.

  • Enfin, le soutien financier de 200€ voté par le comité régional pour la conférence d’Henri Leclerc  prévue le 17 février à Quimper  (Justice et pouvoirs) , ne peut-il être interprété comme un premier pas, parmi les actions possibles,  vers l’organisation d’un événement régional annuel,  conférence-débat, ou autre ? Rappelons que parmi les suggestions des sections, il y avait, entre autres, la mise en oeuvre d’une action le 10 décembre ( date anniversaire de la promulgation de la DUDH et lendemain de celle de la loi de séparation des églises et de l’État,), avec une galette des droits, la suggestion aussi, d’un salon du livre des droits de l’ Homme…

La section de BREST  s’est portée candidate à l’organisation du CONGRES 2013 -après accord de la ville. Le CR soutient cette démarche et  Gérard va intervenir  auprès du CONSEIL REGIONAL pour obtenir un « financement croisé ».

Si cela se fait, ce sera  la première fois dans l’histoire de la LDH qu’un congrès se tiendra en BRETAGNE- La mise en place supposera le soutien des 13 sections de la région….et tout particulièrement  des 5 sections du Finistère.

3ème mission : Favoriser le développement de la LDH

Le travail sur le terrain de chaque section explique l’augmentation continue du nombre d’adhérents en Bretagne . Mais si nous voulons atteindre l’objectif national des 10000 adhérents, il faut accentuer les efforts.

L’idée émise par Gérard de proposer aux sections d’effectuer un travail diagnostique sur leur fonctionnement afin de voir où porter les efforts pour améliorer notre image, (notamment  sortir de l’image « d’asso intello »),  reste à mettre en œuvre.

L’objectif que s’est fixé le Comité régional de la création d’une section par département n’est évidemment pas atteint au terme de cette première année, car cela doit se faire en dehors de toute précipitation. Cela suppose une importante réflexion et une analyse fine pour déterminer les lieux d’implantation.

Appliquer la politique définie par le congrès et par le Comité Central

L’élection de Maryse Butel au Comité Central en cette année 2011 est, de toute évidence,  et à tous égards, un atout réel pour notre région.

Deux priorités se dégagent nettement en cette période électorale où la LDH doit s’engager  en éclairant les citoyens et en les appelant à jouer pleinement leur rôle :

  • le droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales
  • le nouveau pacte pour les droits et la citoyenneté.

Les sections ont été invitées à faire remonter au Comité régional leurs actions dans ces deux domaines. Une action du Comité régional doit-elle être envisagée ? Et si oui, quelle forme pourrait-elle prendre?

Par ailleurs, le comité régional est aussi le lieu où l’on peut réfléchir aux moyens d’améliorer le fonctionnement démocratique  de l’association en général. Vous avez pu lire sur les compte-rendu que ce point a été plusieurs fois évoqué lors de nos réunions ainsi que par Gérard lors de sa participation aux réunions du comité central.

Conclusion

La LDH est certainement plus connue à Paris que dans les régions, où les médias ne se font que trop  rarement l’écho des actions et prises de position nationales. C’est pourquoi les trois échelons de fonctionnement prévus par nos statuts, section, fédération, comité régional ont une égale et forte importance dans l’information, la formation, la stimulation voire le réveil  des citoyens sur l’ensemble du territoire. Poursuivant le même objectif, ces trois instances sont  à la fois complémentaires et indissociables et doivent pouvoir vraiment s’appuyer les unes sur les autres.

Pour l’instance qui nous concerne aujourd’hui, au terme d’une année de participation assidue, je peux témoigner que la volonté existe de faire vivre un comité régional qui remplisse toutes les missions assignées par les statuts, tout  en étant d’une réelle proximité, d’une réelle utilité aux sections. Il faut donc que nous marchions tous ensemble, encore plus ensemble, en totale solidarité avec nos élus, en nous efforçant d’être aussi réactifs que possible lorsqu’ils nous sollicitent pour un avis ou une participation quelconque (je sais, nous sommes déjà tous très investis au service et au sein de nos sections)…C’est une règle que je vais évidemment tenter de bien appliquer moi-même puisque je ne serai plus membre du CR en 2012…

