« Pourquoi les droits de l’Homme et les libertés fondamentales sont-ils remis en cause?», Débat Paris 14°, 30 janvier

aux Grands Voisins (salle la Pouponnière)

74 avenue Denfert-Rochereau 75014 Paris

Métro : Denfert-Rochereau – Bus : 38, 68, 88

Le souci de la protection et de l’amélioration des droits de l’Homme et des libertés fondamentales n’a jamais semblé aussi absent des politiques publiques menées ces dernières décennies. Dans un contexte de tensions multiples (menace terroriste, contestation sociale, flux migratoires…), chaque réforme ou évènement d’ampleur donne prétexte à un durcissement législatif et gouvernemental sur ces sujets.

« Pourquoi les droits de l’Homme et les libertés fondamentales sont-ils remis en cause?»

avec Michel TUBIANA,   Président d’honneur de la Ligue des droits de l’Homme

 

Mercredi 30 janvier 2019 de 20h00 à 22h00

 Comment expliquer ce mouvement général ? Les explications sont sans doute multiples, mais des éléments de langage devenus récurrents, sinon systématiques, dans le discours des gouvernants, fournissent une piste d’analyse : l’ « efficacité » et la « rapidité » des procédures sont en effet devenus des maître-mots dans la justification des réformes et actions gouvernementales.

Confrontée à des baisses de moyens (budgets, effectifs…) et libérée d’un Parlement défaillant dans ses missions de contrôle, l’administration parvient désormais à imprégner les réformes successives de ses attentes et raisonnements, au détriment des grands principes. Les récentes réformes de la justice ou des politiques migratoires semblent n’être que les dernières illustrations de ces dérives.

Pour enrichir notre réflexion sur ce sujet nous avons invité Michel Tubiana.

La réunion se terminera par un pot amical, vous pourrez également à l’occasion de cette soirée rejoindre la section LDH Paris 14-6 ou renouveler votre adhésion pour 2019.

 

N’hésitez pas à diffuser l’invitation, nous comptons sur votre présence

Entrée libre dans la limite des places disponibles.

« Vidéosurveillance et reconnaissance faciale », conférence débat, 28 janvier , Paris

Au nom de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme, les pouvoirs publics déploient inexorablement des systèmes de vidéosurveillance dans notre espace public. Alors que leur efficacité peut être sérieusement mise en question, aucune étude d’impact sérieuse n’a été commandée par les pouvoirs publics. La vidéosurveillance ne prévient pas le crime : tout juste produit-elle des déplacements de la délinquance et sert-elle, parfois, à identifier les auteurs des faits après coup.

Malgré les échecs de ces systèmes, il est de plus en plus souvent question d’y adjoindre des systèmes de vidéo-verbalisation ou encore de reconnaissance faciale permettant d’identifier « à la volée » des suspects, d’analyse d’émotions qui permettraient de détecter des suspects en puissance…. De nombreux responsables politiques semblent, dans une obsession du tout sécuritaire, s’inspirer fortement des pratiques de surveillance chinoises  et sans même questionner les usages de ces systèmes qui présentent de véritables dangers pour les libertés.

Pour discuter de ces enjeux et dangers, à l’occasion de la la Journée internationale de la protection des données personnelles, l’Observatoire des Libertés et du Numérique (OLN)* a le plaisir de vous inviter à une conférence intitulée

« Vidéosurveillance et reconnaissance faciale »
Qui se déroulera le lundi 28 janvier 2019, de 19h à 21h
Au sein de la salle Dreyfus – dans les locaux de la Ligue des droits de l’Homme (138 rue Marcadet, 75018 Paris)

Où interviendront :

–       Laurent Muchielli, sociologue et auteur du livre « Vous êtes filmés – enquête sur le bluff de la vidéosurveillance« 

–       et Asma Mhalla, consultante et maitre de conférence à Science Po Paris.

En espérant vous voir nombreuses et nombreux à cette occasion.

Organisations membres de l’OLN : Amnesty International FranceLe CECILCreis-Terminal, Globenet, La Ligue des droits de l’Homme (LDH), La Quadrature du Net (LQDN), Le Syndicat des Avocats de France (SAF), Le Syndicat de la Magistrature (SM).

