Victor Basch, journée d’études, Paris 11 mai

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(organisée par le  Centre Victor Basch,  EA 3552, Université Paris  Sorbonne)
VICTOR  BASCH  : ESTHÉTIQUE ET SCIENCE DE L’ART
Maison de la Recherche, 28 rue Serpente,   Salle D 035
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En 1944,  il soutint en 1897 une étonnante thèse intitulée
Essai critique sur l’esthétique de Kant.  Bien au -delà de ce que le titre annonçait, on y trouvait la plus vaste introduction aux esthétiques européennes du XIXe  siècle, méconnu
es en France, et la tentative de fonder philosophiquement une esthétique expérimentale
et scientifique. C’est seulement en 1919 qu’il devint Professeur d’esthétique et de science de l’art, à la Sorbonne, et ce fut le premier cours de ce genre dans l’Université française
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programme complet  cliquer ici

Cette journée sera dédiée à la mémoire de Jacqueline Lichtenstein, fondatrice du Centre Victor Basch.

 

 

La vie citoyenne européenne, tables rondes, Paris 18, 4 mai

Deux tables-rondes d’une heure et demi chacune autour des élections européennes à venir.

organisées  par la LDH Paris 18, au côté du 18e du Mois

Première table ronde autour de la vie citoyenne européenne puis de la question de l’asile et de l’immigration en Europe

Animatrice : Mme Marie-Christine Vergiat, députée européenne sortante
– Parti communiste français Mme Sophia Hocini
– Parti socialiste européen (Parti socialiste et Place publique) et alliés
– Parti populaire européen (Les Républicains)
– Maintenant le peuple (La France insoumise et la Gauche républicaine et socialiste) M William Martinet

Deuxième table ronde autour de l’écologie puis de la question de l’asile et de l’immigration en Europe

Animateur : M Noël Bouttier, journaliste au 18e du mois
– La République en marche, Mouvement démocrate et Agir
– Printemps européen (Génération.s) Mme Atte Oksanen
– Parti vert européen (Europe Écologie Les Verts) M David Cormand

 

le samedi 4 mai à 14h30
à la Maison Verte, 127 rue Marcadet 75018 Paris, métro Jules Joffrin (12) 

 

 


LDH Paris 18 – 15 passage Ramey 75018 Paris
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Twitter @LdhParis18
07 82 67 32 19

LIBERTÉ DE MANIFESTER : ABROGATION DE LA LOI – manifestation samedi 13 avril

Manifestation  à Paris  –  14 heures – Samedi 13 avril

La LDH  sera en tête de cortège,

apportez vos banderoles, drapeaux, badges,  et pancartes  

 
 
carte interactive des manifestations ici 
Lisez le guide du manifestant ici 

 

Communiqué commun signé par plus de 50 organisations

Si la loi est votée par le Parlement au nom du peuple français, elle ne peut et elle ne doit pas porter atteinte à la libre expression du peuple. La loi adoptée par l’Assemblée nationale qui prétend encadrer le droit de manifester reste, malgré la censure partielle du Conseil constitutionnel, une atteinte grave aux libertés publiques et à l’équilibre des pouvoirs.

Les violences contre les personnes, les biens, les institutions qui ont eu lieu ne peuvent justifier qu’un exécutif s’arroge des pouvoirs exorbitants. Participer à une manifestation ne saurait signifier le risque pour chacun et chacune d’entre nous d’être poursuivi, fiché et condamné pénalement comme financièrement.

Soumettre les participants et les participantes à une manifestation à une fouille systématique, faire d’un visage en partie couvert un délit, persister dans l’usage d’armes qui mutilent, voici l’esprit et la lettre de mesures qui sont autant d’empêchements à l’exercice d’un droit essentiel en démocratie : celui de manifester publiquement, collectivement et pacifiquement son opinion.

Cette loi de circonstance porte un lourd risque d’arbitraire des gouvernements d’aujourd’hui comme de demain, nous en demandons l’abrogation. C’est pourquoi nous appelons à manifester partout en France le samedi 13 avril 2019.

Une conférence de presse se tiendra au siège de la Ligue des droits de l’Homme

(138 rue Marcadet 75018 Paris) le jeudi 11 avril à 11h.