Lorient, le 14 janvier 2012

La secrétaire, Michèle DALOZ

Rapport d’activité du Comité Régional  de Bretagne
pour l’AG du 14 janvier 2012Statuts : « Le comité régional a pour fonction de représenter la LDH au niveau régional, de mettre en œuvre l’animation, de favoriser le développement de la LDH et d’appliquer la politique définie par le congrès et par le comité central ».
Depuis les assemblées générales des 20 janvier à Saint-Brieuc et 19 février 2011 à Vannes qui sont à l’origine du présent comité régional, nous nous sommes réunis 3 fois au centre Allende de Lorient :
•    le 19/03 (7 présents)
•    le 25/06 (7 présents)
•    le 10/12 (5 présents)
La première mission fixée par les statuts au comité régional étant :
« Représenter la LDH au niveau régional »
Où en sommes-nous ?
Représentation institutionnelle :
    Gérard siège à la Conférence Permanente des Coordinations Associatives (CPCA) qui instruit, entre autres, les demandes de subventions des associations pour le compte du Conseil Régional
    Une présence a été assurée à la journée de l’Économie Sociale et Solidaire organisée par le Conseil Régional
    Des pistes sont  tracées pour un travail en commun avec le Comité régional des associations de jeunesse et d’éducation populaire
Communication interne et externe :
Nous disposons d’un site alimenté et entretenu par Jacques Paul de Loudéac qui prendra la parole après le rapport d’activité.
•    Les comptes-rendus des réunions sont transmis à tous les présidents de sections pour l’information de la totalité des ligueurs
•    4 délégués adjoints ont été désignés lors de la réunion du 19 mars :
•    Didier Stenfort pour le Morbihan
•    Matthieu Stervinou pour le Finistère
•    Yves Tréguer pour l’Ille et Vilaine
•    Patrick Briend pour les Côtes d’Armor
avec pour mission de :
•    représenter le DR sur le territoire défini
•    prendre des initiatives pour le développement et la création de nouvelles sections
•    faire l’interface entre le CR et les sections (en lien avec la fédération lorsqu’elle existe)
Et, bien sûr, nous savons combien il demeure essentiel de réagir sur le terrain sur toutes les atteintes aux droits, tant en ce qui concerne les sections que le comité régional qui s’est exprimé une fois, le 19 février, sur les écrits discriminatoires du groupuscule Breiz Atao, sur la scélérate LOPPSI 2 et sur le désengagement de l’Etat dans la prise en charge des demandeurs d’asile. .
2ème mission :
« Mettre en oeuvre l’animation »
Et ce, dans le cadre et le souci de la mission d’éducation populaire de la LDH.
L’AG du 19 février  a pointé une priorité:
La formation des ligueurs afin qu’ils acquièrent une meilleure connaissance de la LDH pour eux-mêmes mais aussi pour présenter la LDH à l’extérieur et particulièrement dans les établissements scolaires, sachant que les outils manquent pour les interventions dans les écoles primaires, et aussi pour qu’ils se sentent plus à l’aise dans la gestion, notamment financière, de leurs sections,
     2 journées de formation ont  été organisées au centre Allende de Lorient :
    le 17 septembre : Danièle Lochak, professeur émérite,  est intervenue sur  la généalogie des droits de l’Homme, sujet sur lequel elle fait autorité et qu’elle a développé dans de nombreux ouvrages,  devant une salle bien remplie ( 52  présents,     mais seulement 9 sections représentées sur 13).
    Le 12 novembre : formation à la « comptabilité associative » (stratégie et  techniques comptables à l’intention des trésoriers et des présidents des sections. En l’absence de Pierre Adrien  Hingray qui a dû annuler sa venue en raison d’un deuil, Philippe le Goff, trésorier de la section de Lorient et  Gérard le Ny  ont d’abord présenté et commenté le rapport financier national  adopté au congrès de Reims ; l’encadrement de la formation elle-même, a été assuré par Édith Jean, formatrice pour la Ligue de L »Enseignement à la comptabilité associative , assistée par  2 autres membres de la Ligue de l’Enseignement : Stéphane Le Guennec, vice-président  pour la  Bretagne et Valérie Bruce, déléguée générale du Morbihan, ( 12 ligueurs présents et  seulement 6 sections  représentées)
L’évaluation effectuée après chaque formation a montré qu’elles ont toutes deux été très appréciées des participants. Le siège national s’est également montré fort intéressé par ces actions et leurs modalités de mise en oeuvre.
Pour permettre la réalisation de ces actions, une demande de subvention  a été déposée au  Conseil Régional qui a voté l’attribution de 1300€ pour l’action du 17 septembre et de 375€ pour celle du 12 novembre.
