Le 14 février, Diafara, un éducateur de rue, vit un calvaire près de Chartres. Il passe 22 heures en garde à vue sans raison, accusé à tort, fouillé à nu avant d’être relâché sans poursuite. L’événement a choqué et mobilisé le quartier.
Le 14 février, Diafara, un éducateur de rue, vit un calvaire près de Chartres. Il passe 22 heures en garde à vue sans raison, accusé à tort, fouillé à nu avant d’être relâché sans poursuite. L’événement a choqué et mobilisé le quartier.