Ciné débat, Fahavalo, Madagascar 1947, Majestic Bastille 17 février

Les Ecrans de Paris et La fédération de Paris, avec la section Paris 10-11 

vous proposent la projection suivi de d’un débat  de :

Fahavalo, Madagascar 1947,film de Marie-Clémence Andriamonta-Paes,

 

 

Depuis 30 ans, elle et César Paes recueillent des éléments de la culture orale malgache. Son film nous fait rencontrer les derniers témoins de l’insurrection menée, à partir du 27 mars 1947, par les indépendantistes contre l’Etat colonial français. Des femmes et des hommes se souviennent de cette période qui ensanglanta la partie orientale de l’île. L’historien Alain Ruscio, qui dirige l’ »Encyclopédie de la colonisation française » publiée par les Indes savantes, nous retrace le déroulement de cet épisode parmi les plus sombres de notre histoire coloniale.

 

Au Majestic Bastille, le dimanche 17 février, 11h. 

18 DÉCEMBRE 18H – JOURNÉE INTERNATIONALE DES MIGRANT-E-S, Paris- Place de la République

Nous marcherons toutes et tous ensemble,
contre la montée des nationalismes, des
racismes et des fascismes qui s’étendent
sur l’Europe et le monde.

Nous, Collectifs de Sans-papiers et MigrantEs, Syndicats,

Associations et Marche des

Solidarités appelons à des

manifestations et rassemblements

dans tout le pays le 18 décembre

à l’occasion de la Journée

Internationale des MigrantEs.

 

 


Nous marcherons aux flambeaux en mémoire des
dizaines de milliers de femmes, hommes et enfants mortEs
sur les routes de la migration victimes des frontières et des
politiques anti-migratoires des gouvernements des pays les
plus riches de la planète et de leurs complices.
Nous marcherons pour en finir avec ces mortEs, pour la
liberté de circulation et la fermeture des centres de rétention.
Nous marcherons contre l’idée que l’immigration crée du
dumping social, pour la régularisation des sans-papiers et
pour l’égalité des droits.
Nous marcherons pour la ratification par la France de la
« convention internationale sur la protection des droits de
tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille »
adoptée par l’ONU le 18 décembre 1990 et qui vise à garantir
l’égalité de traitement entre travailleurs français et immigrés.
C’est la précarisation générale, la remise en cause des
acquis sociaux par les politiques d’austérité menées par nos
gouvernants qui nourrissent les sentiments de mal-être et de
repli sur soi dans la population. C’est en luttant ensemble
que nous pourrons nous battre efficacement pour une société
meilleure et égalitaire.

 

18 DÉCEMBRE 18H
JOURNÉE INTERNATIONALE DES MIGRANT-E-S

La Fédération de Paris est signataire de cette aux côtés de ces organisations :  

Liste signataires au 29 novembre :

CESP Paris1, CISPM, CSP 17-St Just, CSP59, CSP75, CSP92, CSP93, CSP95, CSP de Livry Gargan, CSP Paris 20, Collectif Schaeffer Aubervilliers, CTSP Vitry, Droits Devant !!, Intégration 21,

CGT, CNT, CNT-SO, Emancipation tendance intersyndicale, FSU, SAF, Syndicat de la Magistrature, Syndicat de la Médecine Générale, UEKF, UNEF Paris1, Union syndicale Solidaires,