    Un groupe de travail est en train de se mettre en place pour la construction d’outils pédagogiques à l’intention des jeunes élèves. Michelle Paul a accepté de le coordonner et il pourrait travailler en relation avec le groupe national coordonné par Françoise Dumont.
    L’objectif de constituer un centre de ressources régional est en marche ( 2 expos à Brest, un petit film à Quimper autour du droit d’ asile…)… Il faut poursuivre.
Enfin, le soutien financier de 200€ voté par le comité régional pour la conférence d’Henri Leclerc  prévue le 17 février à Quimper  (Justice et pouvoirs) , ne peut-il être interprété comme un premier pas, parmi les actions possibles,  vers l’organisation d’un événement régional annuel,  conférence-débat, ou autre ? Rappelons que parmi les suggestions des sections, il y avait, entre autres, la mise en oeuvre d’une action le 10 décembre ( date anniversaire de la promulgation de la DUDH et lendemain de celle de la loi de séparation des églises et de l’État,), avec une galette des droits, la suggestion aussi, d’un salon du livre des droits de l’ Homme…
    La section de BREST  s’est portée candidate à l’organisation du CONGRES 2013 -après accord de la ville. Le CR soutient cette démarche et  Gérard va intervenir  auprès du CONSEIL REGIONAL pour obtenir un « financement croisé ».
Si cela se fait, ce sera  la première fois dans l’histoire de la LDH qu’un congrès se tiendra en BRETAGNE- La mise en place supposera le soutien des 13 sections de la région….et tout particulièrement  des 5 sections du Finistère.
3ème mission :
Favoriser le développement de la LDH
Le travail sur le terrain de chaque section explique l’augmentation continue du nombre d’adhérents en Bretagne . Mais si nous voulons atteindre l’objectif national des 10000 adhérents, il faut accentuer les efforts. L’idée émise par Gérard de proposer aux sections d’effectuer un travail diagnostique sur leur fonctionnement afin de voir où porter les efforts pour améliorer notre image, (notamment  sortir de l’image « d’asso intello »),  reste à mettre en œuvre.
L’objectif que s’est fixé le Comité régional de la création d’une section par département n’est évidemment pas atteint au terme de cette première année, car cela doit se faire en dehors de toute précipitation. Cela suppose une importante réflexion et une analyse fine pour déterminer les lieux d’implantation.
Appliquer la politique définie par le congrès et par le Comité Central
L’élection de Maryse Butel au Comité Central en cette année 2011 est, de toute évidence,  et à tous égards, un atout réel pour notre région.
Deux priorités se dégagent nettement en cette période électorale où la LDH doit s’engager  en éclairant les citoyens et en les appelant à jouer pleinement leur rôle :
    le droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales
    le nouveau pacte pour les droits et la citoyenneté.
Les sections ont été invitées à faire remonter au Comité régional leurs actions dans ces deux domaines. Une action du Comité régional doit-elle être envisagée ? Et si oui, quelle forme pourrait-elle prendre?
Par ailleurs, le comité régional est aussi le lieu où l’on peut réfléchir aux moyens d’améliorer le fonctionnement démocratique  de l’association en général. Vous avez pu lire sur les compte-rendu que ce point a été plusieurs fois évoqué lors de nos réunions ainsi que par Gérard lors de sa participation aux réunions du comité central.
Conclusion
La LDH est certainement plus connue à Paris que dans les régions, où les médias ne se font que trop  rarement l’écho des actions et prises de position nationales. C’est pourquoi les trois échelons de fonctionnement prévus par nos statuts, section, fédération, comité régional ont une égale et forte importance dans l’information, la formation, la stimulation voire le réveil  des citoyens sur l’ensemble du territoire. Poursuivant le même objectif, ces trois instances sont  à la fois complémentaires et indissociables et doivent pouvoir vraiment s’appuyer les unes sur les autres.
Pour l’instance qui nous concerne aujourd’hui, au terme d’une année de participation assidue, je peux témoigner que la volonté existe de faire vivre un comité régional qui remplisse toutes les missions assignées par les statuts, tout  en étant d’une réelle proximité, d’une réelle utilité aux sections. Il faut donc que nous marchions tous ensemble, encore plus ensemble, en totale solidarité avec nos élus, en nous efforçant d’être aussi réactifs que possible lorsqu’ils nous sollicitent pour un avis ou une participation quelconque (je sais, nous sommes déjà tous très investis au service et au sein de nos sections)…C’est une règle que je vais évidemment tenter de bien appliquer moi-même puisque je ne serai plus membre du CR en 2012…