Paris, le 8 avril 2019

Signataires : Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (Acat) ; Amnesty international France ; Association des Tunisiens en France (ATF) ; Association européenne pour la défense des droits de l’Homme (AEDH) ; Agir ensemble pour les droits de l’Homme ; Association France Palestine solidarité (AFPS) ; Attac ; Centre de recherche et d’information pour le développement (Crid) ; Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT) ; Confédération générale du travail (CGT) ; Confédération paysanne ; Confédération nationale du logement (CNL) ; Droit solidarité ; Emmaüs France ; EuroMed Droits ; Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE) ; Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR) ; Fédération française des motards en colère (FFMC) ; Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL) ; Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) ; Fédération nationale de la Libre pensée ; Fédération nationale des Francas ; Fédération syndicale unitaire (FSU) ; Femmes Egalité ; France Nature Environnement (FNE) ; Gilets jaunes de Commercy ; Gilets jaunes signataires ; Greenpeace ; La Cimade ; La Quadrature du Net (LQDN) ; Le Planning familial ; Les Amis de la Terre France ; Les Effronté-e-s ; Ligue de l’enseignement ; Ligue des droits de l’Homme (LDH) ; Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap) ; Mouvement national lycéen (MNL) ; Mouvement pour une alternative non-violente Ile-de-France (MAN) ; Oxfam France ; Pas sans nous ! ; Réseau Euro-Maghrébin citoyenneté et culture (REMCC) ; SOS Racisme ; Syndicat de la magistrature (SM) ; Syndicat des avocats de France (SAF) ; Syndicat national des journalistes (SNJ) ; Syndicat national des personnels de l’éducation et du social (SNPES PJJ/FSU) ; Union juive française pour la paix (UJFP) ; Union nationale des étudiants de France (Unef) ; Union nationale lycéenne (UNL) ;  Union des Tunisiens pour l’action citoyenne (UTAC).

« Égaux, égales, personne n’est illégal ! » Pour la régularisation et l’égalité des droits – migrants

Lancement de la campagne unitaire

Nous, Collectifs de Sans-papiers et MigrantEs, Syndicats, et Associations, appelons à démarrer une grande campagne pour réclamer la régularisation de tous et toutes les sans-papiers et l’égalité des droits par des rassemblements dans tout le pays devant les préfectures et le ministère de l’intérieur en Île-de-France à 18h.

Dans un contexte de montée des nationalismes, des racismes et des fascismes partout en Europe et dans le monde ;

Alors que des dizaines de milliers de femmes, hommes et enfants sont mortEs et meurent encore sur les routes de la migration victimes des frontières et des politiques anti-migratoires des gouvernements des pays les plus riches de la planète et de leurs complices.

« Égaux, égales, personne n’est illégal ! »
Pour la régularisation et l’égalité des droits – migrants

 

rendez vous LDH Paris –  Place de la Madeleine devant  Decathlon (angle Bd des Capucines) 

 

Seule la liberté de circulation, la fermeture des centres de rétention, la régularisation de toutes et tous les sans-papiers et l’égalité des droits nous permettront d’en finir avec ces mortEs.

Nous nous rassemblerons partout en France le 3 avril pour lancer une grande campagne nationale afin d’obtenir la régularisation de tous et toutes les sans-papiers et l’égalité des droits.

Seules la régularisation de toutes et tous les sans-papiers et l’égalité des droits nous permettront de mettre fin à la concurrence entre travailleurs et travailleuses organisée par le grand patronat.

C’est la précarisation générale, la remise en cause des acquis sociaux par les politiques d’austérité menées par nos gouvernants qui nourrissent les sentiments de mal-être et de repli sur soi dans la population. C’est en luttant ensemble que nous pourrons nous battre efficacement pour une société meilleure et égalitaire.

Appel unitaire à la Marche du siècle, Paris, Place de l’Opéra, 16 mars

16 mars : rendez-vous à la Marche du siècle !

Appel de 140 organisations,

marcher partout en France le 16 mars 2019 !

Notre contestation a éclos à l’automne. En hiver, sa croissance a été historique. Au printemps, elle change d’échelle. Il n’y a plus de saisons.

Nous sommes aujourd’hui des millions, prêt·es à résister, à déployer les alternatives, à demander des comptes au gouvernement, aux multinationales, aux banques et aux institutions financières.

Il est temps de changer de système industriel, politique et économique, pour protéger l’environnement, la société et les individus.