100 pour 1 Vienne, Accueil de merde, Accueil des réfugiés dans le Cap, Act For Ref, ActUp-Paris, AC !, Ah Bienvenus Clandestins !, Alternatives et Autogestion 06, AIDES, Artisans du monde 06, Asil accueil 88, Assemblée des blessé-e-s, Association Bread and Roses, Association « Chemins Pluriels », ACORT, ACTIT, Association collégiale l’Aubière (35), ADN, ADTF, AFAPREDESA, AFD International, AFJD, AID, ALIFSI, AMDH-Paris /IDF, AMF, AIDDA, Association Jarez Solidarités, Association Kolone, Anafé, Amnesty international Nimes, Association Pour la Paix en Syrie, APICED, ASEFRR, ASIAD, Association Stop Précarité, ATF, ATMF, ATTAC, Association Unjourlapaix, Auber sans la peur, Autremonde, Bagagérue, CMCAS Pays de Savoie, Centre d’Information Inter-Peuples, CRID, Cercle de silence d’Hazebrouck, Cercle Louis Guilloux, CIMADE, Citoyens solidaires 06, Collectif 20eme Solidaire avec tou.te.s les migrant.e.s, Collectif Accueil Migrants Valfleury, CAPJPO-EuroPalestine, Collectif aide aux réfugiés d’Epone et alentours, Collectif 3 C, Collectif Chabatz d’Entrar, Collectif citoyen Bevera, Collectif Faty Koumba, Collectif Fontenay diversité, Collectif inter-associatif du Livre Noir de St Denis, Collectif Justice & Libertés 67, Collectif Justice et Vérité pour Babacar, CIVCR 94, Collectif JUJIE, Collectif Les Voisins Solidaires de Versailles, Collectif Loire « Pour que personne ne dorme à la rue », Collectif migrants 44, Collectif Migrants 47, Collectif Migrants 83, Collectif Migrants Isère, Collectif migrants bienvenue 34, Collectif Mosellan de Lutte contre la Misère, Collectif Outils du soin, Collectif poitevin « D’ailleurs Nous Sommes d’Ici », Collectif pour l’avenir des foyers, Collectif pour l’égalité des droits-rive droite 33, Collectif réfugiés du Vaucluse, Collectif respect des droits des étrangers – solidarité migrants Pau, Collectif Romeurope du Val Maubuée, Collectif Rosa Parks, Collectif Sarthois « Pour une Terre plus Humaine », Collectif Solidarité Migrant-es Paris Centre, Collectif Sorbonne Sans Frontières, Collectif de soutien aux migrants de Bégard, Collectif de soutien migrants Nantes, Collectif de soutien de l’EHESS aux sans-papiers et aux migrant-es, Collectif de soutien aux sans-papiers du Trégor, Collectif Urgence Welcome de Mulhouse, Collectif Vérité et Justice pour Lamine Dieng, Collectif  Vigilance pour les Droits des Etrangers 12ème, Comité d’Accueil 72, CADTM, CCFD -Terre solidaire 93, CDKF, Comegas, Comité de Soutien aux Migrants du Goelo, CRLDHT, Coordination iséroise de solidarité avec les étrangers migrants, D’ailleurs Nous Sommes d’Ici 67, DTC, Des Lits Solidaires du Havre, DIEM25, DAL, DIEL, Éducation.World 86, EGM 58, EGM de Blois, Emmaüs International, Emmaüs France, FASTI, FCPE Nice, FEP, FETAF, FTCR, Femmes en Lutte 93, Flandre Terre Solidaire, Fondation Frantz Fanon, Football Club Phenix de Versailles, FAL, Fraternité Douarnenez, FUIQP, Grèce France Résistance, GISTI, Habitat et Citoyenneté, ICARE 05, Identité plurielle, Infléchir, IPAM-Cedetim, La Boussole 02, La cabane juridique, LCD, L’Auberge des Migrants, Le Mouvement de la Paix, Le paria, LDH, MAN, MDS, MDDM, MRAP, Organisation de Femmes Egalité, Paris d’Exil, Planning familial 06, Planning familial de Paris, Réseau AMY, Réseau Chrétien-Immigrés, RESF, REMCC, RESOME, Réseau européen pour une santé mentale démocratique, Réseau Foi et Justice Afrique Europe, Réseau IDD, Réseau RITIMO, RUSF Paris1, RUSF Paris 8, Romans International, Roya citoyenne, SOS Racisme de la Vienne, Survie, Système B, TADAMOON, Terre des Hommes France, Tous Citoyens!, Tous Migrants, TPC Maison Solidaire, UJFP, United Migrants, UNRPA Paris, UTAC, Un Toit C’est Tout, Utopia56, Vallées solidaires 06, Vies Volées, Voix des Migrants, Welcome Poitiers, WISE, Yvelines Entraide, ZSP18,