La secrétaire,
Michèle DALOZ

Rapport d’activité du Comité Régional  de Bretagne
pour l’AG du 14 janvier 2012

Statuts : « Le comité régional a pour fonction de représenter la LDH au niveau régional, de mettre en œuvre l’animation, de favoriser le développement de la LDH et d’appliquer la politique définie par le congrès et par le comité central ».
Depuis les assemblées générales des 20 janvier à Saint-Brieuc et 19 février 2011 à Vannes qui sont à l’origine du présent comité régional, nous nous sommes réunis 3 fois au centre Allende de Lorient :
•    le 19/03 (7 présents)
•    le 25/06 (7 présents)
•    le 10/12 (5 présents)
La première mission fixée par les statuts au comité régional étant :
« Représenter la LDH au niveau régional »
Où en sommes-nous ?
Représentation institutionnelle :
    Gérard siège à la Conférence Permanente des Coordinations Associatives (CPCA) qui instruit, entre autres, les demandes de subventions des associations pour le compte du Conseil Régional
    Une présence a été assurée à la journée de l’Économie Sociale et Solidaire organisée par le Conseil Régional
    Des pistes sont  tracées pour un travail en commun avec le Comité régional des associations de jeunesse et d’éducation populaire
Communication interne et externe :
Nous disposons d’un site alimenté et entretenu par Jacques Paul de Loudéac qui prendra la parole après le rapport d’activité.
•    Les comptes-rendus des réunions sont transmis à tous les présidents de sections pour l’information de la totalité des ligueurs
•    4 délégués adjoints ont été désignés lors de la réunion du 19 mars :
•    Didier Stenfort pour le Morbihan
•    Matthieu Stervinou pour le Finistère
•    Yves Tréguer pour l’Ille et Vilaine
•    Patrick Briend pour les Côtes d’Armor
avec pour mission de :
•    représenter le DR sur le territoire défini
•    prendre des initiatives pour le développement et la création de nouvelles sections
•    faire l’interface entre le CR et les sections (en lien avec la fédération lorsqu’elle existe)
Et, bien sûr, nous savons combien il demeure essentiel de réagir sur le terrain sur toutes les atteintes aux droits, tant en ce qui concerne les sections que le comité régional qui s’est exprimé une fois, le 19 février, sur les écrits discriminatoires du groupuscule Breiz Atao, sur la scélérate LOPPSI 2 et sur le désengagement de l’Etat dans la prise en charge des demandeurs d’asile. .
2ème mission :
« Mettre en oeuvre l’animation »
Et ce, dans le cadre et le souci de la mission d’éducation populaire de la LDH.
L’AG du 19 février  a pointé une priorité:
La formation des ligueurs afin qu’ils acquièrent une meilleure connaissance de la LDH pour eux-mêmes mais aussi pour présenter la LDH à l’extérieur et particulièrement dans les établissements scolaires, sachant que les outils manquent pour les interventions dans les écoles primaires, et aussi pour qu’ils se sentent plus à l’aise dans la gestion, notamment financière, de leurs sections,
     2 journées de formation ont  été organisées au centre Allende de Lorient :
    le 17 septembre : Danièle Lochak, professeur émérite,  est intervenue sur  la généalogie des droits de l’Homme, sujet sur lequel elle fait autorité et qu’elle a développé dans de nombreux ouvrages,  devant une salle bien remplie ( 52  présents,     mais seulement 9 sections représentées sur 13).
    Le 12 novembre : formation à la « comptabilité associative » (stratégie et  techniques comptables à l’intention des trésoriers et des présidents des sections. En l’absence de Pierre Adrien  Hingray qui a dû annuler sa venue en raison d’un deuil, Philippe le Goff, trésorier de la section de Lorient et  Gérard le Ny  ont d’abord présenté et commenté le rapport financier national  adopté au congrès de Reims ; l’encadrement de la formation elle-même, a été assuré par Édith Jean, formatrice pour la Ligue de L »Enseignement à la comptabilité associative , assistée par  2 autres membres de la Ligue de l’Enseignement : Stéphane Le Guennec, vice-président  pour la  Bretagne et Valérie Bruce, déléguée générale du Morbihan, ( 12 ligueurs présents et  seulement 6 sections  représentées)
L’évaluation effectuée après chaque formation a montré qu’elles ont toutes deux été très appréciées des participants. Le siège national s’est également montré fort intéressé par ces actions et leurs modalités de mise en oeuvre.
Pour permettre la réalisation de ces actions, une demande de subvention  a été déposée au  Conseil Régional qui a voté l’attribution de 1300€ pour l’action du 17 septembre et de 375€ pour celle du 12 novembre.