Nous devons réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre dès maintenant pour limiter le réchauffement global à 1,5°C. Nous devons préserver la biodiversité, alors que nous vivons une sixième extinction de masse. Nous devons renouveler la démocratie et contraindre les décideurs et décideuses à protéger les intérêts de toutes et tous plutôt que ceux de quelques un·es. Nous devons répartir les richesses pour obtenir la justice sociale, afin de garantir une existence digne pour chacun·e. Fin du monde et fin du mois relèvent du même combat.

Nous voulons combattre les dérèglements climatiques, nous voulons combattre la violence sociale et nous refusons toute forme de répression ou de discrimination.

Se déplacer, se nourrir, se loger, se chauffer, produire, consommer autrement est possible : autant de propositions alternatives que les décideurs politiques et économiques retardent et empêchent au nom d’intérêts particuliers qui nous conduisent dans le mur.

Notre printemps sera climatique et social. Le 15 mars, la jeunesse sera en grève partout en France et dans le monde. Le 16 mars, nous marcherons ensemble, pour dire « ça suffit ! » et demander des changements immédiats.

Paris, le 6 mars 2019

 

Rassemblement festif, 8 mars à 15h40, Place de la République

La Fédération de Paris LDH  se joint à l’appel de nombreuses organisations : 

 le 8 mars Place de la République . 

 

Le 8 mars à 15h40, c’est l’heure des comptes.

Retrouvons-nous à 15h40 place de la République à Paris pour un rassemblement festif autour de représentantes du mouvement féministe à l’international : espagnoles, brésiliennes, kurdes, italiennes. Seront également présentes des femmes turques en grève contre Yves Rocher.

Nous organiserons une chaîne humaine.
Nous nous retrouverons ensuite à la Bourse du Travail.

Rendez vous Fédération de Paris 

avec badges et drapeaux  ( et  couleur violette) 

devant Habitat, 15h30 

Pourquoi le 8 mars

Aujourd’hui, en France, le salaire des femmes est inférieur à 26% à celui des hommes.

Métiers mal reconnus et rémunérés et pourtant indispensables à la société exercés par des femmes, temps partiels subis, « discrimination pure »…

Rapporté à une journée, c’est comme si chaque femme travaillait gratuitement à partir de 15h40. Sympa, non ?

Et c’est sans parler des 20h de tâches ménagères par semaine et des violences sexistes et sexuelles qui visent à inférioriser les femmes.

Collectivement, nous pouvons dire stop.

Ensemble, demandons que notre travail soit reconnu et rémunéré à sa juste valeur.

Le 8 mars, envoyons un message à nos employeurs et au gouvernement. Exigeons l’égalité salariale.

Faisons grève à 15h40, et affichons la couleur en portant un foulard violet.

 

Partout dans le monde et quelle que soit la diversité des conditions féminines, les femmes ont toujours des droits à conquérir et à défendre. Le 8 mars, Journée internationale de lutte pour les droits des femmes – et non pas « Journée de la femme », comme on l’entend trop souvent –, est l’occasion de rappeler ce combat constant, quotidien et universel.

Un long chemin reste à parcourir, y compris dans les pays où les droits des femmes semblent mieux reconnus mais où les structures de pouvoir, les représentations, les pratiques témoignent de la vivacité et des résistances du patriarcat.

Si, en France, les droits des femmes ont été progressivement reconnus par de nombreuses lois visant à assurer la parité en politique, à promouvoir l’égalité professionnelle et à lutter contre les violences sexuelles et sexistes, de nombreuses inégalités perdurent. Aujourd’hui encore, les femmes s’acquittent de la majorité des tâches ménagères et des soins des enfants et des parents âgés ; après un divorce ou une séparation, les femmes qui assument plus souvent la garde des enfants, plongent fréquemment dans des situations d’une grande précarité ; dans le monde professionnel, leur salaire est toujours moins élevé que celui des hommes et les tâches qui leur sont assignées sont moins valorisées ; elles sont les principales victimes des violences conjugales ; elles subissent toujours le contrôle de leur corps, de leurs vêtements, de leur apparence en particulier dans l’espace public, où les insultes et remarques des hommes agissent comme des rappels à l’ ordre social… Le succès de #Metoo en témoigne : partout le sexisme est banalisé et la parole des femmes ignorée, censurée, méprisée… Les récentes révélations sur la Ligue du LOL montrent, une fois de plus, qu’aucun milieu n’est épargné.