Instants Vidéo Numériques et Poétiques, Revue A, Revue Vacarme

AL, Ecologie Sociale, Ensemble, EELV, FA, Mouvement ECOLO, NPA, PCF, PCOF, PIR, Réfugiés-Migrants FI 35, SKB, Unité Populaire Paris, UPC-MANIDEM,

Pour exiger le respect des droits des jeunes isolé⋅e⋅s en Île-de-France

Rassemblement à Paris, Place de la République, le 20 novembre 2018, 18h30

Dans le cadre de la campagne nationale lancée en octobre par le collectif Jujie (Justice pour les jeunes isolé⋅e⋅s étranger⋅e⋅s), les organisations d’Île-de-France membres de ce collectif appellent à un rassemblement place de la République le 20 novembre, journée internationale des droits de l’enfant, à 18h30.

             Aucun des départements d’Île-de-France ne respecte – loin s’en faut – ses obligations en matière de protection de l’enfance dès lors qu’il s’agit de jeunes isolé⋅e⋅s étranger⋅e⋅s. Les pratiques sont très diverses mais on constate partout des violations graves et massives des droits fondamentaux de ces jeunes.

Dans les Hauts-de-Seine, les mineur⋅e⋅s isolé⋅e⋅s sont chaque jour vingt, trente ou plus à attendre devant les locaux de l’aide sociale à l’enfance (ASE) après avoir dormi dehors, peu vêtu⋅e⋅s, sans avoir mangé mais seulement deux ou trois d’entre eux ou elles – quatre les bons jours ! – sont admis⋅e⋅s pour un entretien d’évaluation, préalable à toute mesure de protection.

A Paris, l’ONG Human Rights Watch a rendu public en juillet 2018 un rapport au titre explicite : « C’est la loterie. Traitement arbitraire des enfants migrants non accompagnés à Paris ». On y lit, entre autres informations scandaleuses, que « de nombreux enfants demandant une reconnaissance légale de leur âge affirment avoir été refusés à l’entrée du DEMIE [la cellule d’évaluation parisienne gérée par la Croix rouge française] par le personnel de sécurité. D’autres subissent un bref entretien d’environ cinq minutes, suivi d’un refus verbal expéditif. »

En Seine-et Marne, une note interne du département a mis fin depuis juin 2017, de façon totalement discriminatoire, à toutes les aides accordées aux jeunes isolé⋅e⋅s, ce qui a pour effet de les priver après leur majorité de tout moyen de subsistance et de la possibilité de poursuivre leurs études.

Dans les Yvelines, certain⋅e⋅s se voient reprocher de n’être pas demeuré⋅e⋅s dans le premier pays de l’Union Européenne (Italie ou Espagne) par lequel ils ou elles sont entré⋅e⋅s et sont remis⋅e⋅s à la rue pour ce seul motif. D’autres ne sont pas considéré⋅e⋅s comme véritablement isolé⋅e⋅s du seul fait d’avoir été aidé⋅e⋅s à un moment de leur parcours en France par une association ou un particulier.

L’Essonne a aussi pris l’habitude de motiver ses refus de protection par l’existence d’un hypothétique « soutien logistique par des tiers », en se fondant de surcroît sur des remarques totalement subjectives sur la « maturité et la morphologie » des jeunes. Ceux et celles pris en charge sont mis, le plus souvent, dans des hôtels sociaux, sans encadrement éducatif. En mars dernier, un mineur isolé de 17 ans a été poignardé dans un de ces hôtels.

En Seine-Saint-Denis, le Pôle d’évaluation des mineurs isolés étrangers – aussi géré par la Croix rouge française – donne parfois des rendez-vous deux mois plus tard avant d’examiner la demande de protection d’un⋅e jeune. Pendant ce temps, ils et elles sont laissées à la rue.

Dans le Val d’Oise, seul⋅e⋅s les mineur.e.s isolé.e.s qui passent le premier filtre du département peuvent prétendre à une évaluation par l’association mandatée. Par ailleurs, ce département fait systématiquement appel des décisions de placement prises par le juge des enfants lorsqu’elles contredisent le résultat de ses évaluations.