    Un groupe de travail est en train de se mettre en place pour la construction d’outils pédagogiques à l’intention des jeunes élèves. Michelle Paul a accepté de le coordonner et il pourrait travailler en relation avec le groupe national coordonné par Françoise Dumont.
    L’objectif de constituer un centre de ressources régional est en marche ( 2 expos à Brest, un petit film à Quimper autour du droit d’ asile…)… Il faut poursuivre.
Enfin, le soutien financier de 200€ voté par le comité régional pour la conférence d’Henri Leclerc  prévue le 17 février à Quimper  (Justice et pouvoirs) , ne peut-il être interprété comme un premier pas, parmi les actions possibles,  vers l’organisation d’un événement régional annuel,  conférence-débat, ou autre ? Rappelons que parmi les suggestions des sections, il y avait, entre autres, la mise en oeuvre d’une action le 10 décembre ( date anniversaire de la promulgation de la DUDH et lendemain de celle de la loi de séparation des églises et de l’État,), avec une galette des droits, la suggestion aussi, d’un salon du livre des droits de l’ Homme…
    La section de BREST  s’est portée candidate à l’organisation du CONGRES 2013 -après accord de la ville. Le CR soutient cette démarche et  Gérard va intervenir  auprès du CONSEIL REGIONAL pour obtenir un « financement croisé ».
Si cela se fait, ce sera  la première fois dans l’histoire de la LDH qu’un congrès se tiendra en BRETAGNE- La mise en place supposera le soutien des 13 sections de la région….et tout particulièrement  des 5 sections du Finistère.
3ème mission :
Favoriser le développement de la LDH
Le travail sur le terrain de chaque section explique l’augmentation continue du nombre d’adhérents en Bretagne . Mais si nous voulons atteindre l’objectif national des 10000 adhérents, il faut accentuer les efforts. L’idée émise par Gérard de proposer aux sections d’effectuer un travail diagnostique sur leur fonctionnement afin de voir où porter les efforts pour améliorer notre image, (notamment  sortir de l’image « d’asso intello »),  reste à mettre en œuvre.
L’objectif que s’est fixé le Comité régional de la création d’une section par département n’est évidemment pas atteint au terme de cette première année, car cela doit se faire en dehors de toute précipitation. Cela suppose une importante réflexion et une analyse fine pour déterminer les lieux d’implantation.
Appliquer la politique définie par le congrès et par le Comité Central
L’élection de Maryse Butel au Comité Central en cette année 2011 est, de toute évidence,  et à tous égards, un atout réel pour notre région.
Deux priorités se dégagent nettement en cette période électorale où la LDH doit s’engager  en éclairant les citoyens et en les appelant à jouer pleinement leur rôle :
    le droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales
    le nouveau pacte pour les droits et la citoyenneté.
Les sections ont été invitées à faire remonter au Comité régional leurs actions dans ces deux domaines. Une action du Comité régional doit-elle être envisagée ? Et si oui, quelle forme pourrait-elle prendre?
Par ailleurs, le comité régional est aussi le lieu où l’on peut réfléchir aux moyens d’améliorer le fonctionnement démocratique  de l’association en général. Vous avez pu lire sur les compte-rendu que ce point a été plusieurs fois évoqué lors de nos réunions ainsi que par Gérard lors de sa participation aux réunions du comité central.
Conclusion
La LDH est certainement plus connue à Paris que dans les régions, où les médias ne se font que trop  rarement l’écho des actions et prises de position nationales. C’est pourquoi les trois échelons de fonctionnement prévus par nos statuts, section, fédération, comité régional ont une égale et forte importance dans l’information, la formation, la stimulation voire le réveil  des citoyens sur l’ensemble du territoire. Poursuivant le même objectif, ces trois instances sont  à la fois complémentaires et indissociables et doivent pouvoir vraiment s’appuyer les unes sur les autres.
Pour l’instance qui nous concerne aujourd’hui, au terme d’une année de participation assidue, je peux témoigner que la volonté existe de faire vivre un comité régional qui remplisse toutes les missions assignées par les statuts, tout  en étant d’une réelle proximité, d’une réelle utilité aux sections. Il faut donc que nous marchions tous ensemble, encore plus ensemble, en totale solidarité avec nos élus, en nous efforçant d’être aussi réactifs que possible lorsqu’ils nous sollicitent pour un avis ou une participation quelconque (je sais, nous sommes déjà tous très investis au service et au sein de nos sections)…C’est une règle que je vais évidemment tenter de bien appliquer moi-même puisque je ne serai plus membre du CR en 2012…