Nulle part les droits des femmes ne sont définitivement acquis : en Europe, les femmes voient le droit à la maîtrise de leur corps remis en cause par des forces conservatrices. Ailleurs, des femmes luttent encore pour des droits fondamentaux comme le respect de l’intégrité de leur corps, de leurs choix matrimoniaux, comme l’accès à l’emploi, à des droits familiaux qui ne les réduisent pas à l’état de mineures, à l’égalité dans l’héritage etc.

La LDH entend continuer à dénoncer et à combattre tous les mécanismes inégalitaires qui se fondent sur une différenciation et une hiérarchisation du féminin et du masculin, c’est-à-dire sur le genre. C’est sur tous les terrains qu’il faut lutter contre les inégalités de genre, celui du droit et de la justice bien sûr, mais aussi celui des politiques publiques, des politiques menées au sein des entreprises, de l’éducation, de la formation professionnelle et de la culture. Car la lutte pour l’égalité femmes-hommes, ce n’est pas seulement convaincre, ce n’est pas seulement punir les auteurs de harcèlement ou de violences, c’est changer radicalement de rapport au monde, à l’autre, et de valeurs dans la société.

Paris, le 6 mars 2019

Les soutiens
ActionAid France-Peuples Solidaires, Association Nationale des Etudes Féministes, Attac, CADAC, CGT, Chiennes de Garde, Collectif Civg Tenon, Collectif féministe Ruptures, Collectif National pour les Droits des Femmes, CQFD Lesbiennes féministes, En avant toute(s), Fédération Nationale Solidarité Femmes, Femmes Egalité, Femmes Libres Radio Libertaire, Femmes migrantes debout, Fondation Copernic, FSU, Groupe F, Groupe Femmes Gilets Jaunes, le mouvement, Ligue des Femmes Iraniennes pour la démocratie, Maison des Femmes de Paris, Maison des femmes Thérèse Clerc, Marche Mondiale des Femmes, Mouvement des Femmes Kurdes en France, Mouvement du Nid 75, Osez le féminisme, Planning Familial, Rajfire, SKB, Solidaires, Tou.te.s contre les violences obstétricales et gynécologiques !, Touche Pas à Mon Intermittent.e, UNEF, UNL

Ne laissons pas l’antisémitisme relever la tête. Rassemblement place de la République.

mardi 19 février à 19h : devant le magasin HABITAT,

  angle  Fbg du temple / République

La LDH dans un communiqué du 15 février  appelle à soutenir toutes les initiatives de combat contre l’antisémitisme.
C’est un combat – inutile de le rappeler – qui est au coeur de l’ADN de notre association.
A Paris, un rassemblement est organisé mardi soir à République par 14 partis politiques et non par des associations.
Nombre d’associations et de syndicats ont décidé  d’y appeler également.
Pour les ligueurs et ligueuses parisiennes et franciliennes, qui souhaitent  participer à ce rassemblement en tant que Ligue des droits de l’Homme

 

Le rendez-vous  de la Fédération de Paris est fixé
             devant le magasin HABITAT,  angle  Fbg du temple / République ;
            à 19 heures avec les drapeaux, badges et autres signes distinctifs.

Ciné débat, « POLICE ILLEGITIME VIOLENCE », Paris 12 Commune d’Aligre, 13 février

« POLICE ILLEGITIME VIOLENCE », Documentaire de Marc Ball 

Pour la première fois en France, des adolescents ont porté plainte collectivement pour violences volontaires contre une brigade de police dans le 12ème arrondissement de Paris.

Le procès a révélé la notion d’ « indésirable », présente dans les mains courantes. Une catégorie qui questionne la mission même de la police.

De Paris  12ème jusqu’à la cité Champagne à Argenteuil, citoyens, éducateurs, avocats mais aussi policiers, cherchent une issue, dans le droit, le dialogue ou  dans les mobilisations.

Tous dénoncent le recours systématique à une violence qu’ils considèrent comme illégitime. En suivant leur combat, ce film lève le voile sur les mécanismes de cette violence et les silences qui l’entourent.

Projection suivie d’un débat en présence et avec la participation du
réalisateur  Marc Ball et de la productrice Song Pham
Coproduction Talweg production et France 3 Paris Ile de France Avec le soutien de Public Sénat, du CNC, du Fonds Images de la Diversité – Commissariat général à l’égalité des territoires, de la Procirep-Angoa et de la Fondation Un Monde par tous.