Il est de la responsabilité de élu⋅e⋅s des conseils départementaux, et en premier lieu de leurs président⋅e⋅s, de mettre fin à ces pratiques indignes et discriminatoires. Ils et elles doivent garantir une véritable protection de ces jeunes, au regard de leur particulière vulnérabilité (hébergement, soins, accompagnement éducatif). De son côté, l’État doit garantir à ces jeunes un droit à la scolarisation et à la formation professionnelle ainsi qu’un titre de séjour à leur majorité. Il doit aussi interdire l’usage des tests osseux, renoncer à mettre en œuvre le fichier biométrique créé par la loi asile et immigration et en finir avec une politique pénale particulièrement répressive et expéditive.

Le 20 novembre 2018, rassemblement à 18h 30 Place de la République

.

« j’y suis j’y vote », séminaire Paris 10 novembre 2018

Actualités en France et en Europe

Les conséquences du Brexit

Depuis la campagne de la présidentielle de 2012, le droit de vote des étrangers aux élections municipales n’est plus dans l’actualité en France.

En réalité, il se porte bien dans l’Union européenne où 15 états sur les 28 accordent ce droit à tous les étrangers non communautaires.

Le collectif « j’y suis j’y vote » remet ce droit dans l’actualité,

Séminaire pour le droit de vote des résidents étrangers

le samedi 10 novembre 2018 

14h00 à 18h00

Palais du Luxembourg, salle Médicis 15 ter rue de Vaugirard Paris 6e

qui mettra l’accent sur les conséquences du Brexit sur ce droit pour les Britanniques résidant en Europe.

 

Attention : inscription obligatoire avant le 5 novembre par courrier : ASECA – Maison des associations – 12 rue Frédéric-Petit – 80000 Amiens

Les combats de Jean-Jacques de Félice et le référendum en Kanaky/Nouvelle-Calédonie, Paris 2°, 27 octobre

Les combats de Jean-Jacques de Félice
et le référendum en Kanaky/Nouvelle-Calédonie
Samedi 27 octobre 2018 de 18h à 22h, salle Jean Dame

À l’occasion des dix ans de la disparition de Jean-Jacques de Félice et à quelques jours du référendum d’autodétermination en Kanaky/Nouvelle-Calédonie,

les sections parisiennes de la LDH

 l’AISDPK  (Ass. information et soutien aux droits du peuple kanak)

 

soirée d’hommage et de réflexion, avec le soutien de Médiapart.

Jean-Jacques de Félice (1928-2008)
Avocat des droits humains, défenseur des Algériens du FLN, fondateur du comité français de liaison contre l’apartheid, vice-président de la Ligue des Droits de l’Homme, défenseur des objecteurs de conscience, des pacifistes et des insoumis, fondateur du groupe d’information et de soutien aux travailleurs immigrés (GISTI), avocat de Droit au Logement (DAL), des militants antinucléaires de Polynésie, des paysans du Larzac en lutte, président de l’Association information et soutien aux droits du peuple kanak (AISDPK) qu’il a contribué à créer, défenseur des hommes et des peuples opprimés, des militants kurdes, basques espagnols, italiens, des sans-papiers et des sans-droits…

 Avec la présence de :
• Sylvie Boitel (LDH, avocate)
• Monique Hervo (travailleuse sociale dans les bidonvilles
de Nanterre)
• Mehdi Lallaoui (AISDPK, réalisateur)
• Isabelle Leblic (AISDPK – anthropologue au CNRS)
• Gilles Manceron (LDH, historien)
• Edwy Plenel (Médiapart)
• Michel Tubiana (président d’honneur de la LDH, avocat)

Débat autour des enjeux de la décolonisation aujourd’hui :

Trente années après les « Événements » qui ont vu la Kanaky/Nouvelle-Calédonie au bord de la guerre civile, lors du référendum du 4 novembre 2018, 174 154 électeurs – sous statut civil coutumier et sous statut civil de droit commun – seront appelés à répondre à la question suivante :
Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante ?

Samedi 27 octobre 2018 de 18h à 22h, salle Jean Dame
17 rue Léopold Bellan 75002 PARIS
Métro : Étienne Marcel/Sentier

 

Enregistrement de la soirée ici :

http://histoirecoloniale.net/Quelle-decolonisation-en-Kanaky-Nouvelle-Caledonie.html