La secrétaire,
Michèle DALOZ

Le nouveau comité régional Bretagne

Gérard Le Ny, délégué régional Bretagne.

L’assemblée générale de la délégation Bretagne de la Ligue des droits de l’Homme a élu, samedi 14 janvier à Lorient, son nouveau comité régional, composé de 11 membres issus de l’ensemble des sections bretonnes. L’assemblée générale a reconduit Gérard Le Ny au poste de délégué régional. Il retrouve Patrick Briend, de la section de Dinan, au poste de trésorier, tandis que Xavier Palson (Saint-Brieuc) remplace Michèle Dalloz au poste de secrétaire. Matthieu Stervinou (Quimper) sera délégué régional suppléant, un poste nouveau créé par le congrès de Reims.

Composition du comité régional :

L’assemblée générale du comité régional de la Ligue des Droits de l’Homme a reconduit, à l’unanimité, samedi 14 janvuer 2012, Gérard Le Ny, de la section de Brest métropole Océane au poste de délégué régional.

Il est entouré de Patrick Briend, de Dinan, trésorier, Xavier Palson, section de Saint-Brieuc, secrétaire, et Mathieu Stervinou, de la section de Quimper, délégué suppléant.

Le comité régional est composé statutairement de onze personnes :

  • Jeanine Alquier, section de Dinan (22)
  • Catherine Aubry, section de Concarneau (29)
  • Patrick Briend, section de Dinan (22)
  • Gérard Le Ny, section de Brest (29)
  • Ginette Le Péru, section de Saint-Brieuc (22)
  • Stéphane Le Noël, section de Quimper (29)
  • Xavier Palson, section de Saint-Brieuc (22)
  • Michelle Paul, section de Loudéac centre Bretagne (22)
  • Alain Simon, section de Lorient (56)
  • Didier Stenfort, section de Vannes (56)
  • Matthieu Stervinou, section de Quimper (29)

Un livret d’accueil pour les nouveaux Ligueurs

Une nouveauté sur ce site : le livret d’accueil des nouveaux ligueurs.

Réalisé par Maryse Butel, ancienne présidente de la section de Lorient, et membre du comité central de la Ligue des droits l’Homme, il présente la LDH, ses buts, ses combats, les moyens dont elle dispose, et propose plein d’autres informations. Il se trouve sur la page « Livret d’accueil du nouveau Ligueur », et sera accessible en permanence dans le menu de la colonne de gauche.

Il s’adresse prioritairement, comme son titre l’indique, aux nouveaux adhérents, mais peut aussi intéresser ceux qui ont l’intention d’adhérer, ou qui hésitent à le faire.

N’hésitez pas à le faire connaître ! Il sera prochainement disponible en téléchargement.